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Full text of "Le patriote de l'Ouest (1925-01-07)"

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" Administration et Rédaction: 
ï | + 


Ovçane des Catholiques de langue 


française du. Nord-Ouest 


. 1303, dème Avenue Ouest. : | 
Prinec-Albert, Sask. Tél. 2964 
Dai Abonnement: | 
| ‘{Ün'ün, Canada... 62.00 
. #7 Etats-Unis ..... 92.50. 
L 9% Europe .,..... $5.00 


4 


l'a “Patriote” est In chaque semaine 


par plus cle 30,000 


7 Ac AUGLAIR, O.M.L Directeur 


tannins 


NOTRE FON _ NOTRE LANGUF! 


t 


| UE un — 
jdème Année. ES 2.705 nvier 1925 . “No. 44 


Emmmttnsumlerenmtmentedemmnneet tele a EEE EEE NET 


ition à l’assemblé 


PT 


_r dd Une belle Ex osition eatholi. € 4966 { | ai? L 
ES NOUVELLES ile Expodion . Les idées d’“‘Un Sauvage” 


y _eTé P f | \ k : x sta dns , , node Meme : un I 
} A: NS ST ns ePñnlee qe 4 e tiers un : illicrs d'obicts a 
Veillons Sur nos écoles | . CHEZ NOUS ET ALI EUR Re Des niticts, d'objets | L’abourde XXème siècle 
. CS : : ‘ D * 7 4 ; ; à CRT ‘ : int 
meme | (OUTUNCS des Jndinencs . je toutes Ue à la Grosse, Par ares, toul en se punnt 
: iceires ti N ; . : les parties du "globe où il y a des le 5 décembre 1924! d'admiration devant les funeux 
Association des Commissaires tient à rappeler de nouveau aux GR As as A S Cionnai A iques. te , * Ho dec * Aie ne bone bar 
- L'associ ote a Ji tance de pee blée. : Il des Apôtres inconnus” La Maîtresse des Novices de missionnaires catholiques, ONE on Révérend et bien cher Pére, | bricipes protestants-Aibéraux qui 
lecteurs du Patriote, toute l’hnportance de l'assemblée. annuelle des ' Im . ra ‘ exposès pour la première fois à ver PIN CN er Dont été l'évangile des hommes de 
ets sColui lée qui doi ir en janvier . la petite Thérèse vient de| l'ouverture préliminaire de Pexpo-| , de, Profite du ‘dernier courrier inération ct de ceux des deux 
distriets ecoluires, assemblée qui doit se tenir en janvier. | Sous ce titre, un nouvoru livre a pe l'ouverture PECMINauTe % tion de l'année pour vous souhaiter 4 {na génération AT tele CU 
qn nt ct semblée passe inapercuc. One sv du R. P, Duchaussuis, OM, vient mourt - siton des missions au ne des | vous, À votre journal el à tous vos] Précédents, L XIème sitele véëut 
‘Trop souvérit cette assemblée passe inaperenc. One sy rend de paraître, : ? ° 3 Cette dernière constituera urie des lécteurs, une boune ct heureuse | sûr les bonnes vieilles pratiques à 
‘ n , Û YU à s vi ovine Te , ° "+ . ineinalic raoti “ ù 36 “OLIS: h : ; U, k A ag . UT $ 
js, de pourrais citer pur exemple. Lune des villes de là provinee, | qui ont déjé in “ue Glaces l. Paris À Tue de 80 as, et) Pere de péerinaque se rendront [année pour 1926 et les années qui. es prétdentee mets SnRCpAEe 
| où l'assemblée annuelle des contribuables de l'Ecole Séparée ne réu- Polaires”, ouvrage couronné par} mérle au Carmel de Lisieux, Soeur dans la ville sainte pour l'année | ontes. | URI ons Ave les fauneus 
[ nit que cinq peYsonnes, x compris qüalre commissaires, . { FAcadémie française, ou ..cucore Marie des Anges, maîtresse des No- jubilaire. de vous envoie un. petit. factum principes siis-dits. 
| féénnoon ac dancarancal + Le Q{ Femmes Héroiques”, par le même | vices de, la petite Fhérèse de l'En- | À L'exposition à été inaugurée oftj- | SU absurdité du temps, où, nôûs 0! à | de 
. Cctts indifférence est dangereuse, ct elle est coupable. I ne auteur Savent qu'un ivre ère { fant-Jésus, Elle assistera de haut! :’,L CXpo: ni IMAURUTCE 0 . | vivons. Cest bien pâle auprès def Et c'est pourquoi, au licu de le 
ie ACL, A nt Ho 5! ; 4 ' € re du lére Re n Rare , A cictlement par-une cérémonie spé- |. PE Ù cute faire durer, comme Léon Datidet 
faut pus oublier .que si Peffucité da l’école dépend én grande partie Duchaussois, c'est quelque chose du ciel i Ja canonisation prochaine ciale célébrée par le Pape lim. [lt réalité, mais on ne peut pi \ re cure SE mime Lë tot tenté 
‘de l'institutrice, l'engagement de cette institutrice dépend à son tour de délicieux ct (le ravissant DE J'me en présence de quelques digni- quand on d'éuri à ln At ct NT de. le faire Tinle vers AUS, avec 
“des Cominissuires,: ainsi que de nombreux détails dont l'ensemble M QOUNTE le Hivre le soir, aux mp ta 7. taires du Vatican et de quelques in. | ne ons plume, comme celui-el | l'établissement des conférenres tt 
À D € y 4 à Res .,, A » Ü 36 PCOICSIAS à or + + , s Q 4 li 
peut influer très fortement sur l'efficacité de ectte même école. est à peu près certain que toute la Rome era toute l’année le | vités ecclésiastiques. a été écrit, Mais si vos lecteurs et{ de cour de La Taye, prélimi- 
eo î DR 


inuit y:passeræ#, tant il est difficile L'exposition remplil les 2 salles 
lde se détacher de ces pages capli- 
vantes, 

. Et que raconte le Père Duchaus- 
sois? Non pas des aventures ct des 
péripéties de héros de roman, mais 
les Taits el gesles de vrais héros qui 
peinent et souffrent pour le salut 
des âmes dans les missions si péni- 
bles de l’extrême-Nord, et tout cola 
avec joie, avec smnour, avec uuc 
simplicité sublime qui tire des 
larmes. 


Le f'aneuis et le cutéchisme! ne s’enscngnerout dans l’école que 
#ils le veulent, -Le français.sy chseignera à l'heure qu'ils voudront: 
st comme ils le voudront. C'est-à-dire qu’au cours de cette assemblée, 
eetunc parcelle de l'âme de vos éffants qui va être remise aux com- 
misaires élus :: 


des nàlart | lectrices ‘ne trouvent pas  ecln| naires des guerres RussoJaponnise 
centre. des pèlerinages de cinq grands pavilligns dans les trop. PS sauvage. of porn vire et Sud-Afrieniue, ‘ 
jardins du Vatican, Les pavillons Léonir dans quelques articles SUD TE En tous cas, le XXème siècle, dont, 
ont, dé spécialement Construit | séquents, ce ne sern pas Ja. ni Jusqu'à ee jour, la enractéristique 
pour culte exposition au Drix del fière qui mandqhera mais LA Vert est. la mise en pratique, Jusqu'à 
plus de 10 millions de lires, de latteur À sera certainement | Pestrénie limite de l'absurde et de 
orme iidéquate, D'autant plus qu'on läbomiiable, des fameux principes 
Le sang coule à la Chambre ue peut pas tout dire, de crainte 


i il: | Fints. Come de 89, commence bien, element à 
à i Le SCANNER LES CNTANTS, COMRE Léon millénaire, avre Les scñndalés 
française disait si bien une de vos prudes  Drov 


| loctri À DI le mon article de Paffaire Dreyfus, première mise 
: ‘ icctriees, à propos de icle |; ‘ x des es antipattio. 
Paris— Au cours d'un débat rés” y Jos fameuses “ulindes déplu- qu pratiaue des inéoties antipatiine 
anhmné, les députés socialistes, Si épe qui ne se vemplyment Lonel 5 CLS  nmiédatenent sde 
mon el Raynaud en sont venus aux QUEUS » 4 PNEUS l'expulsion des religieux un Fran 

Er MN ‘ 1 groupe LOUTS pas; au contraire, Voie es avee confiscation de leurs-biens, 


è 

Rome.—-Les directours des voies 
terres. de France, de Suisse et d’l- 
tie sont à se concerter pour orgn- 
uiser Létransport des foutes de pè-- 
Icrins qui: vont, incessammenut, af- 
flucr vers Rome, à travers les terri- 
toires de ges trois pays. Pour les. 
sous vVoyakeurs de celte ‘catégorie 
qui devront passer par la Suisse, 
en prévoit, &.Genève, qu'il sera né- 


cessaire dd mettre en service 150 
à 300 trainé spéciaux. | 


{ 


Le français et le, catéchisme nef'eñseigneront ‘dans l’école que 

mais cuvoré Ah préparer, d'y amener-vos voisins et de choisir des 

*, commissaires dont'le patriotisnie et le dévouement ne peuvent pas 
‘être mis en doute,eN'alléz pas élire des: nullités qui ne sâuront que 
répondre: Ainen, à toutés:les questions poségs, N'allez pas surtout éli- 
«des conrmissaires qui arracheront le crücifix des écoles, et qui jet- 


D] 


premières heures de la veilléc, | 
Le, P, Duchaussois est un écri-| 


mains avec M, Balanant, du groupe Le Sa inutlent maintenant à SuLoU MINE ! 1 

CRT 1C À ] ue run ” k EL TE œe : ! D loueil ss et S à u SU PQU:E application dans réel des thév- 

+ feront par la fenêtre, -Pencéignement du français et du catééhisme. Seur de es Labor Droles | U oui hé de h posa. Lorsque on réussit À sé. per le peil, ul nu ressent bi HE Ye conre lt légitimité de ln pro- 

Di 4 voir très protéine vone ioomiba n dres de faite 1 SS0r au Jumorat et à Flniversité res DAC IES C RO AQU des toutous mal tondus PASSE M ne TITRES ’ n France 

Cest nm devoir très. gravé-qui vous incombe comme pères de famil-| TOtax ail fut très goûté dans 11, 10€ Jorge de presse catho guait du nez abondance. DURS COUDE | me sas en es tent en lraet, 

cles pures que c’est ln défense de:Pâme même de vos enfants que vous | capitale comme prédicaleur à Pé-! :_ Îique ‘6: | ie apsureité h le ALT PU NE la séparalion: el CS tous Les pays, 

PS dE pr nd € eélibataire ; mac | glise ucrc-Coeur à OUANWA Ar: Ù . dis que c'est la caracléris : de se ons CL, CUS $ ICS PAYS, 

avez "à nssUrer. Et cenxX”"Mêmes qui sont célibataires, où n’ont pas lise NES sueré-Gucur à AUS Ar bec LE anche, er La France reconnait sa dette Us ten portes el surtout de | In poussée à l'esttéme de Peneet, 
d'enfants en. fige d'aller à l'école; doivent comme les. autres se rendre | ivé à Edmonton vers 1913, il par-|  Québec.— Le: dimanche, fer fé- | ‘ 


tait une couple d'années plus lud | vrier 1995, dans chacune des égli. 
avec Mgr Brevnat. OM, vicaire! ses franciseaines de ja province de 
apostolique du MekKenzie, pour fai- | Québec, . sera, tenue une “Journée 
re lx tournée des missions de Pex- Franciseaine de la Presse catholi- 
trème Nord où if séjourna plus d'u- que”, en l'honneur de &. François 
ne année, Cest 1à,:5i on peut dire, | de Sales”, Patron de lous les catho- 
au’it trouva sa: vecalion définitive ligues qui. ‘par la pablication d'é- 
d'écrivain. ét nous devons ajouter: | crits,- expliquent, vropagent et dé- 


nos contemporaines. . #foment athée dans les écoles, n- 


Je souhaite à vos lecteurs et: Lee NE a destrietlon de te en 
Washinglon, -- Lambassute dei trices, avec la bonne santé eftott reel eue detorlée qu 
France a" démenti ;eatégoriquement {es Les prospérités possibles, bo nucle au détriment des houné. 
la vumeur que ki France allrit ré! sens de le saine raison, nfin que | {us dens: is, un ou artout, les 
pudier sa dette de guerre envers lecux qui wen sont pas cucore.até: Villas AUS CONTE Pak et ln pa 
les Elals-Unis, Les hauts fonclion- l'icints puissent continuer à se pré. LA RUUES J Ge € «pi 


à ectte assemblée, paree ‘qu'ils ont eux aussi leurs responsabilités. 
Coume Franco-Canadiens, té doivent participer à la lutte en faveur 
de li langue françuise qui’est leur, comme el est la nôtre, En 
restant chez eux, ils comrièttent uné irès Vilaine action, én refusant 
de rendre À leurs voisins uns@vice” qui. ne leur coûte rien: et ils.sc 
montrent indignés-de ‘la race à: laquelle: ils appartientent en aban- 


envers les Etats-Unis 


“rio con Fruire, l'afténiblice. 
N ] ! nt naiires de Pambassade ont non seu-!server de l'absurdité ambiante, el tee of LU ee qutiaiblisste 
denint.à dés ét'angers le sort de’leur langue maternelle. de grand écrivain. : . fendent -Ja° Doctrine chrétienne.” | Jement reucré, l'intention de Jens, qu ceux el celles qui en sont dé. qui ninene directement ln grafide 
D nique et eh ee pets Ter UURR U ee t , OH vit sur place lc dévoucment 15". S S, Pie XD | gouvernement d'acquilter ses obli- 4 contaminés puissent trouver: ln . HP 
"Comic je" Kai” déjà dit; sous: avôns les années passées pordu | sublime” des missionnaires,  reli- 


QUUL 

 laations, mais déclaré de plus que force ‘et l'énergie nécessaires pô ; auerre, r . . 
Vappréhension qui s'était fait jour on sortir.et. revenir au bon! vieux |: Ge cauchemar SANpUU, qui dura 
uns la eapitale américaine hé Don sens des Les. jadis, quitre nnéGs st dopuie, aurait dû 
ait née que dun ensemble de cire) Sue ve, encore une fois, puggg | REvduire u SRE IT) vénclioi con 

constuuses sans signification inter! iée bon courage eh bon site au les folles hi ne$ isutes du" Fol 
"ages dis ces désérts de ncige, nouvellesdi décés récent de deux | nationale. - qu vu TE ES En, nt lee els Le 
et .de, glaces. : I fut frappé de lat persil Edo maraue au puvs del.” : cer UNSS UGS EN pitt -stupérié d'admitati. 
beauté surnaturelle de ces âmes hé- . 


ierene | on. OO réHetIH de dessinn ble 
no$ ancélres! AL PabBé Roussolot, _ ‘ ‘ i ee QUE 1 e. dessine bleu 
Fbäqiys ‘du: Missieonnaires, de. la Il demande un moraitorium de | N 1 
| 


oh . ” Pour FA : ha ne 
cgilques distuigtss; [ne faut. pas‘qüe:li même chose.se reproduise 

UE Nb EF O6, ne se reprodtira pas,”si nous savons préparer l’as- 
semblée nuelles FT us gate ons. 


e e. 
ts 


4 


gieux et-religieuses qui depuis pJus . 
d'un: déni sièele se" dépensent à Deux lgrands Français ! 
dacofquête-et aû salut des âmes de UE ee, 

quelquer, pauvres populations sau- Le courrier de frniee apporte 4a 


| nôtres qui par accident abritent sous tu ui 

-Ciäditr, un ‘coëur ‘qui ne’ lést-plis;-'et. s’oublient ‘jusqu'à -pactiser” 
avec des GATE fpiitre leurs ‘compatriotes, ct'contfe Icur langue, . 
où he pouvulis QUE ês plaindre. bien sineèrament d’être tombés si 
bis, et nous souHtitons que Lau’ nombre ne, Soit pas grand. 


"Quand à ceux dus 


néeutr 4e 


. 6 ns te ae 
ch + ete aient te nt ent ' 


a pe 57 ‘ “ c* ‘ ‘ “bor iéiteie LA 
] | . da Ecréateur de la phonétique expéri- 1 L'ABSUHDI XNèiue qu dt ES an ner ri sou 
forcesurhumaine qui les lient jo- [mentale mort à 74 ans; A, le mar. . dix ans pour la France 7 Ge n'était qu'un soubresiit ins 
veuses au milieu des plus dures pri, quis de la Tour du Pin Chambly, Ci Léon Daudet a donné a juste tue LE om le In: mot FOR Ou 
vations, ‘des travaux el des voyages » qui vient de clore, & 90 ans, sa fé- Parvis£ Le ministre francais des’ ractéristique du XIXéme siéeles Los " _ 
les plus pénibles dans ces pays del conde carriere de Fun des pioh-r finances “Glémentel, et le seerétui- c’est “le Stupide” par excellence: Enmédintenment après Ja fin de 
désolation qui offrent aussi te spec-, njiers du mouvemeént social catho. re du Trésor “des Etats-Unis, An- ec prétentieux, qui, hébété dans | M grie, luerie, on nent 
taelé d'une certainé beauté trogi- {Hique, en.France, avec feu ie comte drew VW, "Méllon, sont netuellement sa stupidité, avril lougeuräanee fon plus à adorer les idoles hom 
qué. | | de Mun,:son ami et collaborateur, |, vourpaler au sujet du paiement de se proclamer modestément “le cites que HE XIkëme “siéele, 
de dette de gucrre de In France! siécie, des lumières” Exeusez du lus les Shea nt ape 
. Bien que cet échange de notes! peut--4lors qu'il a élé le.plus vas- leur absurdité SERRE ne, de 
mail. pas up caraclère absolument {e éteignôir d'intelligences qui ait Let est en cela que ce siéclé.ci 
clficiel, on Le considère comme nl iumais existé dans le cours des Matin a Ne Ge sibele-ui 
ET, € ! Mal se distingue do “Stiprde”, Colhieci 
pronière ouverture de la France, siècles. Ladmirail lentement les insanités 
aux Etats-Unis sur cette question, Le XIXème siéelo avait ete stu qu il croyail vraies 1 admirables 
El pourra aumorcer une discussion! pétié par Les lubies à lui léguvtes lu bou NOTE Aujourd’hui, tous des 
sérieuse pour le réglement de ee. par son prédécesseur, XVIflènie, le eos séricus rétounaissent que «us 
diferena, Fol-. Avec Ji légèreté d'esprit et la opter ne tiennent pas debout, 
Ar Gléincntel suggère un morat:- lompeuse politesse qui le caraelé: | qu'elles sont couse du As Ut, se 
rium de dif ans à la France et done risent, Monsieur XVilème AVAL qébat Le inonde, Main au Bou de 
ne un aperçu de ce que son pays eru trés distingué d'allér puiser | cherches à remédief au. mal, et 
pourrait payer . ‘ Ales dites Jubies dans l'insnoite à ilutionc a tt 


D 


lnvoyons des délégués ,’ 


. 2u cours de ectte inême assemblée annuclle, qu’on veuille. bien 

8 souvenir, qu'il. est nécessaire def faire adopter le prineipe de l’èn- 
voi d'un délégué à la Convention des Commissaires d'École Franco- 
Canadiens, avee dép.nscs de Voyage payées. L oc. 


C'est toul cela qui revit sous sn 


EL RER 


Dlume, dans un stvle simple ct { ONE + 
limpide, avec une émotion toujoutsl ‘ Le cinéma: par radio 
vrésente et ioujours contenue. Les | . & * se 
Matériaux. étaient trés riches: il af Washington. fes inventeurs du 
su les, choisir, Jes ‘grouper, les Eradiw nous pronfettend Ja vue par 
classar ' 


…. Le délégué pourra tr nommé plus turd; ‘par les Commissaires, 
Mis 3E faut qu'à l'assemblée on décide d'en, envoyer un: . 
..., Le question est très importaüte: il né faut pas la négliger. Je; 


. 


sous certaines  idées-mai- | radio pour l'année 19257 Non suu- 
tréssé< dans une série de chapitres ! lement on entendra. le son “de Ja 

ï ; , . ee . qui sont autant de tableaux, Aus-| voix et des instruments, mais ôn 
“fus qu Pannée a, été nriuvaise dans beaucoup de distriéts. IL ex.) si netit pas étonnant que d’une | pourra encore voir les acteurs 2t 
- Ste une forte tendance vers. UN upolitique ‘d'écononiic..” C'est bien; | page l'autre le-lecteur soit lens les hante ‘soif un petit de 
mus il ne faut ès, pousser les choses à l’excès, : i quil Je louche édifié, ravi, SUPET ee de verre attaché à l'appareil re- 


: À . ‘ 
ui reçu plusieurs lettre dans lksquelles on me ‘dit qu'il va étre), Le rit ddnôtres Inconnus" lecreur. VOL a au , 
le neue des contribnbles à voler en faveut du principe de | cent, vie héruique de Mu | Déjà année 124 a été arauée 
a représentation. au Congrès à cause des dépentes. C’est un argu- Marie Damaculée dans PEstrème Pers L'céan de Londres à New- 
“ment qui n'est mis R que pour cacher une bonna volonté bien dou- Nord. ” -.. {York Le prochain développement 
ete, [n'en coûtera pds plus de 50 sous par quart de-section aux Nous en reparlerons plus Tou- {sera le cinéma par radio, 
- Mistricts les Hlus éloignés de Régina &t à peine 35 sous à la plupart sugent au prochain D Heu ——î# 3 —— ; 
Lx autres. ” Quel est le fermier qui va être ruiné parc que ses taxes, Feux d'annoncer à nos lecteurs que | Le roi Albert fait le voyage 
CORUTES AU J 


EXCUES : à ap 


. 


ss 


it L Lu | D | Lu rebplucsnt les institutions de j 
On éroit que des démarches sem testante, issue au XVlème, def 4 ISSU dus lubics Sant En rte 
blables ont été cutreprises auprès nébres germaniques, el condez à s, institutions justes ot rtisounalies 
de lPAngloterre, ja XViléme, dans les brumes ane | tout ce que fil ce siècle absurde, 
L be de l'A es 1 hi ouf c'est d'esagérer je défauts ‘qui 
es cachettes de emagne € Imbies,  emmitouflées AS uso notre mul, On ne dit pltis: 
ac ‘ ° magn | us ténébres cl lets Jeruunes oi “Cest admirable, gardons el pré: 
: TT ne Bees, EUrenl qualifiées par Le Fcieusement?", comme on disuët "se 
DOTE à TOUS à |: Et RTE 1. , ; 
mans as gnieiers de lu Cum | Fol de loutes sortes d'épitiètes so. siècle dernier. On dit: c’est abétur- 
en Allemagne: viennent, À CC Qué nores! humanitaires, égalitaires, 1 lde, et contraire à toute justice 6 à 
. % l'on assure, à Paris, dé faire une bertaires fraternitaires, ele... lou, bon sens: done, faisons cel 
| nn . intéressante découverte à Berlin j #lors qu'elles étaient tout simple- | plus absurde ct _pluë déraisonnable 
Bruxelles. Le roi- Albert MOIS auraient mis au jour une en, CT stupides ot iohumaines: | encore: peut-être bien qu'il finire 
gente une Hivitation du maréchal echelle: dissimulé vee un art wire | ainsi que le vit bien le Fof, puisque {bar en sortir quelque chose de juste 
Eux de pot ve al on ; e »s illustrées, est de 8 sous franco, | Pétain pour faire un vovage en au-| celle. dissimulée avec un : . défi i SS IDSanilés aux noms sonores te [et’de raisonnable, ’ 
h lait gratuitement, ne lent a.jamais refusé ses services. Si l'un d’en- ges illustrées, est le 85 sous franco jomebile dus le sara ls ont HR 46 000 an en 2 ET | livent Len" Ni CAere dans D Telle est Ja façon dont on rui- 
lé uux à des difficultés, 11 n'hésite point à avoir recours 'à l'Associa- ‘intention de se rendre jusqu'à : s A de Cauehemar révolutionnaire ei] sonne “aprés lac i 
' Es =, » point à ævoir recours 'à lAssocia- | m5 + pe n e deslr ne à leuses, avecæles perspectives de-se ; x î sonne el dâprés laquelle on agit 
we (' nt e, HO L. ne | à ouctuu. Le roi a dû aban-| leuses, avec PErSDEGUVES de-se uns Jos “uibables guerres de Üdins eut age absurde are M 
Mon des C'onnmissnires pour obtenir des conseils on du secours, Si Revis gr du PROSPER Dr 7? ic de-lemps on royage] rendre à 100,060. ae ; on ed À pires au | quan, Cet âge absurde, sur à eu pes 
k UYOULE + . 2: L'us  s pe , ne os pe @ oles au Manitoba donner, faute de CDS 5 vorige | ü Révolution el de Plmpire: toutes les queslions: qu'elles soibrit 
ec ipe & unie réclanfation à faire, un principe où un droit à faire 2 “ fau Congo belge, jonilieu desquelles prit paiésanee te rcligicuses politiques éconoint 
LE | ee a nr " h aus . su | a . , . , un % FA sd thavnta h + F0 C5, 1C Le 
ROM se il est “heureux d'avoir PA, CF. €. pout parler en son SE Une nouvelle Jangue interna- Pauvre XIXé, qui lui littéralement ques, éducationnelles où socinles.: 
LM Aluls sj Pon veut qué ces organisalions continuent un travail 


 L 
none ins 


ront été auwmentées de 35e où 0e: C'est une bien petite | l'on peut se procurer dés maine. : du Sahara . 
poiter,.et'elle ne fait. pas honneur à coux-qui l’invoquent. | nant cet, ouvrage extrémement in Le 
hs + ri . où : téressant ut Scolasticat des. 

Quand Jes districts ont'besoin d'inétitutrices ils: sont très hou- | Oblats, 110ème rue. Edmonton, 
EUX de pouvoir s'adresser à l'Association Interprovinciale, ‘qfi, tout| Alfa. Le-prix"du volume, 250 po: 


4 


———…_…— 


: A: 
amenée 2 0fe ! 


ponsnmnmenes 1 ns 


Winnipeg, — Le gouvernement 


SOLDORe. À “ . . apr. | à stupéfié ct hébèlé par tout ce sans ovez, pur exemple, L dé 
qui à déjà rendu bien des services il est nécesstir e le groûpe tout provincial vi nt de UE SRE UT VE D Les espérances du Jubilé | tionale , je tout ce fracas, Tellement stupés mocralique Dans ee ue "lé 
eïticr R TENU bien des services, 11 est NECCÉELTC que le Éroupe out ‘mité de 15 membres qui est'e jee | , , À — Efié, que, negdant ses cent années phéres Y HV n conne N se 
aux TTODE à leur esistmee, et accepte ‘d'envoyer des délégués ge e veviser le nrosrannte des ee pro rréb GSSRS écritl Cleveland, M labpé FL. 0 d'existence, iL ve put amats ar | LE honnnes sérieux Qui croient à 
AC ESISUS 1h ales aux 5/0 OUXOU ! . | écoles cCiémentaires, , ” dans le Droit: denbach, de Puniversité catholique. river à lever Les ve au-dessous dos ’ : : ‘ 

ationales auxquelles/on le cona oque. Nous sommes heureux de Femar- | ‘ t tiholique. river à lover Les Voeux mi-dessus des 


“Le iubilé fait espérer un retour 


la sincérité du verdict rendu par 
à l'unité eatholiouc de tous des 6- 


John Carroll, a inventé nne noue, monceaux de endavres aceuinnés | les consitations électorales et qui 


- (a ‘ bs sivnili ane vai e los hel< " a; , ù ï ; PCC- | i 
M Congrès signifie begueoup de travail pour les chels et pour Lquer que le R. P. Bourque, SE. rec- “elle Jangue qu'il appelle To, autour de son Derceat Dour Moi 


 Onisalours, et si celtti-ci est convoqué il faut bién comprendre { teur.du Collègé St-Boniface fait 


Le Dectae er | , se EU ” : D ne soient persiadés de la part: 
Œue ce n° . : : artie de ce comité sarés. Le spectacle de l'Eglise Ro-! L'inventeur prétent qu'il suffit cominent les choses ‘s'étaient pas | nocivité dl ce mode de copie 
U. Ce 1 CSt pas par“plaisir, mais par nécessité. Par conséquent, if Pare de ce Le . A ARE ER jan la ville & de quelques mois pour } "pprendre. sées dans les siècles précédents. un gouvernentent, El cepndant Le 
ta ésontiol d'or necntos . : . lu tpocoil (a: . Te _ crnelle a multitude de ses en ants !'attendu qu'elle est Er simplicité Mais s'inagina béatement que seul remede a |? us RU 
DS ChCOrC 1% ae le sucbès, non seulcment pat le travail fait, Le Canada reçoit 8 millions | accourus des pays les plus Join-! même, Elle est basée sur l'alpha : le monde n'avrit commencé à este mal es de ep robese à " 
C pa 6, Hombre des délégués présents. LT lains, séparés par la nationalité, la bet anglais, avoe un son unique nb tone Fo 


t 
‘ atte, on ler que dans Jes derniéres années le nombr 
lungue, les mocurs ou'les intérêts pour chaque lettre: l'écrilure sta | de son prédécesseur, grâce nus lue 
| 


La race compte que tous les distriets d'école seront représentés PAT Oüawa.— Le Canada se trouve à les plus divers, unis néammoine 


A uoins un délégué. e : rapproché: du’li fongrès, par | recevoir de iolies ‘étrennes du iour ( +, 

deux où tr ni délégué, .et les plus rapprochés du’ lieu du Congrès, pit recevoir de jolies jétrennes ‘hu, jour dans la mème foi, la même charité 
4e 2 Huis.  Aucme exeuse ne peut être acceptée devant la névés-| de Pan ut Je . tait ee janvier un li participation aux mêmes sacre- 
nie ir. Association. des Commissaires espère que dans chadue dis- lui à remous Snillions & demi, ahmets et l'obéissance à un même 
tiot on . D EUR , , 1e ù UE . DITC ; *È , ess DU bis 
os 8e lrouvera à Fassonbléc annuella, quelqu'ün: d'assez coura-{ ja Belgique un emprunt de 52,300, cher sup gme, dnpr essonne a da 
k° NOR “SCZ patélote pôur soulever la question, el faire accepter} 060. La Gréce a aussi payé ses-in- mencera à les attirer vers cette 
® principe, ee M te ©, LAS , icrèts qui s'élèvent ;à ; #282,000. ue 


, ° des électeurs, et en l'ap- 
} rt o Û " & JO + la 4 
strictement phonétiqte, Les mots! bies sanglantes que Jui avait légécs dent pr Ron VENt etle plus 
ont un sens bien défini, et i pv à cefukei, el sans lesquelles, au dire Ainsi en est-il pour te Moaintie 
que vingt terminaisons granimati- | du “Stupide”, le monde, ne pouvait] de Ja paix. Tout home qui veut 
cales & aporendre, , bas exister, : réfléchir, admet que ireouv de La 
Le dictionnaire, de la nouvelle Le KEX@ine sitele accepta dons | Have à été parfaitement inutile ot 
fangue, contient OU mots-rnci- | comme paroles d'évangilé -- Hous-! n'1 servi qu’é hâter Les “guerres 
nes, ct775 suffixes à laide desupiels scutique les. dites Jubies, dont | arelle étuil congé devoir empécher 
on peut Former 48,000 mots. Tofs | Léon Daudet énumère, les vingt | Alors, aussitôt 4 tuerie terminée 
les mots sont tirés du fond com | doux principales aa comencement Ton s’est empressé d'étendre et d'an : 
mun des lingtes modernes, si bien [de son intéressant volume, Mais, | plifier Je nocif svsiéme deja Have 
que nimporte qui sachant lune ; ligédans sa Sldpidité, il se conten- | par la constitution" d'une société 
d'elles peut les refonnire. pres. lt. en général. de les admirer thé | des Nations: monstre informe, or. 
que tous sans ancune difficulté, oriquement, Hi accepta sans donte | ti tout ariné du cerventt filé’ d'un 
He HSE + éome le nec plus ulra du‘vrogrès | 


. TNT les quelqués instituti fondé san A MEN as ra 3, ASS 
; Jacle - Ca. Lies iques institutions fondées | sance dans Jes bras d'in cvni 

Le rédacteur du N Jacls Ce sur ces Stupidités, que le Foi XVII Ven panique 
nuck” condamné à la pricon 


| . Un al Pulse qui seule, vosseue vraiment 
La fenuncs con ls cc | _ hote CE . | * TT | unité re igieuse, upe des notes ea- 
es anest se ré 1e ue les homines ont le droit de’ rote’et doivent, Un don de $25,000 ractéristiques-de celle que le Sau- 
"+ 6. Fondre sans éxception à l'assemblée | veur lui-même a fondée, unité. que 
nan SOMbtENS absoluinent sur elles, et:xi parfois les hommes Nicolet. A l'occasion du. jubilé Jésus En à l'avance SPL 
“gent de remplir leûr devoir, nous espérons qu'elles sauront..le | éviscopal de S. G.-Mgr Brunault, le| pe ant à ui,. dès son berceau, dans 
“plie à leur place, ‘Ce ne sera pas lu première fois que des:f clergé du diocèse de Nicolet a fait| la personne des bergers et des ma- 
HE LE GROS +] , ele écla pas lu premnicre. OI que des Ten- don à Sa Grandeur de #25,000 pour | ges, gentils ct Juifs pour les fondre 
“le & n uuent pout le salut: de Je: 'ACE, et nous sommes surs qu'on loouvre des séminaristes, en un seul peuple saint. 
HaAG JUS mn or 72 «. “ M LÀ y A AP ste L SSÈS j ilé 
Le sl elles sauront s'élever à ‘la’ houtour.de leur réle ét del Mgr Brunault aété nommé assis-| Le fubilé en rapprochant les hpm- 
LU VO EN ee mie et A . >. [tant au trône pontifical par SS, Piefimes dans un. même élan de frater- 
: - Le. SC XL Le +. faité, aprés les avoir préalablement 
d Denis. - : gs! réconëiliés avec Jeur Dicu, prévu 


ni 

RES "æ , . An 19 À ent gare | "era encore l'ère de Ja paix mondia- 
ssociation des Commissaires, Des timbres de l'Année Saine 2» tant désirée.” ; 
LE h : _ : “ . , , : te + ‘ ü 


: 


EL NES 


; , gredin, qui s'emvressa de lhabi 
eme Jui avait léguées toutes faites: A l'anglaise et d'en Tire Los biller 
telles: le suffrage universel, la jus E ooniste des intérêts britanniencs 

Toronto. -- David Campbell, ré- l''ice- populaire, représentée” pas Hef' dans l'univers entier; #4 que l'in- 
dacteur du journal hebdomadaire jurvi le partage évalitaire suive lee lcohérent Clémenreau flinqu de 
“Jack fanuck? a été condamné par enfants d’une mème famille, "et a on inconsistant Tardicu, et de son 
le jugé Orde à six mois de prison ‘loi. de l'offre et de la démande, Enseudo-malin Maudel, S'embressa 
pour mépris de cour, à cause de, conime tnique fondement de fa vie !daccenter comm dr 


Ut  :: : Raymo 
: Président de T 


= : = .— , { . k . À ! e unique étai dir 
us PRESSE TT — PU D In A 1, ee < certains commentaires sui un juge-; économique el industrielle. Mais | inmentable traité de Versailles, E 
ne lès : des écoles. paroïs-[ composition dans un concours au-|..Rome.—Des timbres postaux com- Un orphelinat de $300,000 ment dans Paffaire Cocke, Le fon. tout en adorant ces institutions de |Je plus drôle. est aue fran les Et 
SIAieS gagne le prix uel prenaient part un million d'é| mémoratifs de l'Année” Sainte, ont. © 0 ,< al, Jui-même devra payer. une a! mort, il nessaya auëre de les em. | de a encore Pair de croire à lPeffi: 
RÉ colicrs des Ttals-Unis ‘et. Qu Cana-l été mis en vente, dans toute Vita. Frois-Rivières. = Les Soeurs Do- mende de $1,000."et sa publigation [noires en les MOUSSANT Jusqu'à lex. | ercité de cette vicillnrie génèvaice, 
er CU  , -" fo? T oc. tie Le u Li minicaines se - préparent. à cons- sera suspendue Jusqu'au, paiement. tréme limite de. l'abomination exi- alors ous chacun sait bien ‘ou’ulle 
cel, Oregon, — Mlle Julia" it, + EE On a-émis- aussi des timbrés.eom- | th uiresici un orphelinat capable del Le juge a dit que ce iqurnal -é-| sée Dar les. faux princines sur Jes- {ne-peut être que parfaitement MA 
pu ns, a chiens le premier Me .Groo est. une “élève des ‘éeo- | mémorünt ‘1 Exposition: missionnai- recevoir 400 urnhelins, édifice. tait Dion bus, morilement ét autre- quels ces fameuses ; idoles. S'appu- ALUOR . _ Lu ho en 
"00 pour ln meilleure’ las papatssintes #7 dre du: Vatieag 5 2 11,7 codterait S4@0000, 7 17, ments el se vourrissait de détrifus.- aient, ° Mate (Suite à la page 23: 
NE Ft et ' L ." : FU . D Lo Fu. . Le n Fi n° : . , L | | , , : ° n Î ! , ‘ no " T° 
N , . ‘ | ‘ et | , . . ; ï nn s 
, . . Pod , . , ES ” . , 
— . 


Les idées d’un Sauvage” 
* (Suite de 1 "la 1 ière page) 


Il est vrai que ks chefs e 
divigeunts actuels sont encore des 
hommes‘ du’ XIXème sitele, stupé, 
fi6s dÊs leur naissance, et figès on 
adiniration devaut les stupides ido- 
les. La génêr ration qui monte ré 
dira-telle comme l'espère. Lévr 
Daudet; et réussirat-elle à nous 
tirer du bourbier où nous nous en- 


Covers ms Mn art ADS re me ina n S 


| L'Evangile . 


t les Ch. L--Le paralytique de la piscine, 
probalique, 


(SJ, V, 1-15.) 


RUES cela survint la fèté des 
Juits,. et Jèsus monta à Jérusalem, 
Dahs cette ville se trouve la pis- 
cinc'"Probatique ), appelée en 
hébreu: Dethsaïda, ‘Elle était en- 
tourée de cinq pottiques, sous les- 


fencons de plus e 9 Je le sou. | duels ‘gisait une foule pressée, d'in-| in 

boit, male plus en plus? Je 1e SOU firmes, d'avengles, de boiteux. de LE 

Huile, à SSI Pen Juge par la JCU-! paralytiques, attendant tous le mou-! C'est une excellente coutume de 
nesse de l'Ouest. we ne:suis guère /-vement de Peau. prier chaque soir pour es moris, 


fondé à lespérer. 

La reaction s’est vruiemment | S 
preduite dans certains pays d'Eu- IC 
Y'Ope; désquels, je" l'avoue, je ne * plemice Y cntrait, aprés le mouve: 
l'attendais guère. Mais, an lieu de! ment de 1 
les imiter, on les bafouc ct.on s "en |- irmité: quelle qu'elle Fit. 
moque. Et quelque admirable qué Or, il savait Hum hymne qui! 
soit Jaction de ces pays, elle n ‘us! -éteit infirius , depuis 
pas ‘ assez génêr ale pour qu ‘on ans, L'ayunt apercu gisant sur 
puisse : dire que cé siéele tend à sel son lit, et sachant qu'il souffrait 
dégager ‘des mortelles erreurs que | depiis si longtemps, Jésus luf de. 
lui ont léguces les deux siècles pré-! manda: 
cédents. Véuxau être guéri?” 

Sans doute, nos contemporains La “Seigneur, lui répondit lc ma 
n'ont plus confiance en ces ido-{ laide, quand lean s'agite, je. n'ai 
les périmées. Mais, comme les në-| point d'homine qui me jette dans 
gres du centre de l'Afrique, plüs|la Piscine (3) Tandis que jv vais, 
ils ont conscience de In (ragili- un autre v déscenil avähl Moi.” 
té et de ln vanité de leur fétiche, | ‘2 -Lève-toi, lui dit Jésus, prends 
et plus ils s'attachent à lui avec fré- ion RITA et marche! 

Ê , X L sys + , DL 0) 
nésie, en en exagérant encore Tes | A Ciastant cet homme fut guéri, 


défauts. . {it prit son Jit ef se init à marcher 
bsurde ! Felic est h ‘ pr Se HAL A IMAC 
tique Indiseutabie de. mette Mais comme c'était un jour de sab- 
quart du XNèric siècle. Le second pat. Jes Juifs Ii dirent: 
quart sera-t-il semblable au pre- C'est Le sabbats il ne l'est point 
> ” LE 
mier? Et le treisiéme ét le qumrié- permis d'apporter ton Hi (3). 


A certains nioments, l'Ange du 
Seigneur descendait dans la 
cine ét l’eau s'agitait. Celui qui le 


H 


me, conlinueront- ils la série des H répondit:, 
progrés à rebours, inaugurée au “Celui qui m'a puéri m'a dit 
XVillème siècle, et dont le XIXème, “Emporte ton HE, et marche!” 


en la continuant, s'est montré stf ui Quel homme " pu te “dire: 

fier? Enpete ton ‘Hit et marche?” Jui 
Alors, nul doute possible, ie jemaændérentils 

XXIème «era Je sièele de l'abomi 


| Mais le malade qui venait d'étre 
guéri nu pe savait pas, car Jésus 
était retiré de fa foule assemblée! 
en ce licu. 

Peu aprés, Jésns fe rencontra 
dans le Temple et lui dit: | 

“Voilà que ti es guéri Désor- 
inais ge pèche plus, de peur qu ‘ii 
L'arrivée quelque chose de pire 

“Cet homme sortit et annoñea aux 
Juifs que c'était Jésus qui Pavait 


nation et de la désolation, andoncét 
dans les saints livres, et ce sora It 
qui elôturera 1° existence de l bu mit 
nité sur la terre, car, C'est à celi 
que ‘tendent tous les  prélendu: 
progrès modernes: rendre jmpos-. 
sible la continuation de fa vie Hu- 
maine sur lt terre, 

Jeunes gens, si vous voulez que 
le monde continue d'exister, ié- 
coutez pas fes vieux barbons du 


Stupide, N'acceplez pas les hideus lus. 

fétiches qu'ils ont fabriqués dans D . i 
les alambics du XIKéme siècle, Ré- | 
agissez ! Rojetez bien loin.les Faus- L:NOTES. 


+ 


fee «11 C'était un vaste réservoir en- 
tour é de constructions magnifiques, 


ses doctrines de ce siècle de 
mence; revenez aux sines idéesiet. 
aux saines pratiques qui ont fau l'On voit encore aujourd'hui le bas- 
la grandeur et la force des siècles {sin de cette merveilleuse piscine, 
passés. Et en premier lieu, revenez Ele était appelée probatique, c'est. 
à la Pane reté dc RUE CU 5 Non l'a-dire.des brebis, parce quelle €. | 
pas d'une religion vague cl Încon- | it broche de In porte par quelle 
sistante, qu'on “arbore à Péglise, ‘ou LL Los D ” Dé 1 
tout au plus. au sein de sa “mille: “on'introduisait à Jérusalem les bre 
pour n'en plus tenir compile dans {his: destinées aux sacrifices dn 
Ja pratique de la vie: mais d'une | Temple, 

(2 À combien, de pécheurs il 


religion forte et cutiére qui sai 
n'aurait fat qu ‘un homine «de bon 


la base et la directrice de toute vo- 
conseil pour les plonger dans a 


tre vie, en tout liuu et en toute cir- 
piscige de lt pénitenct et les gué- 
\ 


flé- dé 


Dieu; car, c'est parce qu'ils s’en 
sont éloignés que nos péres nous 


constance, Rapprochez-vous de 
* de leurs passions! 
ont précipilés dans  Pabime : de rir de leurs passions 


maux et d'insunilés où nous nousf: (8) “Aucune instiluiion n'étail 
débattons. : | plus sainte aux veux des Juifs, Is 
CN SAUVAGE, . ! s'estimaient choisis de Jéfovah, 


mms en ge en en ne 2 de 


Les obligations de la vie dépriment los | 
forces de la femme 


Pour les Femmes Pâles et Faibles 


. Tonifient et stimulent :: 


PET TPS > S 
SM (tr ne y 


n'ayant recommandé les Pi. 
lules Rouges, j'en ai pris ct, 
après un traitement de qu cl 
qres semaines, les forces m'6 
taient revenues et jemepor- 

tais bien, aucune douleur.ne 
m'incommodait’”, : Mme 
Pierre Lemire, 297a, rue 
Woife, Montréal. 


“J'étais affaiblie, abattue 
et je ressentais tant de dou- 
leurs dans Îles jambes que j'é- 
vitais autant que possible de 
fnarcher, On m'assura que 
les Pilules Rouges me fc- 

aient du bien. J'ai eu con- 
::: | fiance et je m'en suis procuré 

" Jimmédiatement. Mes forces . 
se sont augmentées et je fus 
bientôt en bonne santé”. 
Mme Délia Poulin, 1148, 
Winter, Manville, R. I. 


“CONSULTATIONS 
GRATUITES. Les méde- 
cins de la Compagnie Cli- 
mique Franco-Américaine 
donnent des consultations 
gratuites à toutes les femmes 
qui viennent les voir ou qui 
leur écrivent. 


Mme THOMAS BOURGOUIN, 
18, Gotd, Watervitlé, Maine. 


‘J'étais faible,abattue, por- 
tée au découragement et su- 
jette à touslestr toublesqu en- 
traîne l’anêmie chez la fem- 
me. Mais, dès que j'ai com-|" 
thencé à pr rendre. des Pilules! 
Rouges il s’ ‘est fait du.chan-| 
gemient; je. mé suis. scutie 
plus: forte, mes douleurs se 
sont peu à peu dissipées, cn 


| fit. a: saité im 'est revenue.en - [Les Pilules Rouges pour les Fermes 


un Piles ct F aibles. sontievente chez tous 
peu de témps S ue d “ les, marchande de xemèdes: et sont sans 
1h4s ‘Bourgouin,. 1 È oi, contredit! le remède Île meilleur marché. 


N° acceptez jamais, ‘de substitution ; voyez 
‘las ce qu'ou vous dénne Jes véritables Pi- 
liles Rouges de la Compagnie Chimique 
F ranco-Amériaine. Si vous ne pouvez 
vous les ‘procurer dans votre localité, 
éctivez-nous, nous vous les enverrons sur 
réception du prix, 50 sous le” boîte. & 


Wiüterville, Maine. 


‘ “Depuis quélqies temps je 
ne me portais pas aussi bien ; 
j'éprouvais une fatigue ex- 

L Haordiniré à Ja fu de la 


journée ; l'appétit me man- 
quait et me digestion, était CONPAGUE CHIMIQUE FRANCOANERICAN \E 
plus setite, ï if se, GTA, EUR SE, fon tél, 


pis- Î 
‘au, étoit guéri de son ine,f 


trente-huit | |: 


que, généralement le mot éconcmim 
n'est pas bien compris de la classe 


que et agricole bien comprise con- 


+ « 


por nee penis 
uniquement pour garder cette ob- 
.| servance. La synagogue l'avait en- 
touréc de, préhibitions si nom- 
breuses que touté aclion devenait, 
pour 
ji Sabbat,” 


= 


— (Abbé : Fouard.) 
een 2e: RU CT + 
F RÉDONSES aux questions | 
Est-ce une bonne habitude de ré- 
citer chaque soir Île “De profun- 
dis!” ? Peut-on dire indifféremment 
cette prière en francais où en la- 


ne nn 


et l'on he peut mieux choisir que 


es 


La tournée du missionnaire | 
colonisateur de Prince-Al- 


bert 


Nous apprenons que M. l'abbé A1 
L. Lebel, notre missionnaire cclo-] 
nisateur nous quittera ecs jours-ci 
“pour retourner à Montréal, au Bu- 
reau Gentral de Colonisation, 454, 
ru Craig Ouest, Montréal, PQ. 

. Fabbé Lebel a visité toutes lés 
parsisses du diocese qui ont leur 
Comité de Colonisation, ct, en plus 
quelques autres qui n ‘étaient pas 
encare organisées mais, qui, À Pa- 
venir, seront considérées comme 
telles on vue de faire de la eoleni- 
sution, | 

Un bon nomure de *fermiers de 
ces paroisses où centres de Coleni- 
Sation ont eu Pavantage d'entendre 
l'abbé Lebel, au cours “de ses co: ifé- 
PenCCs ou ci userivs, leur parler du 
travail de L4 fermez de la mariés 
qu'il doit être fait pour qu'il soit 
vraiment rémunératenr el pratique 
à tout point de vur. 

Le conitrencier 
né à l'économie sa large part; en 
tout ce qui concerne Île fermier. 
soit qu'il la présente sous forme 4 
‘aisse populaire, qui est sans con. 
iredit le plus sûr moyen d'aider 
financièrement nos cultivatours 
soit en parlant d'une caisse à do 
tation, qui à pour but d'aider sé 
ricuscnicnt nos jeunes gens, le jour 
où ceux-ci voudront st tablir, 
Plus d'une fois le conférencier 
fail remarquer à ses auditeurs 


a ouours GOn- 


agricole: que plusicurs pensent que 
pour pratiquer Péconomic il fau! 
se priver de beaucoup üe choses 
voire méme du nécessaire: mais 
qu'en réalité l’économie domesti 
Siste îr savoir proportionner fes 
dépenses à SCS revenus , 

Les revenus, ajontait Je eanfé 
rencier, sont naturellement le fruit 
du travail: et Je travail intelisent 
et bien ordonné suffit générale 
ment aux besoins du trav aitle ur, 

Si on cxecpic un petit nombre 
de fermiers qui a reviennent dif. 
ficilemient de leur engouciment pour 

culture intense du Dié (parce 
a ’clle çst plis facile peut-être en 
ce sens quelle demande imoins de 
travail et moins d'efforts d'intel. 
“igence) les individus en général 
ont goûté les réflexions que île con. 
férencier faisait naître dans leur 
esprit, bien disposé après toit, en 
leur parlant de l'avantage de la cul- 
ture mixte et surtout de Pindustrie 
laitière. 

Le conférencier s'appuie sur des 
chiffres qu'il a eu main, et qu'il 

recueitlis lui-même, sur place; 
chiffres aue MM, les Secrétaires des 
fromageries—-car nous avons cinq 
fromäageries maintenant, dans no- 
tre réxion qui ont été en opération 

endnt fa dernière srison—-ont 
ieni voulu tirer de leurs livres 
pour Île bénéfice de nous. tous. 

Chiffres intéressants et qui prou- 
vént mieux, que ,n’inrporte : quel 
qure argument, ;que  Pindüstrie 

laitière peut se faire d’une manière 
très avantageuse dans le nord de 
%a Saskatchew an. 

La. question du paturage pendant 
la saison° d'été et d'alimentation des 
vaches laitières pendant la saison 

d'hiver sera résolue, nous. lespé- 
rons, d’üne maniére très pratique, 
par notre agronome, M,'"Michand, 

M'le conférencier coclut, en se 

basant sur notre état financier des 
années de grande abondance, com- 
me il les appelle, el vu l'état actuel 
de nos finances, qu'on ne-peut sor- 
liv:du idarasme dans lequel nous 
nous ‘agitons et qu'ôén ne peut hu- 
mainçcment parlant, CONSCTVEr DOS 
positions acqidises ‘au vorix de bien 
des neines et de souffrances, qu’à 
condition de changer de méthoële 
de'éulture, M faut retirer du béné- 
fice de toul ce qu'un fermier pent 
et doit avoir sur sa ferme; tout 
le monde dans ‘la maison du fèr- 
mier doit travailler, depuis le ne- 
tit garcon de dix à 12 ans, ef Ja pe- 
tite fille de 12 à 14 après les "heu- 
res do cl asse, qui peuvent rendre 
service-à la maman, soit en {tra- 
vaillant au jardin, soit .en aidant 
au poulailler, voire même en tra- 
vant les vaches, 

Beaucoup de pères de famille 
ont compris en éffet que leurs en- 
fants, qui ne pouvaient pas les 'ai- 
der par'ailleurs en raisonr de la du- 
reté Fes gros travaux de la ferme, 
ser aient infiniment- mieux à aider 
leur. mère dans les travaux plus fa 
eiles au’ s'amuser à rien faire, ou à 
faire des vièns. 

Devons-nous conclure à notre 
tour que le meilleur moven de. fai- 
re goûter la profession ‘de fermier 
à nos enfants est de les initicr de |! 
-bonne heure tout en thénagenré 
leurs forces bien” entendu, aux tra- 
vaux de la ferme?: Nous.le vou- 
Jons: mais à une condition:.cénen- 
dant; c’est que ‘le travail dé l'en- 
Fant, comme celui dt icune home 
soit. pratique ct: profitable, nour le 
père: de telle sorte que ce dernier 
nuissé en peu ‘de ‘temps tre’ en 
état-de verser quelque chose à la 
caisse à dotation en faveur de ses 
anfants. qui plus tard; coïtinueront 
son benn geste,, 

Le: vnilons- nous 9 erixt l'désir 
| du conférencier: alors à V'ocuvre et 
ce Que HOUS AVONS, ROUS le sarèe- 


ainsi dire, impossible le jour | 


. LES NOUVELLES . 


CHEZ NOUS ET AÏL LEURS 


‘rez à vous aider, 


belles terres; on 


a —————— 


“LE PATRIOTE. DE. L'OUEST. Mercredi 7 janvier 1925 


SR dns Dons pue mt nee, do rs mn à ne pet omnndaen be + ae eu à 


« 


cette belle prière du De profupdis [en pourparler uvec de dé parlement 


car: c'est PEglise clle-mènx qui nous! fédéral pour le rèt 
nos | commission d "achat des: gr 


On peut dire cette prière! semence, 


réciter pour 


encouruge à Ja 
mor ts. 
indifféremment en fatin oÙ en fran- 
quis. 

Entre ‘deux maux, lequel est Je 
plus grand: aller danser parfois: ou 
bien étant dans une place publique, 
telle que bureau de poste, de” déni. 


grer le. curé À chaque occasion”? 


H est cértain qu'il‘ 


occtpations MeLleures que [a dan- 
se, mais entre Les dûux maux que 
vous indiquez, il est atissi certain 
que dénigrer Je curé on méme tou- 
ie autre personne est encore plus 
en soi, Le 


mal 


deco ne! 


er cmermte 


rons et le ferons passer, en laug- 
mentent, à nos enfants et petits-cn- 
fants. . 

Mais, AH TONS-NOUS des fermes 
pour ceux des nôtres, qui, dans 
l'Est, aimeront à venir planter leur 
tonte ici? 

C'est ce que peuvent se detiian- 
der“queliques-uns qui regardent 
continucitement du coté PEst, 
et interrogent de l'ocil notre inis- 
sionnaire colonisateur; alors, c’est 
ce dernier qui va nous donner Ia 
réponse: “Messieurs si vous vou- 
lez avoir.de nouveaux colons et fer- 
inievs; faites que cous qui sont par- 
mi vous soient d'abord contenis et 
satisfaits de leur situation; encou- 
rauez-les en. autant que : vous le 
pourrez; soit, en les aidant à faire 
de l'industrie: laitière, non pas | 
deux ou trois mois par annéé, mais? 


bien huit ou dix muis, soil chétit- |] nr ram 
Pa fait, un. | fl 


blissant, «si déjà on ve 
centre d’éc OAGNÉE, soit une banque 


ou chcore mieux une enisse popu- l} 


aire, où Le fruit des économies de | 


nos fermiers ira se reposrr en atten- ‘À 
dant qu'il soit employs pour le plus :£ 


and bénéfice de son propriétai- 
“e: soil en fondant une caisse à do: 


ation afin d'encourager les jeunes; l 
ll 


‘# nous aide à vous seuver, 

Que tout:ie inonde soti content et 
satisfait dé sa.situation qui en vaut 
sien une autre; ct surtout qu'il fas- 


36 Savoir À epux des siens, qui 1 É 
Jésircraient, verur s'établir ici if} 
qu'il y à place nou setlement pour 1h 


Es étrangers, mais surtout pour les 
nôtres; invitez-les à s'udresser à 
iotre bureau. de Montréal qui leur 
Icra voir les renseignements qu'il 
‘ient de ‘vos Comiiés de Colonisa- 
Jon, se rapportant soit à Ja manié- 
°e de se procurer un‘iot du gouver- 
sement, soit à l'achat dun terrain, 
2, encore une fois-vous nous aide- 


Si nous semmes bion informé, 
c'est le désir du nsiskignnaire co- 
lonisateur que tous nos comités de 
Colonisation correspondent entre 
eux; et nôus croyons en effet que 
c'est un excellent moyen afin d’é- 
changer les idées ‘d’un :ehacun: 
de demander, de donner et de re. 
cevoir des renseignements qui peu 
vent être d’une grande utilité pour 
le besoin de notre ause; ca il se 
peut . qu'un fermier, ow un quel- 
qu'un qui veut Île devenir, anime à 
avoir des 
ou tel endroit, sc rapportant à l’a- 
chat d’une ferme, où à la location 
de celle-ci; ou ‘enfin sur la facilité 
d'acquérir un terrain du Gouver- 
nement, et 

Or, nous roy ons nous rendre ue 
tiles en donnant les noms des pa- 
roisses où centres; où des Comités 
da Colonisation ont ‘été établis: 
Albertille, Sask, qui a en plus une 
caisse populaire ct une fromageric; 
Shell River qui projette Pétablisse- 
ment d’une fromagerie; Marcelin, 
Sask., qui, dit-on. aura bientôt sa 
ferme de démonstre tion, et qui se 
prépare ainsi à faire de Pindustric 
laitiére:  St-Hypolite, magnifique 
paroisse, qui a sa fromageric, ayant 
fonctionné avec'grand succès pen- 
dant la dernière saison. 
Duck-Luke, une de nos plus añ- 
cicnnes paroisses, a aussi sa fro- 
mageric;  St- Isidore ‘de Bellevue, 
beau centre Canadien français, qui 
projette létablissement d'une fro- 
magerie; St-Louis avec son beau 
couvent-pensionnat,, posséde de 
désire là aussi lPé- 
tablissecment d'une fromagerie; 
Domremy, unñe de nes “belles pa- 
roisses, située ‘sur la ligne de che- 
min de fer de .Watrous à Prince- 
Albert: Prud’homme possède Ja 
maison mère des Soeurs de la Pro- 
vidence de St:Bricux- ainsi que leur 
pensionnat et novici int; une froma- 
gerie a été construite en cet endroit 
au priniumps de 1924: nous ne 
‘croyons pas Ééxagéré. de dire, que 
cet éssai à été un véritable suçcès, 
Vonda, tout à côté de Prud'hom- 
me se prépare à faire de l’industrie 
laitière ainsi que St-Denis, 
Arborfield, ‘beau. centre Cana- 
dien-français qui fera bientôt de 
l’industrie laitière;' ct Périgord le 
suivra de près nous dit-on; Ajou- 
tons le grand territoire qui est sous 
la direction des hons pères de Tin- 
chebray, avec le Père Votsin à Tis- 
dale, ainsi que de PU. Leconte, qui 
a, Sû résidence à Tisdale mais qui 


SteMarie cte,, el. enfin le Père 
Robveille qui lui-aussi à sa résiden- 
ce à Tisdale, tout en s’occupant 
des # missions ‘du côté de Nipawin, 
et... 

Nous croyons donc qu ’il sera fa- 
cile pour MM. Îles secrétaires des 
Comités de ‘correspondre entre 


s de. leurs comités, 
nn nous informe ‘que toute cor- 
respondance devant être adressée 
au  sous-missionnaire-colonisateur 
devra l'être comme suit: . 
Burcau du sous-Missionnaire Co- 


Evêché dé ‘Prince-Albert: Sask, 
. DE LA PLEBE, 


. 
Li 


de la commission d'achat 
| des’grains désuimence” 


cotes, 
 Régina! — Le détartément de l'a- 


27 fanins 


a d'autres | 


ÿ bui de cette année. 


| 


renseignements sur tel'É 


eux et de communiquer leurs ren- | 
scignements aux: Membres respec- 


lonisateur | 


On demande Je. établissement | 


stieulture de Ja Saskatchewan .est RS 


: JULES MARTIN, CR. 
| 


{| PRINCE-ALBERT 


ablissement de la 
ans def 


A, E. Wilson, d'Endian Head, en 
fut pendant de nombreuses années 
le commissaire à Régina, Cette an- 
née surtout, cette-commissiôon pour- 
rait rendre de réels services à, cau- 
se de la rancté des grains de se- 
mence. On dematde aussi aux. che- 

y fer de réduire leurs taux 
de tra sport sur Pavoinc de semen- 
ve, 


" . ,t 
smmemnnne cas 188 0 none 4 


2 millions d'hommes deman- 
dent une augmentation de 
salaire 


Londres. L'Angleterre va pro- 
bäblenient avoir une innnense gré 
ve de 2 millions d'hommes au “dé- 
Îls sont à s'or- | 
ganiser pour la demande simultanée | 
dune augmentaion de gages, qui .r'e- 
viendrait à pou près à 100 millions, 
ide livres Storlins par an, Les in- 
dustries minières ct de construction 
seront les plus affectées. 


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d'hâtel pour quarante ans en se 


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chaussée, Le lover rapporte au CG 
N,, 5 pc, sur le coût de la propric- 
lé et lui assure praliquement pour | 
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de présenter à la ‘comnission ro- 

yale des vivres un projet de crée 
on d'un nouveau ministère, dont | 
la fonetiün serait d'organiser la 
sprproduclion uns les Iles britan- 
niques, et d'acheter en bloc le sur- 
plus des Dominions et des autres 
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Versailles.— Le curé de Villeneu: 
ÿe Sulal -(Gicorges dans le oc ele i 
ersailles à inséré dans son: bulle- ;À mo 
tin paroissinl la note suivante: ù NOUS SOUDONS TOUTES LES 
SM, le curé Suit comme iout ‘le PIECES DE MACILX URTES | 
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Ha une profonde sympathie pour 
les jeunes filles qui, pour ‘leur mé: 
nage n'ont plus, qu'un demi costu- 


END 

a en 522 | 
acheté un magnifique 
fsulard en aine blanche qui scra 
conservé à a sacristie pour Pof- 
frit aux jetines financées dont le cos- 
tume léger pourrait les faire souf- 
frir du froid dans l'église Toutes 
les intéressées apprécieront, je lâs-. 
père, cetle sollicitude pater nelle 


bras et la poitrine à nu 
conséquence 


| Pour. Obligations . F ruhenise $ 


OU autres obligations eu 
Nes, encaissement de co 


Comment V'apelles-tu? li FA a 
p “0: s'anresser 4 


: ° " (Etablie 1911) 
[348, rue Main, Winnipeg, M: 


ropéen- 
uPons, 


Un touriste Qi excursion dans 
Ja campagne note, rencontre 
un enfant, 

— QouHont Pappezes-in, mon 
petit garcon? ; 

—Pehé pas. 

—-Vavons, Hrdois savoir. Quand 
c'est Pheure de manger la SOUPE 
comment Vappelle-t-on°? 

“On nm “appelle pas. 
jours le premier. 


an, 


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ET AILLEURS 


eo 


Un autre collège ‘classique à| Le logement des pèlerins de 


Edmonton, À 
que IR} 
Mgr OL k 
olique affilié 


“Alberta, « Ce se 
A S'il ne sera pas réalisé dès 
gone L'oeuvre sérait soûs 


‘te prochain. 
l'été prochai L'oeuvre 
4 direction des Frères des Ec 
ehrétieunes, dont le . supéricur 
M branche e d 
frère Alfred, poursuit 
les négoc 
res de Mg Édmont 
lorités de l'Université, 
Comme dans. l’une 


tacher 
cueillir 


à l'octroi JU,00( 
pidée de ce colégè à 
collège St-Michel 
site, 


H ne faudrait. pas croire, cepen- 
manquât- juau i- 
à d'institutions d'enseignemeñt. se- 
ere; au, sans compter la Hau- 
la 8ème rue, il y existe 
déjà depuis quelque 13 ans le collè- 
irès florissant ‘des RR, 
PP, Jésuites, et le Juniorat St-Jéan 
dd . 


dant qu'Edmonton 


we Éeole de 


se bilingue 


%: - : 

Incendie chez les sourds- 
muels * Er) 
ee me) 


à 


Montréal.-L'Hospice des Sourdss 
Muets de cette ville n été visité Sa- 
medi matin par un. désastreux. in 


A 


çendie qui a causé des fégâts pou! 


plus de $6,000, 
Les pensionnaires de 


autorités de ini Ù | 
si ea n'avait pas été dans Ta pério- 


lta— Depuis .quél- 
Je plan, de’ Sa. Grandeür 
ary, d'avoir un collège ca- 

ffilié à l'Université de 
est'à Pétude, et lon se 


des, Ecoles 
de 
anglaise du Canada, ie 
actuellement 
jations préliminaires au- 
ar d'Edmonton et des au- 


des fables de 
: ine, ii ne reste plus qu'à at- 
lafontaine, ne esta-dire à rve- 
chez les catholiques de l’AI- 
berta 50.000, somme reqüise par 
Ja fondation Carnégic préalablement 
, de S100,000. On a pris 
Toronto, au 
affilié à l'Univér- 


n + 
l'institution 
qui sont spécialement entrainés en 
er d'incendie, ont pu évacuer l'é- 
“difice en flammes rapidement. Les 
la maison. disent que | nombre des’ pèlerins ar’ sanctuaire 


PAnnée Sainte à. 


; 


Rome 
Rome commence la célébration 
de l'Année Sainte dans une triple 
paix: religieuse, politique, écono- 
mique, Ce sera ln première fois 
aprés les événements de 1870, que 
lArinée Sainte:sc-vivra à Rome 
dans. un milieu ami ct sans caractée- 
re de, sourde hostilité de la part du 
gouvernement italien, 

Le plus grand problème de Rome 
pour l’année 1923 sera la question 
dés logements, question de laquelle 
le. Vatican lui-même s'est préoc- 
cupé, au moins pour assurer aux 
-bélerins les plus pauvres, des habi- 
lations à bon marché. Pour faire 
cela, le Vatican a non seulement 
loué, un:grand nombre de maisons 
dans les Borghi: (c’est-à-dire les 
quartiers romains qui entourent le 
Vatican) mais aussi il a loué les 
grandes villas sur Je Monte-Mario, 
villas qui dominent complètement 
le Vatican. La location monte, à 
un willion de francs par an et l'on 
croit qu'elle sera renouvelée par 
le Saint-Siège en vue du Concile 
oecuméniqué du Vatican qui sera 
inaugüré éti 1929; on croit aussi 
qu’il est dans les intentions du Va- 
tica d'acheter ces villas avec tout 
le terrain qui les entoure. 

"La municipalité de Rome a pen- 
sé construire des baraques en bois 
flottantes sur le Tibre, de facon 
que, surtout l'été, ces maisons puis- 
sent offrir lPidéal de la fraicheur, 
Enfin amitié cet bonne entente en- 
tre le gouvernement et:le Saint-Siè- 
se, préparatifs bien faits, ordre, 

.h ‘ d 


, 1, 
80,254 pèlerins à Notre-Da- 
| me du Cap - 


Cap-de-la-Madeleine, Qué. — Le 


du Cap qui avait été de 90,825 l'an 


de des fêtes, E y aurait eu plus ‘de | dernier est passé à 80,254 cette an- 


‘440 pensionnaires dans l'institut, 


+: . È 

: Incendie de $200,000 ‘à St. 
Hyacinthe :, 
Montréal." Un incendie à .St- 


Hyacinthe « détruit 4 magasins, 4 
maisons privées et un club, Cinq 
pompiers et un civil ont été‘blessés, 
lundis qu'une quinzaine de Derson- 
nes durent se sauvér en costumes 
de nuil. ! LD 

On évalue les dommages à $150,- 
ü0ÿ où 200,000, le feu fut décou- 
vert à 4,80h. a. m. dans le magasin 
de E, Bernier, et se communiqua 
ires rapidement. . € 


CR 


ne délégation de l’Universt- 
té de Montréal 


Québec.— Une importante déléga- 
tion d'un bon nombre des princi- 
paux directeurs de l'Université de 
Montréal, Sir Lomer Gouin en tête, 
s'est rendu auprès du Premier mi- 
nistre de la province. de Québec, 
pour prier que Île gouvernement 
pr'avincial porte à $300,000 par an- 
née l'allocation qu'il verse à cette 
Université Les besoins de eclle-ci 
sont urgents, expose-t-on, et lho- 
norable M, Lafontaine, juge en chet 
de la Cour d'Appel, va même jus- 
qu'à dire que “c’est une question de 
vie où de mort” que l'acceptation ou 
le refus de cette proposition. M. 
lascherenu assure que son gouver- 


nement fera, à cet égard, tont ce 


qui lui sera possible, 
Æ : 


Les salles de danse seront fer- 
mées à minuit | 


Montréal. Le chef de police a 
reçu instruction. de faire fermer tou- 
tes les saîles de danse: à minuit: en 
vertu d'un arrêté du conseil muni- 
tinal pour les’ jours de sémaine, et 
de la loi de la Lord's Day Alliance 
pour le samedi soir. 


NES 


Suicide d’un mécanicien 


\inneapolis. — Le mécanicien 
Harry J. Colwell, du train qui fi 
huit victimes, dans undéraitlement 
de son dernier wagon, le. 20 décem- 
bre près de Chippewa. Falls, Wis., 
SCSL suicidé ‘à sa. demeure, & C'était 
t Lremier accident de sa carrière 
de 21 années, et il en fut ‘affecté 
Hisqu'uu désespoir, 


n 


im: — nt 

Ce que coute le rhume en An: 
gleterre : 

Londres, = La maladie Ia .plus 


li somme des dépensés -qu'on fait 


pour s'en guérir, est le rhume or- 
dinaire, Le nombre de ces cas de 
rhume, variant de  60,060,000 à 
80,000,000, chez les Anglais. cet hi- 
“el, entrainéront une: dépense 
d'environ #100,006,000, d’après un 
‘icier de santé de Londres, Il base 
tes chiffres sur le. coût moyen, dé 
‘ berte de temps, la-diminution de 
mé PiC It de travail, le coût des 
sCGccines et des mates des. méde- 


Uns, soit $1,25 pour un Fhumè, bien |- 


'e snrtai a. û 4 
Qu'en certains cas, ‘un rhume ,en- 


Araine une dépénse de 450. et plus. 
tente N L , 


: 6 oi 
Le plus vieux chantre d'église 


Paris La 
dans Le cs 


comimine de St:Aubin, 
inton de Nolay, possède, 


très vraisemblablement le doven des. 


paires d'église, c’est. M, Baptiste 
tions d -Bugnot, qui.exeree ces fonc- 
Mer I ris sdixante-dix-sept ans, 
du : te lurieux, évêque de Dijon, 
UE 4 décerné la médaillé d'honneur. 
RER - EU 


À propos d'all 


Mo “ 


| - 
1e > consomme tous les jours dans 
ln ne entier 44 milliards dal- 
icttes, mais il ne fatipnit pas 
an que Je pauvre Humani- 
est plus éclairée pour Jout ec 


+ © 


foüleuse en Angleterre, sion fait-| 


|. Ge:mouvement. ffufon: 1 
[Ville gagné la cimbhasne voisine, ‘ 


née, soit une augmentation de 29. 
519. . 
Cette augmentation de plus de 
Ha moitié sur l’année 1923 est due 
‘aux milliers de pèlerins venus en 
“auto, .Le nombre des pèlerins par 
bateau et chemin de fr a à peine 
dépassé quinze mille. LA 
Au cours. de l’année 1924, on a 
distribué au sanctuaire 55,900 com- 
munions et célébré 2,425 messes, 
‘ LE 


282,000 pèlerins à Ste-Anne 
. de Beaupré' 


Québec— Des chiffres ,officicls 
publiés par ta Québec Power Com- 
pany montrent que 282,000 pélcrins 
detoutes les parties du Canada ct 
des Etats-Unis ont visité le sanc- 
tuaire de Ste-Anne de Beanpré du- 
rant la saison de 1924, Cela repré- 
sente une augnrentation de 72,000 
sur 1923. T1 y à cu 129 pèlerinages 
organisés au cours de la dernière 
saison. Cent dix-huit sont arrivés 
par chemin de fer et le reste par 
automobiles ct stdamers, 


Le Cardinal Giorgi est décédé 

à Rome 
. . , 
Rome.— Le cardinal Oreste, Gior- 
gi est mort de pneumonie à l'âge de 
69 ans, H était né à Valmontone 
(Italie) et fut élevé à la dignité çar- 
dinalice le 4 décembre 1916, I oc- 
cupait la position de Grand Péni- 
tencier, 


Canonisations de l'Année 
L Sainte 


Rome.--Le Saint Père, le ‘cr 
novembre, a lu Îe- décret consta- 
tant le caractère miraculeux des 
guérisons obtenues par Pintrrces- 
‘sion. du bicenheureux Jean-Marie 
‘Vianvey cet présentées pour sa ca 
{ uouisation, La, cause de canonisa- 
‘tion du bienheureux curé d'Ars 
‘sera ainsi virtuellement terminée. 

“ele de la bienheureuse Madeleine 

Postel:: l’est aussi complètement. 

Les six canonisations  morale- 
ment assurées: pour l’année sainte 
qui contribueront à donner aux 
fêtes jubilaires un éclat incompa- 
rable, donneront Heu à quaire 
gräïdes cérémonies pontificales à 
la basilique Saint-Pierre. Le bien- 
heureux euré d’Ais et le bienheu- 
reux Jean ÆEudes seraient canoni- 
sés le même jour. Les: canonisa- 
tions des biehheureuses Mères 
Postel et Bafat:seraient pareille- 
ment associées. ; Quant à, la bien- 
heureuse. Thérèse de PEnfant-Jé- 
sus et au bienheureux Pierre Ca- 
ninius, le Souveräin Pontife leur 
.réserverait une cérémonie distine- 
te en ‘deux jours différents, 

Ces. informations gardent encore. 
un’ caractère ‘conditionnel, étant 
subordonnées au: jugement supré- 
me que‘portera le Saint Père après 
avis de la, “Sacrée: Congrégation. 
‘des Rites pour les causes dont les 
‘güérisons* .miraculéttses  achévent 
d’être étudièvs. ‘ 
ke ‘ + 


ms 


# 


de re - à 
Et c’est dinsi. bar toute le. 
| ‘.. Frente | 


, 


Lyon.— La ‘duinpaghe len faveur 
des libertés religieuses a, été" métho- 
diguement ‘organisée ét Sera rigou- 
reisement potfsuivie {à Lyon pour 
éclairer et groudher 'le$ catholiques: 
En. moins. d'unéSemaine; 24 confé- 
-retices ont été donhéesidans tous.les 
quartiers, de la ill Seize rél- 
niofis ‘ont eu” lieu. la même ”héüre 
dans 16 locaux. différents. ’Quel- 
aues-uhes comptaieht. plûs d'un mil- 
lier d'hommes et.de: ; 
Plus de. 20,090 hoihihes: ont voté 
d'enthousiasnie un: cfdre. du 
énergique adressé:à, M, Herriot. | 
afond. a.igle. la 


fi 


ES 
LE Pompe rem 


4 


MONTREAL, 
ne inaisan dt vénsion, ru Ste-ñ- 
rathe, à coûté lu vie à 9 pbésonnes 
dont 5 enfants. oi 


. L'incendie- d'u- | + 
À 


4 
‘ 


‘LE PATRIOTE DE:L'OUEST, Mercredi 7 janvier 1925 x 


LL ITTNTE TELLE UTILE LL TTL REG EREITE RER RTTTT 1 


. Le radio ‘a tué le théâtre 


New-York. — Le radio constitue 
la plus grande menace que le théû- 
tre ait javais rencontrée, - dé: 
clarait l’autre jour, l’imbressario 
Wil, A. Brady, Depuis ka vulgari- 
sation du radio, tous les théñtres 
souffrent d’une grande diminu- 
tion .de reccttes. D'excellents ar- 
tistes jouent et chantent devant des 
salles presque vides, Une petite 
iroupe seule d'artistes toul à fait 
supérieurs sont parvenus à se créer 
des'auditoires nombreux. ‘ 

Pour da première fois, MeCor- 
niack le fameux ténor cet Lutrezin 
Bori, prima ‘donna du Métropoli- 
tain, ont chanté le fer janvier des 
vant le microphone d’un poste d’é- 
mission à un auditoire de 6 à 8 
millions.  ‘*« 


* , re u à: T 
La première imprimerie à 
journal d'Amérique en 1752 


Halifax. Une plaqie a été ap- 
posée à l’endroit où s’érigen da pre- 
mière imprimerie à. journal en A- 
mérique du'Nord' C'est celui où la 
Halifax Gazctte fut publiée pour la 
première fois en 1752 A cet en- 
droit s'élève à présent un édifice 
moderne à l'air minable, rue Graf- 
ton, L'inauguration de cette pla- 
que commémorative.a tu Jieu same- 
di “dernier en présence dü lieute- 
nant-gouverneur de la Nouvelle-I:- 
cosse, M. Grant. 

à ET + 0-0 Em à 

DCE e 
Des mariages mixtes en Fran- 
ce 


Vous doutiez-vous que 200,000 An- 
glais sont mariés à des Françaises? 
Qu'au cours de la seule année 1921 
il y à eu 5,669 unions anglo-fran- 
caises, avec 1,000 jeunes ménages? 
La Française fait prime, en Gran- 
de-Bretagne Ce n’est pas que cel- 
le-ci: manque de femmes. Au con- 
traire, elles sont en surnombre, El 
les dépassent de 1.700,000 unités le 
chiffre des -hommes et, ce ne sont 
pas, pouf la plus grande partie, des 
vieilles filles: ‘1,200,000 sont en âge 
d'avoir des enfants, Les Anglais 
n'auraient: done que l'embarras du 
choix parmi leurs compatriotes, 
Mais certains d’entre eux préférent 


tre meilleures ménagéres, 


EN 
| 


ne ee mm me 


"AIMAIS à m'occuper 


Î 


d'avoir mon argent à moi. 


_ Un jour elle lut,: comme vous le faites . 


| 


= eq 00 
+ RS 


écrit Mme Fred. Wigfield d'une petite 
ville d'Ontario; “mais mon mari s'y opposait . 
à cause du va et vient continuel des visiteurs”. 
Elle dit tout le regret qu'elle eut à mettre fin 
À ce commerce ‘attendu que j'avais l'habitude 


rieur, 
de ces mariages sont mixtes: lo mu- 


ri étant protestant, les enfants peu | | 


vent le devenirt 


Une Pensée Généreuse 


, 


_ D à | 


Parvis M. Jean Baptiste Saub- 
ran, résident français à Buenos-Ai- 
res 4 donné un milion de francs 
res it, il JU \ F 
à PUniversité de Paris pour la créa 
tion d'un fonds qui permettrait de 
faire des nvancés à des étudiants 
pauvres. Pendant une récente visi- 
te en France, M: Saubran avait re- 
niurqué que comme la classe moyen- 
ne avait-été Ja: plus éprouvée par 
la guerre, un grand nombre de fa- 
milles n'avaient pas pu permettre 
à Jours eufants de poursuivre leurs 
études au-delà de Pécole primaire, 
Cette constätution Ihi a suggéré Pi: 
dée d'établir un fonds pour aider 
‘à ceux qui désirent une éducation 
‘supérieure mais dont les parents ne 
peuvent pas y suffire, 

On nomma un comité spécial vour 
administrer les fonds. Les prèts 
seront remboursables quand un é- 
tudiant aura fini ses études ot il 
n'y aura aticun intérèt à payer, 


: Re: « 
L'acte de baptême de l'Amé- 
rique 
Paris Dans une vente de li- 


vres qui «eu lieu à lhôtel Drouot, 
se trouvait uit'ouvrage que ln ville 
de Saint-Dié an acquis. C'est Île 
“Cosmographie: introduction." ré- 
imprimé à Saint-Dié le 25 avril 1507, 
par Îles soins du gymnase vospion, h 
Les membres de €e cénacle + don-i 
uaient, pour Ha premiére fois, aux 
terres découvertes au nouveau mon- 
de, le nom d'Amérique. On + lit 
textuellement, en latin: “HE y a une 
quatrième partie du monde qu'A-i 
mérie Vespuce «a découverte, 41 
que. pour cette raison, nous pour- 
rions dénommer %Añorien”, c'est 
à-dire terre d'Amérique.” 

Ce nonr ayant -prévalt, un peut 
donc dire que.ce livre est l'acte de 
bantène de l'Amérique. 1 en exis- 
te fort. peu d'exemplaires; en en 
canuaissait que trois en Europe, 
un à Paris, un à Nancy, un à Lon- 
dres. La ville de SaintDié ne 6 
possédait pas Elle l'a enlevé, sur 


des Françaises qui passent pour é- [une enchère de 28,000 franes aux 
moins | Américains qui : disputent 
sportives, et plus femmes d'inté- cet ouvrage rarissime. 


partout 


disposer. 


+ 99 , 
de mercerie , fait pas 


maintenant, les bénéfices que d'autres ‘re- 
tiraient de la tricoteuse Auto Knitter.. lais- 


‘sons la parole à 


Mme Wigfield. ‘“J'ai fait 


deux paires de bas à l'heure, ét ainsi $4.00.par 
jour en plus de mon ménage. Jusqu'à ‘pré- 


sent, j'ai reçu toutes les commandes que mes 
loisirs me permettaient de remplir, et la Com- 
pagnie écoule tous les bas que je peux lui en-- 
voyer. . Je possède un Auto Knitter depuis 3 
ans, et j'ai fait en moyenne $20. par semaine. 


suis 


Voilà l'histoire toute simple d'üne jeune fem- : 


me ambitieuse; c'est une parmi les milliers qui 
changent leurs heures libres en bel argent comp- 


tant. 


Nous passons un contrat avec vous 


Tel est notre plan: Vous tricotez pour nous 

1 Ms ” 
chez vous dans vos loisirs—quand vous vou- 
lez, peu ou beaucoup selon votre bon plaisir. 


Pour chaque paire de bas dé grandeur Stan- 


dard—standard veut dire, tricotés sur J'Auto 
Knitter aux dimensions régulières—nous vous 
‘payons un prix fixé à l'avance et garanti. No- 
tre contrat vous fournit un marché assuré et, . 


un profit substantiel. 


- Ce contrat ne vous engage pas à nous en- 
voyer tous les bas ou aucun des bas que vous 
Vous pouvez les vendre à qui vous 
semble bon. Seulement retenez ceci: pour . 
chaque douzaine de paires de bas à nous ex- 
diés, nous vous remettons non seulement AC 
tre chèque, mais encore autant de laine que :: 
vous en.avez employée: Cette remise est gra- 
tuite et vous permet d'aller de‘l'avant et de 


tricotez. 


tricoter un autre lot. 


Nous vendons les:bas faits par notre armée 
‘ true +. ts gr ve, } 2 
de tricoteuses aux magasins dé gros; C'est 


‘moi, 


pourquoi nous pouvons disposer de tous les 


lbas qui nous sont expédiés. : Nous faisons ce. 
‘commerce depuis des années, et la demande : 
est touiours . croissante de bas tricotés avec  : | 


l'Auto Knitter. 


.. . Dix années de succès: ‘© 
nnées Ge suc 


Lé tricotage automatique n'est rien de neuf. 
iéunés gens. | C'est une industrie établie pour gagner de 


A3 


Re Lt Re np © . TA ae As: 
The Auto Knitter Hosiery 
| Dept 984, 1870 Davenport Ro 


d 


jour l'argent tout en.restant'chez soi. Nous vous. :. mettre À 
: | DA ‘’aüssitôt que possible. 


L'Académie française anglici- 


St ‘ + s 

se la langue française 

. Tu \ | 
Montréal" L'Académie Française 
a récemment adinis dans sun .dic- 
üonnitire le mot bluekhouler, d’ori- 
gine aussi bariolée que ses trois 
SUabes lindiquent, L'Acadèmie a: 
ait Ù Va peu de temps, donné 
aussi droil de cité en France au 
torme interview ct au vorbe inter- 
pietber, ious deux de la méèine ori- 
ginc anglo-saxonne, Les mots de 
cette provenance, fntrodnits depuis 
une quiurantaine d'années dans le 
vocobutaive francais, sont nome 
breux et deviennent encombrants, 
Et lon entend aussi fréquemment 
des Français de Franec, qui ne su 
vent pourtant pas dix mots d'an- 
glais, nous parler it, pendant fours 
visites, de brildings, de streetsi de 
shycrapers, de ttharf, de railinag, 
comme S'il n'esistait aucun mot 
francais pour exprimer ce que cola 
représente, Des journaux franeals 
commencent à protester contre le 
dernier mot admis dans le diction. 
nuire de lPAcadèmie, blackbouter. 
“Ce mot. apparait le EVpe méme 
des mots que Pon croirait, de loute 
hécessité, devoir ètre précisément 
Ulackboulés pur nos acadfniciens. 
D'abord, c'est un mol affreux, con. 
posé en dépit du hou sens. ‘de bric 
et de broc, moitié français, moitit 


anglais. ET puis c'est un mot inuti- 
lé. Quand on aceorde À certaines 


expressions sportives d'outre.Manre 
che, comme il arrive, récemment 
leurs lettres de grande naturalisa. 
tion, on peul observer que ces ex 
pressions n'avaient, dans notre lan- 
ge, aucun équivalent exaot, Mais 
pour espriner qu'un eaudidut a de 
blackboulé, n'était-il qus WiSni Ce 
blicite de dire qu'il avhit “échouct”. 
ou Qu'il avait été refuse"? doit 
Frane-Nohaib dans un tout récent 
vunéro de l£cho de Paris, of il 
toutes “Ie reste pontôtee lus 
auun seul inbven d'arrèter di déc. 
dence of tombe visiblement La Bain. 


eue de jour en jour! p'est d'oppoe ti 


ser une forte digue au débordement 
des ‘néologiemes des expressionis 
improptes, des métaphores oulrées. 
des locubions ineorrestes, des tour- 


nures lorcées ef des images inrohé. {oite et li nouvriture à teus les Vos 
rentes": voilé co qu'on pensait et Lucnrs qui S'v sont nrrétés, 


ee qu'on écrivait déj en [R45 voi 


là à quoi, dés E845, on invitait fus fil v avait, duns l'église, un irbne 
, 14 


2. nee nat nent num ee mass, 


+ hante D name = en. 


Votre chèque de paie ne se 
C'est une pensée ré- 
-OA SUVP osisse nb 1HOoABS 9p SJUeJIOJUON 
tre propre demeure, à l'heure qui vous 
convient, vous pouvez gagner quelques 
piastres d’extra pour vos menus besoins. 
Des milliers d'hommes et de femmes ga- 
gnent ainsi leur vie, et qui ne sauraient 
entreprendre aucun commerce. 


attendre, 


Quelques lettres récentes 


“le mai que 14 ans et vais à l'école, Apres 


l'école je faiseune douzaine de 


de bas que je vends avec nn profit de 


$6.00,.° + 


{rompés quelques fois uu 


Je pie suis déjà fait 4200. 


S. ROBINSON, Ontario, 


(5, NIVEN, Mavilobi 


Un beau livre gratis 


votre nom et adresse et nous l'envoyer. ‘: 


EUYS 


loronto, Ontario 


Æy 


Compea 


“proscrire de notre lineuc les mots 


“jeuis ni anglais. 


E RÉ DS PRIE PMEEE Ur TO 


Pourquoi Êtes-vous Souffrant ? 
Lés impuretés dans le système sont la cause 


de la plupart des maux communs. 


Ces impuretés ne peuvent él: cexpulaées que lorcque 
les organes sont en bonne condition. 


à , f 
. * Du DR. PI ERR 
a la réputation d'agir sur ces ürganes, les aidant à rejeter les matières 
cmpoisonnées, et inutiles, ni ‘ ‘ 

La Première Bouteille Prouvera Son Mérite. C'est un vieux 
remède herbeux ne contenant que ée qui fera du bien au système. 


No le demandez pas aux drogniates, il n'est fourni qua par des 
Asents spéciaux. Pour plus de renneinnomonte, adraitor-vous à 


DR. PETER FAHRNEY & SONS CO. f 

2501 Washington Blvd. CHICAGO, ILL, œ || 
1Délivré Kbro de ous droite nu Canada.) ‘ ru 

Deep ee tr eV : 


RCE 
ke 


| 
| 


‘ 


Denopihies den mena eane soude of der Ne re | DR Stars ocmeunons ete he 


membres de Be docte assemblée, “al. pour les offeandes Depuis  long- 
tendu que le principe constitutif] temps ces offrandes n'étalent plus 
de lAendèmie franenise doit être Len proportion du nombre des visi- 
un prineipe conservateur". Qui ait { tours, augmentant lous les jours en 
illustration de a langne française | raison du tourisme automobile dans 
ne ditil pas aussi sa défense el ne les Alpes, L'Hospice se propose de 
vonviendrnitil pas de défendre ht. lourner Li difficulté en Eranslor- 
ie langue, or ellel, connue Hé fnant une partie des hftimaents en 
société olesnéme, contre des intéus au hôtel qui serait gère par un 
les bohètmes, Les nouveauacrishes") hônmie de dt parties 

Chez nous plus qu'en France, paree E 
qu'elle est encore plus en pétit ini 

qu'en lrunce, nous devons viser à 


ete non De Pichon goes nes 


Deux voleurs 
Un président detnande à un pré 
Vent ses nos. prénoms ot profos- 
sions puis relevant sci Juneties sur 
son front: 
0 Pesatons nn vobenr 9 
-. Nous imonsiour Le président, On 
mo D Re qin'acense 4 faux Un volenr el moi, 


n | spi fees Fait doux! ‘ 
Un hôtel au Grand St-Ber- Sené doute eolx fait deux vo- 
. nard mit | 


et les tournures hibrides, ni fra. 

SE est Loul ee que suit Faire PNA 
cadômie française, elle nu plus sa 
raison d'etre, un 


hour" 
EL ons CL -— . 


. 
uma n : fe Q , 
| Paris. Le nombre de plus ent" Mot de Sophie Gaÿ 
jelus grand d'aulomobites Jréaqnen | 2 nee, L 
tant la région, à ineité l'fospiee hi benierre fait un “Guillaume 
Grand SaintebBernard fe ouvrir un Pet ont est pas goûté par Le 
hôtel Depuis près de dix sicetus, l'hublié Ne vovant presque person 
l'Haspieu. célèbre pour sos fontaine à la svecsnde représentation, So. 
chiens on toujours offert aralis el plie dit: 


CRE … 


TEDDY ATHENTIOPEX, Coleubie Anglaise, 


“Avant plus de &0 ans et la vue conrte, je ne 
début. Mais 
maintenant je triccte une paire de bas çn 30 
minutes, 


. 5. , 

“Depuis # mois que nous possédons notre Auto 
one Kauitter, nous avons gagné S600,, à ne fravail- 
ler qu'a temps perdu," 
MME HE ARMSTRONG, Colombie Augluise, 
“IP va ans que j'ai acheté inon Auto Knitter. 
Durant l'hiver dernier je nai famois fait moins 
de 100, pas mois,” 


ele suis Je plus âgé de fa famille et fai pensé 
que je pourrais bien avoir quelque argent à 
Avec mon Aulo Kanitler j'ai gagné plus 
de 41000. dans nn ai à temps perdu.” 


=. Melle G MePHILLAMEY, Alberta. 
L'expérience n’est ps nécessaire 


Voici donc l'exemple d'un jeune garçon 
et d'un veillard de 80 ans qui ont converti en 
dollars leurs moments libres, ainsi que d'une 
jeune fille de l'Alberta qui trouve le temps 
‘de gagner mille piastres par année.’ Ils ne 

‘connaissaient rien auparavant de l'Auto Knit- 

ter. ‘Îls ont appris comme des milliers d'au- ; 

tres en‘suivant les simples instructions four- . 

nies avec chaque machine, 


L'expérience ce 
n'est pas nécessaire. \ | 


- .”: Nous aimerions à vous envoyer une copie 

de notre livre “COMMENT FAIRE DE L'AR- - 
GENT A LA MAISON."”. C'est toute l'his- Us a 2 
‘toire de l'Auto Knitter. i 
foùt que. vous compreniez combien peu il vous. .. 
faut pour débuter dans ce commerce profita- 
ble, un commerce qui est bien vôtre.. Vous Latr 
n'avez qu'à découper le coupon ci-après, y 


Nous voudrions sur- “7,8 


Ge n'est pas connue de prover. 
Le “Point d'argent, point de Suis- 
Ses Lei, bentéonp de Suisses ot 
peu d'argent 


L On ne, 
leur demandait pas d'argent, mais, 


note ce es 


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Le commerce de PAuto Knittor est 
basé eur la coopération. Nous avons 
bogoim d'honmues et de Femmes pour 
; coter des chaussettes et Is: ont. be- 

soin de nous pour avoir les: machines 
“ete tenvail, C'est nn commietee”"d’ai- 
\. de; niutuelle, . ti 

DIS juié de progrès 'constunt- téinoi- 

gnont de-notre solidité. La demande 
pou des chaussattes {ricotées ver PAU. 


LA 
LRET p 


Hi 


to Knitter.est plus giunde. que’ jammis, : 
: Nous ‘avons Lésoin de plits dotvrièrs, : 


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u, Gânadu, ‘ 


htuite< . 


4 
3 


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A 
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5 fairé‘de Pargent à la maisoh. avec: l'Au- °E 
Ë 
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Ë Adresse noripemnrrrnsnsonte 
El MUR Lusamerenrrrrcessenaee à POV eee ERA 
É { !, , . OR tr, û nn 

Ë Lé Patriote, Princé-Albért,.jan 7-25 ‘Ë 
er re 


x + Cd 


21 , 
n 
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quelqu'un, si lon nopsva:déplu, di- 


sons-le donc tout de sui 
soil fini, 
de visage 


humeur: : 


ES. 
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Ce] 
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foptes, la vie ne serait pas la vie 
si elle ne nous umenuait chaque 
jour, des soucis, des contrariétés, 
‘des fristesses, Encore une’ fois, 
rien de nous excuse de faire tomber 
sufchutrui Je fardeau qui nous est 
destiné, La patience et la résji- 
&nation. sont deux trés belles ver- 
ns, aussi salufaires pour ceux qui 
Jes pratiquent que pour ceux qui 


‘ -morose, pas de bougon- 
serein, une bouche souriante, un 
air tranquille plutôt. Ft nous ver- 
rons que les rapports sociaux et 
familliaux seront plus agréables, 
plus tendres ‘et plus aisés, Disons- 
nous qu'il peut + avoir, auprès de 
nous, des -coeurs plus sensibles 


Connaissez-vous rien de plus -op- 
pressant, de-plus-énervant, de plus 
déprimant, de plus déconcertant 
que le fait-de vous éveiller ‘un bon 
matin, pour tronver près de vous 
ce qu’on appelle un grand visage? 
de ne sache rien qui soit plus 'dé- 


te ei que ce | figée au beau milieu de lestrade, 
Pas de bouderie, pas] la bouché ouverte, Pindex abaisse. 


nement ef de marimoltages; un front | 


4 7 | LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi 7 janvier | 


A $ 
meur égale, quoiqu'il advienne, SifLes petites se mirent à pleurer! Lu 
ous avons des reproches à faire. à | sou 


Sie Gudule.s'affnissa, sur, hr] 
‘La. soeur ssupéricure reslt | 
[l 


chaise, 


AT fallut au moins cinq mintties 
pour que tout le monde put se re 
inettre, ‘ 

Lorsque ce fat fait et que les peu- 
siondaires se furent retirées, elles 
restérent louies trois à se.regarder: 
ina socur: supérieure”"sur Pestrade, 
ma sècur Sle Gudule toujours cf- 
fondrée sur‘sa ‘chaise ct ia soettr 
Ste Joséphine toujours souriante. : 

—-Et miaintenahtisocur Ste José. 


—Mais, ma soeur supérieure, c’est 
très simple; vous savez hier, vous 
m'avez envoyée faire une course ct 


plte péri ES qui cause une sensation ? les "entoure. Toutes, deux sont cn air Foie fern soufrirs qu'un 
Qu'y a-t-il? Vous vous creusez ja [es fieurons de La charité ui est a mot 1 usque : era replier sur eux: 
tête pour le devincr. Qu'est-ce basé de tous es Tappofts Humains. [mêmes et qu'une mauvaise humeur | phine expliquez-vous! 
qui a amoncelé pareils nuages sur | ‘ Habituons-nous donc à contrôler linexpliquée ou inexplicable fera 
ie front de votre commensal? .Mys-fnos nerfs,  Sachions garder pour [pleurer en secret, 
stère, - Quelle est la cause de cette fous ce qui nous ennuie. Prenons 
réfrigérante ? Point {d'habitude de ‘conserver une hu- _ " 


atmosphère } Û 
d'interrogation auquel vous ne sau- 


LISE. 


L mens seen EE 


viez répondre, votre vic futselle + F ; T7 
en jeu, Fo  { » Noel ° _é 
Si vous parlez, on ne  daigne Conte de Noel - 


point vous entendre ou l'ôn bou- |: 
gonne d'une facon inintelligible; Si 
Vous faites des avances, on vous 
tourne à pou près le das, Ni vous 
tâchez d'être prévenante el gr, 
un regard noir vous arrète Je sou | ——_—— 
rire sur les lèvres. Si vous ne diles F" Tout au long de Poffice Ja bonne 
rien, da situation se tent, 5e ten ‘soeur Ste Gudule, Ia cuisinière de 
à vous briser les nerfs. Poste! quel Fit à « a out nc dic 
: : as spice St-Aiphonse, eut des dis- 
le mésaventure insupportable! Et Lhospice St-Alphonse, eu 


1. 


quelles heures mortellement ton | (actions, des distractions formi- 
gues que celles qui s'écoulent aifsi! Ldables! Elle avait beau se morigé- 


ag elle-même, su dire qu'elle as- 
Asistait à la messe de minuit, et qu’il 
fallait porter attention aux eéré- 
.monies, tien n'y faisait... les dis- 
d'actions comme des taons cenragés, 
Paccablaient.... La première lui 
était venue comme ça, au beau mi- 
lieu du premict cantique: 


on 
Û 


Pour ma part, je vous assure Que 
je préfére une scène à Lout casser, 
une discussion violente, des repro- 
ches qui soulägent le cocur-—où, la 
bile,—et qui, comme Igs orages d'é- 
té, purifient Fair et chassent iles 
nuages. Quand on a eù une bonne 
querelle, on sait au inoins à quoi 
s'en tenir et l’on supporte mieux |. 
Ja mauvaise humeur, si la quinté: 
en persiste, On,en suit la causé ci} 
cela: vous donne‘la chance d'être def _- 
nauvaise humeur, aussi. . Et pendant que, groupés auprès de 

Certaines personnes ont:le-carac-klharmonium, les enfants  déta- 
tère très égal: elles ‘soñt “constam-! chaicnt avec enirain les notes du 
mènt furieuses.. Alors, qu'elles le! vieux refrain, la socur Ste Gudule 
soient un peu plus outun-pèu.moins, | s'était surprise à penser: “Demain 
cela dévient tout à: Fait égal" àdeur l'avant de la mettre au four il fau- 
entourage. Mais quand un: pobine dra que je repasse ma couture, Les 
ou une femme, ést simablé d’Hgbi- points ne sont peut-être pas assez 
tude; quandæbn st “aveoutuné à/serrés." Mais celle s'était reprise 
son sourire, à son affabilité, à sa aussitot et avait chassé comme fai. 
gäielé et qu'on trouve tout-à-coun | saine cetle idée saugrenue. 
sa figure sombre sans en savoir lel""La tentation était revenue d'un 
sujet, mon Dieu! que ca fait mal el éuire coté: “Les morceaux de lard 
que ça rend les relalions familiales ! 


SI est né le divin enfant 
Jouez haut bois.....” 


Quand c'esi le mari qui gragne, 
c'est Moins , Jung, d'ordinaire. 
L'heure vient où doit quitier I. 

} besogne, duo- 


tatin! C'est important!” 
EL à deux minutes du Sanclus, 
“ne crainte Pavait saisie qui Pa 
{ vail tenue sous son élreinte, Dicu 
ji sait combien de temps: ‘“Donté di- 
vine, le fourneau! H faudra le .sur- 
veiller de près. Si j'allais laisser 
bruler la dinde! Quel désastre? IE 
lorsque ses compagnes se levérent 
“pont le dernier évangile de la der- 
rhière ,messe, la pauvre soeur St: 
LS HONTE.  HGudile constatg avec terreur qu'el- 
grandes portes el fenêtres, rien D'f {le n'ovail pas encore dépassé ‘Pé- 
fait; tout le monde reste mal & Fat Lire! 
sé D + “gai Û LT . 
PTT Rn NECUSr à ae LE Ce est pas que soeur Ste Gudu- 
J à Jefut goutmande ou égoisiu4 oh! 


‘à pus expérimenté 
réille si un? Oui.dé pen LU Ut } ) 
pareille situation? Qui.dé nous y'en “iniais de la vie par: exemple, Ses 
distractions étaient si on peut par- 


maieon pour 1ler-à sa 
tidienne. Dans Le lrajct où au 
cours @e la journée. les motifs mvs- 
térieux qui agissent sur son Hutrrur 
ont le temps el la chance de $é- 
vaporei. Mais quand il s’agit de Ha 
mère, où de la grande fille ou de 
la bonne, oh!-la, la! que Pennui est 
grand! {On u ,beau ouvrir. toules | 


a.pas souffert? ‘Vous savez toutes à 


quelle tension. d'esprit ct de nerfs “ler niusi, dés distractions Lout à. 
on est alors en, proie, quel dégoût te Lonorables. Sans doute il v 


nous prend de tout travail, cob: 
bjen : tente’ nous. parait la course 
dés aiguilles’sur le cadran door: 
loge. LS — 

Presque toujours, quand Je nuage 
est passé, la personne qui a fnit 


mvait Ha dinde.:.. Oui, mais son- 
he que cétait vue dinde comme 
on on voil peu: énorme, grasse, et 
lendre, tendre, C'était Monsieur 
Gérard, un hou voisin, qui l'avait 


| La supérieure se décida de re- 
6 


ue ç: na soeur, sonLils ficclés assez s0-{ évident, il s'agissail tout. simple- 
difficiles! . | lidement? IE faudra v voir demaig {ment de lui mettre la main dessus, 


… La dinde de Soeur Ste-Gudule 


| chirurgien avec des attentions de 
: Ld 


chirurgiens, 

Etait-il étonnant après cela 
qu’elle eut des distractions? 

f CELL 


Or le lendemain matin en pé- 
nétrant dans Île garde-manger, la 
cuisinière de l'hospice faillit avoir 
un évanouissements; fa dinde, l: 
chère dinde, m'était plus là! C’esl 
à peine si elle put trouver le cou- 
rage, la pauvre soeur, d'aller aver- 
tir la supérieure, Celle-ci d’ailleurs 
ne voulut pas la croire. - ‘ 

—-Voyons, ma chère, vous n’a. 
vez pas bien regardé. Les fenêtres 


vortes ferment à clef. Par où vou- 


ne s'ouvrent pas de l'extérieur, | 


lez-vous qu'elle soit passée votre 
dinde, - ’ 

—Je n'en sais rien, je vous as- 
sure, mais elle est partie tout de 
Inépic, 

Et c'était vrai! 

On eut beau füreter dans Ie gar- 
de-manger, jouvrir toutes les por- 
tes, soulever tous les couvercles. 
Lu dinde hélas était Lien partie! 


courir aux grands moyens, Le vo- 
leur étail dans la maison, c'était 


Ou allait voir. : 
Toutes Îles pensicanaires ct tou- 
es les religieuses furent immédia- 
tement convoquées dans la grande 
Salle de-réeeption et prenant son 


air le plus terrible, 11 supérieure | leurs, tous les auditeurs de Quimper 


monts sur lestrade: Lo 
— Mes amis. on à volé la dinde 


de soeur Ste Gudule. EE d'un gesle | émou rahts qui Jour étaient adressis. 
de; 
| 


solennel elle montrait la cuisinière 
qui avait peine à $e lenir debout, 
les veux rouges." la mine abaltue..…. 
Et elle continua: 
—Le voleur est connu! {lt est par- 


mi vous! Muis nous voulons qu'il [#raves problèmes religieux de l'heu- 


uvoue!-- , no , 
Le true malbeurensement-ne prit 
pas. Tes pensionnaires se regardé. 
rent les uns Îles ‘antres avee Pair 
de se fire: Piens x avait done 
une dinde?” Seule la potite Ioick 


dine. Péruheline, effrayvée, se it à | de style si variés par quelques phr- 


sareloter ‘énerdument.... 

Et c'est alors ur ma soeur José. 
Dhine, Ta snepictaines:fit. son an. 
parifion, Elle était oftardée À la 


grands pardons du Foligoët, in fou- 


ie suis entrée en passant chez les 
Doucet, ,.,! C'est si pauvre chez 
cux, Et huit jeunes enfanis pres- 
que tous des bébés! Et avec ca le: 


| - : . {  CHEZ NOUS ET AILLEURS 


ne ue 


LE 


SRE 77 


Trois congrégations à expul- 
ser 


: . rA . 
Dans la Drone une journée, d’'ac- 
tion catholique a eu lieu sous la 
présidence de M. le chanoine Cour- 
bis,‘ E y fut question d’expulser 
trois congrégations celles des sau- 
lcs-pleureurs, des bras croisés et 
des bâtons ans les roues,..ct de 
défendre les autres, “Les lois laï | 


ques ont transformé nos chapelles! riot, que, si son patriotisme se lais- 
Crest} sait vaincre par les haines .macon- 


en ceuries. Cela s’est vu à 
mème. où la chapelle de l'ancien Pe- 
tit Séminaire est aujourdhui Fécu- 
rie de la gendarmerie, Et lon vicn- 
dra s'étonner de notre résistance.” 
Dans l'Aveyron, 200 paroisses en- 
viron sur 650 sont organisées et af- 
filiées à La Ligue catholique du 
Rouergub. “L'organisation wéthodi- 
que Se pouiSuit activement ct avec 
un plein succès, . 
En Bretagne de belles manifesra- 
tions se sont produites. sur la 
vaste csplanade qui s'étend devant 
les autels en plein air destinés aux 
le formait”un rectangle colossal: 
350 rangées de 150 Bretons, soit 52. 
506: plus «de- 72,000 électeurs du Fi- 
nistère dans les deux assemblées! 
> Grâce “h un dispositif ingénicus 
de microphones el de hauts-par- 
el du Folgoël ont entendu, SAS per | ’ 
dre la meindre svllabe les discours | 
Les plus: délieules inflexions | 
voix, les plus fines nuances étaient 
distinetement pereucs, Ces haran- 
gues-en français ei en breton ont: 


représente cl tout un enseignement 
coinpiet et Drécis à ces foules de 
manifestants venues de toûtes les 
paroisses du dicrèse, è 
Mgr Duparc reliait, Les dis aux 
autres ces discours de parartère et 


présenté les aspects ossentiels “| 
| 
} 
{l 
| 


ses atdmitables de‘tdlabté et de Toi 
qui élevaient Ic$ nes vers Dieu 
comme des coups d'ailes qui fon- 
duieut tous les coeurs dans un mè- 


ner meurent pas de dinde ce Noël- 


ER 


| LES NOUVELLES 


sé les Sarrazins à Poiticrs, comme 


implantant luthéisme, 
milliers, de catholiques, dans toute 


nassion de la liberté, la volonté de 
la victoire. Ù : 


| FERMIERS | 
-È # À ne 
1 Quand vous venez en vil- || 


| le avec vos chevaux, si 


| les prix sont les plus bas 


| Royal Stables 


souffrir ainsi les autres est irfs &- 
tonnée si quelqu'un lui en fat un 
reproche, “Elle n'avait rien de par- 
ticulier,-son état d'esprit n'avait pas 
varié, des autres, s'étaient imaginé 
qu'elle n'était pas comme d'habitu- 
de."'etc. En somme. les autres au- 
ront ou les iorts, elle aura eu rai- 
son... Et c'est ainsi. . 

Un petit exainer -de Conscience 
nous montrera pent-étre que nous 
sommes, sauvent, de ceux qui met- 
tent. les leurs dans uh, si ‘ctisant 
embarras. ‘ 


É le matin méme pour le di- 


ner des Socurs! Et si sonur Ste Gu- 
dule 4 attachait tant d'importance 
c'est qu'elle songeait d'avance à la 


surprise de ses comnaunes et à la 


joie des vieux! Car il avait té dé- 
.cidé avec la supérieure, que Ton 
“hviterail pour ce repas les qua- 
tre pensionnaires les plus âgés. Il 
v aurait d'obord le nère Maurice, 
un véiéran de la guerre des Boers, 
aui hougonpait touionrs ot qui a- 
vait cne manièrest déconrertante 
de renvover les nlats à la enisiniére 
von des “Bon Dieu de hen Dieu, 


rhanelle à prénarer les ornements [Me dessein généreux de sauvegar- 
Dourà la peand'imesse ct comme re. der coûte que coûte :le patrimoine 
Va Ja cénait de s'avaners an milion [SAtCcré, du pays. : 1 était umpossible 
de celte fonte. elle rosta hien dis | du conéevoir jusqu'à présent une 
srètenent à Ta norte, IE m'étais Pinanifeslaiion religicuse aussi puis- 
{nae Dokain de soprecher d'ail [saute par le nombre et dominée en 
À leuve pour entandre cer diçait [IOèmMme temps par une spiritualité 
ma vaeur supérieure, oh! nont. [aussi fine çt'aussi pure. À ce point 

—Vovors, enrore ne Foiet an | de vue, les, manifestations du Kiris- 
an volé a dinde de coane Sts CGnda. [ère araucront une date Emportan- 


"“Arliste” 


Dhe Casavant “Gyillaume et Marie”. 


925 
D ne 
t ‘ 
ère qui-est malade, Eniaginez | Si le gouvernement n'est. pas en- ‘L’apostolat mice: , 
Gui Ra vient rien, pour eur, dî- ! core suffisamment: averti, qu'il lise}. po olât MUSSionnaire 
ner d'aujourd'hui, rien, absolument! et, médite-ées: bèBles ‘paroles du Dr!" / Fance 
riun.…….. Alors j'ai voulu faire quel“ | Pfleger: “Nous sommes décidés CS - 
que chose pour eux et Pai dit'à} préparés à Ia lutte. Notre résis-| pas Dans le bis 
l'un des enfants de vouir, que ÿes- | tance sera active et victorieuse... ‘prononcé lors mn 1e LU 
saierais de leur trouver de quoi fles soldats français ont vaineu les! jee de -rentréc de ñ 
BANG soc cessessessrese Allemands; nous aurons Jes Loëes {line de Paris, < ï 
’ sp mHAconnIqUues... Ce que nos péres !jart à souligné je a Er 
Se SE où été, les fils entendent le rester! ronces publiques, ‘à cvès 
catholiques ct Français toujours,” postotat missiontat onnée 
en 1928.24: + 00e 


AR T 
Les conférences de lt 


ar ntm, 


ors 
sCanco 
Plaslitat 


qui} 


—… 


L Maréchal de le Foi : | 


. H s’acit du général de Casteinäu. 
Ce’ vaillant catholique x mené, en 
1916, les armées françaises à la vic- 
toire. des armes, sur les champs de 
bataille, quand il s'agissait de re- 
pousser jes hordes allemandes, "A- 
près six ans de remous politiques, 
les vagues de tous les pays s'entre- 
choquant avec force pour rétablir 
le calme— quelle inconséquence)— 
voilà que d'autres ‘hordes sr mobi- 
lisent, et c'est sur le terrain reli- 
gieux que se fera fa lutte cette fois. 
La ffanc-maconnerie, se sentant 
puissante, veut faire du prosélytis- 
me, Mais de Castelnau est toujours 
x, à la tête des forecs morales de 
la: France, comme il Pa été jadis 
des effectifs militaires de son pays, 


Les bonnes soeurs pour leur di | 


li, et le repas au début du moins, | , 
ne fut pas bién réjouissant. Mais 
petit à petit le malaise disparut... 
Toutes les religieuses que voulez- 
vous, songeuiont à la joie qui de- 
vait régner à ce moment-Jà à la ta- 
ble de la famille Doucet... .: Et quel 
meilleur plaisir pour une soeur que 
de procurer de-la joie aux aulres.. 
Et ma soeur Sie Gudule n’a pas 
gardé rançcune à ma Socur Se, Jo- 
séphine, angéline). 


-|sionnaire sur “lapostolat 
naire de ln Françar out 
comble et produit une 
fonde, dont. l'efficacité 
tant plus durable que ec 
fes viennent de paraitre 
Volume, que S. Em, 
bois, président hational 
a honoré d'une préface. 
tacle plus capable de faire 
nos intelligences ct nos Cet 
eclui de ces hommes si 4 
dans leur simplicité, qui dis 
pas seulement de qu'is on! 
mais-ce qu'ils ont 
deviner dans Ja moindre 
paroles . la flamme sacrée 
crmbrasé: “Mgr de Grébrian 
Missiohs étrangères: { 
Lazaristess A "Tauzin 
Blancs; le P, de Grange 
Jésuites; le P. Duchaus: 


(L'E 


er 


Mgr:Le Roy, des Pères du 


ne 
de l 


it 


Solen. 
Ü Cathr 
Baudri]. 
deK confé. 
D Sur a 
la France 


Union Mis. 
Mission. 
ONE fait salle 
Emotion pro. 
Set d'au 

S Conféren. 
CH un be 
» card ! 
le Cardinal Du. 
de Union 
Quel Spee. 
vibrer 
TS que 
loquents 
ch{, nou 
il appris, 
vécu, ct laissent 
de Jours 
qui les 
i les 
M. Cazot, des 
des Pére 
neuve, des 
bis, des (1 


les petits soldats de France ont é-}La rude leçon qu'il a donnée à l'AI- blats de’ Marie-[nmaenée: le p 
crasé les Allemands sur Je Champ, lemagne envahissante, il la prépare Maniglier, des Assomptionistes: le 
de bataille de la Marne, La Frant-!l 3 lanticléricalisme de Herriot et{P. Giscard; des Franciscaine ten 
Maçonnerie est une congrégation oc- ° Jeulord, dés Missi oo jé P, 
culte ct'ilégale qui veut étendre son uiora, dés ANSsions africaines de 
impérialisme odivux sur toute Ja Lyon; le PF, Eajoie, des Eudistes: 


France en décrétant la mort de tou- | appelait, lors de l’armisticé, ce vail- Saints. 
tes les autres Congrégations, et Cn!jant soldat de France: maréchal deforit: “4 ‘série. se ‘continue celte 


Assez! Des la victoire! ajoutera à ce titre cet 
autre, encore plus’ significatif: ma- 


réchal de la Foi! 


ce, le voilà dans ce qu'il a de 
noble. | 
la VE E 


NE 


ln France, ont fait savoir à M. Her- 


niques qui se vantent de Je manoeu- 
vrer, ils sauraient avoir, avec în 


La seule Compagnie Caänadienne-Française faisant de 
Passurance-vie. au Canäda 

Bureau chef, MONTREAL 
Bureau provincial pour POuest,' VONDA, Sask. 


; 


vous voulez trouver une.|} 
écurie confortable et où 


À l'occasion de la nou velle ‘année, M. Raymond 
.* + : once 4 \ 
Denis et les officiers de la Sauvegarde offrent à tous les 


assurés de notre grande compagnie Canadienne et à 
, 


Cie... | 
Et la population française, qui 

| 

| 

| 

Î 

Î 

| 


allez sens hésiter aux 


leurs familles leurs voeux lés meilleurs de bonne «t 
heureuse année. . ON ti 1. | 


ui : ; . 

Hs Les veinercient des affaites qu'ils ont bien voulu accorder à 
la Contpagnie, et ils seront heureux:.comme par Te passé de leur. 
aidet toutes les fois que la” possibililé eur cn sera donnée, 

Fous ceux qui ont eu affaire avec Ju bureau général à Mont- 
réal ou avec le burean provincial 4 Vondé savent par expérience 
que rien n'est épargné ‘pour rendre service aux assurés de la Sur 
vegarde el-pour leur donner un service dussi Satisfaisant que pos: 
sibie, Nous ferons Lous nos efforts pot -mainienir en 1993 la 
bonné réputation que Ja Compagnie s’est acquise par le passé 

En retour nous demandons & nos qompalriotes de bien von 
loir nous favoriser avec Jours assurances sir Aa vie. Hs sont 
certains qu'ils n'auront jamais à s'en répelir, Nos aux sunl 
aussi avantageux que ceux’ de nimporte quélle autre compague 
et nos polices en dehors d'autres -avantages: importants garan- 
tiésent aux assurées Ie bénéfice de fa clause automatique après 
deux ans, alors que ‘Ta plupart des autres compagnies ne laccor- 
dcat au'aprés (rois uns. 

Nos assurés ont enfin Finnnense satisfaction de pouvoir dire 
qu'ils sont assurés dans la seule compagnie Canatlienne Frineai 
se qui exisie dans tout: le Dominion, .Ks savent qu'ils ont les 
mêmes sécurités qu'ils auraiçnt pu avoir dans une aulre compare 
guie étrangère, el qu'en plus, is ont faitsaéte de patriotisme, 


Angle 2e Avenue et 13e 
__ Ru Ouest 
PFRINCE-ALBERT 


LA SAUVE 


Concours des Sourds-Muets 
LE TIRAGE 


Les primes” du concours de cha- 
rité des Sourds-Mueis ont été gu- 
spées dans Pordre suivant: 

EH Char Ford, Sedan-Fudor, Bur-! 
ke séries, No 3811, Danre Gagnon, 
North Ware, Mauss: 2, Piano Crais 
série ‘Molière No 9897, 


Paume EF, Deschamps, Mont StGré- 
goire, Cité lberville; 4 Phonogra- 


séries, Mo 6294, Alphon-! 
At, Capreol, Ont; 4, Aureu- 
Element de ehambre “Kvonix”, 0 


Encore une fois bonne et heureuse année à tous nos 


Witzoalrig ; \ . 
assurés et à leurs familles. ,.: 


k 
ses Lascell, 


' 


I nous arrive Je nous sentir hors | Vraves dons pas rnire. C’ect vire 
de nos nds. fatigués. contrariés, | an'nn déieuner an batoillon.” Pour 


énervés. Mais: nourdiiai faire’ pür- moe {nie nu nine il eprgit rontent! 
ter aux auires le noids de ce qui 
nous agace Pouranoi readre la 'mai- 
son insupportable -à nôs familiers 
parce qu'il se Ivouve ane nôûns. a 
vons mal dormi ou.mal révé? Un 
peu de réflexion et benucoun ‘de 
charité remédieraient vlus vite u 
nos ennuis qu'une: longe. inurnée 
de mauvaise humenrs, : Ei s'il faut 


Ft Ja vieillh Madeleine dons gi 
simagit font Lau hane morvenanxt Ft 
Montana LaBlenoha nt op vionx mé- 
coñnnt era gui aÿmaîit tapf par 
Tee du asonme op it avait. tont &ne 
siens" Côté pour faire obicir à 


, * # 
doué ececmonde ee enanp Sie Gudis: 


Th QUE prnvnaillé ei Fogmpope toute 
M ninarnept Je fases dans plfn no. 


vait pomvli fa volailla à ui pu foi. 
re epocnget Ja Don 5 pri roncant 


absolument asser. lee vitres nour 
faire écouler notre bile, cussonsles 


num À 
Comes eegpeameteneneenenn ins 


olatress DRDCETRET PERTE. Fitness ? 


pans) 
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Truite, saumonée nettoyée, la 1b.............. 14e 
Mulets.ronds, la Ib................:......... Ac. 
Faités-une commande s'élevant à 100 livres ou 50 livres de 
poisson:comme vous le désirez, . Mettez assez d'argent pour pa- 
yer aux prig marqués. S'il n'ya pas d'agent à votre Station met- 
tez assez d'argent en plus pour payer le transport d'avance. 


Ecrivez votre nom et adresse bien lisiblemernit et adressez votre : 
Big River Coñsolidated Fisheries Ltd, 
OUEN ne BIG RIVER, SASK. : on 


» ! Référence: La. Banque Royale, Prince-Albert, Sask, 
PS " DR ve ‘ : 4 , 7 ‘ 


st NE ; + 


So 


I  NNEENER 


maine, d'un terrible danger pour 
l'avenir de la Francec. 
"A Su Îrouver prochainement en 
“élat de légitime défense" ‘contre 
ceux qui devraient être ses “Pas: | 
teurs". vt qui méditent d’être ses! 
“bourreaux”, On s'en prend d'abort 
au Citholicisme, -paree qu'it est Ja 
grosse pièce de résistance: “ia lul- 
te entre le catholicisme et la Franc- 
maconperie est une Jufte- 4 mort 
Sans iréve ni merft, déclarent les! 
maçons, Tel est *Pobjectif jimimé-: 
diat, Le but lointain est'li révo- 
luticn internationale ans le triom- | 
phe de lathéisme, vainquenr du. 
christianisme. Voilà Île prosram- | 
me, Aux catholiaues francais de) 
relever Ie gant, C’est ee qu'ils font 
actuclHement, . 


LIQUIDATION DES CROYANCES 
RELIGIEUSES 


, rest en Russie soviétique que 
lon ose employer cette expression 
imunstrueuse, 1 s'agit tout simple. 
ment de Ta confiscation des trésors 
des églises précédée de sonféren- 
ces, de mcoctings et'de discussions 
visant 4 a destruction de la foi dans 
le peuple, Voilà où en sont arrivés 
les ilotes du holchévisme; c'est à 
cela que veulent arriver aussi on 
France, les efforts dé la Franc-ma- 
connerie, Heureusentent, les catho- 
liques_ français. ne sont‘ pas des 
“moujiks*. La résistance  catholi- 
Œue se prouvera auirement que par 
des rodomontades, ? 


“ON LES AURA” 


rss À 
La société: 


} 


; 


L'heure de TV“Aelion énergique 
a sonné, Dans tout ‘Ie pays de 


France, la résistances: s'organise, Les 
Français se. souviennent que Joffre, 
à là bataille de la'.Mavne, a'idit a 


- Ses lroupes:-“Plutôt se faire tuer 
‘Sur place que de-reculer.”. Voilà 


noire mot d'ordre -denné:aux’ catho- 


“liques de France. : Il n'y a pas de 


doute: ce sont ‘les:yFranes-Macons 


‘qui leur ont. déclaré une guerre à | 


or. . Les catholiques les écrasc- 
rond, comme Charles: Martel a éerae. 
CU, AT 


12175, conférence Ste-Madalcine,, Ou- 


Pasteur, No 6717, Dame FR, Carrier, 
! 


nes parlons: pi ei Pinlox s'a- ERA l'histoire de Paposlolnt Ch! screcaux, matelas et sommier série N it 
Datesaif nn geste frinérions, pare Li . DS # :ç EPNTS LOCAUX s "DEC 
voulons me la personne qui a fait ea, 1297 rue StHubert, Montréal: 5, BONS AGENTS" LOCAUX, DEMANDES 
le joue Pranet | Les catholiques de France:lut- Ccuvreilit de luxe fait à La main,! { LA SAUVEGARDE ; 
Prat nas nn fnffinl teront tusau’au bout éontre| F aus de travail, série Canada, No! éd : Ft 
Paie font à cons danse la trans. ° Jus nas ÉPU8185, Toussaint Girard, St-Urbain,i . Ù 
nn de la norte nee natite voisine kB Frenc-Maçonnerie Cté Charlevoix: 6, Laveuse éloctri-: Pour informations, s'adresser ‘à 
none eat nenilement: | | | que “La Canadienne” de Béique, | To, ae 
ns inde Mais, cost moi ; Paris. 7 rancoup. de Français, | nent Nasoléon. No 56, . DES Raymond Denis, -ageril -générél pour POuest, 
Da ee enane Un Joctohi snnés lc mai dernier croient na= | DO me der, Ehemin Lust En ronx | . | | ne 
nt nanas da er J080DBine [fvement que lesegouvernants actuels ! Park; 7, Poële combiné . iobert "| D “VONDA, SASIG 
ART Rent Aie taenats | de la France sont leurs mandatai- ; SEre Buflon, No 404, Antonio Bru- " rh non 
ere a A PE nas res. Erreur. Ceux aui sont actu: ! net. 2043, ue Mont-Royal, Mont-: not 
Re ati € ce Pins î ch chement à Ja tête dy pays ont voué | mésil: 8, Di ancite Krechler, cuir! 
RO nanriint de je. [a maçonnerie, le “voeu d'obéis-!sclide, série Napoléon, No G719,E 
Qi nonnneena nr pr rar de le sance” qui est, cette’ fois, unc vraie, Providence S.-Enfant-Jésus, Mile-l, parterre 
re ceminre nalei ét De sipills Ale. | diminution de la pbrsonnalité bu | end, Montréal: 9. Machine à cou- our TT, 


dre, “Singer” chène doré, série Laek 
salle, No 7593, Joseph Nadeau, St | 
Masrlme, . Dorchesters JO Fauteuil! 
Ghestetlield, cuir Grafl, série Mant-! 
joie. No #30, TL Darwin, 5568, iére | 
avenue,  Roscmont Montréal; 11. 
Couchetie de cnivre avec panneaux 
de ‘fantaisie, série Racine, No, 
Acadt@uie Si-Arsène, Montréal; 12, 
Bx-Bicielette de Auxe pour garçon. 
série Hébert, 4195, Félix Viau, 3141 
ruv Clarke, Montréal: 13 Carosse 
de bébé en véritable rotin, série | 
Ampère, No 531, AE, Laggell SLIE 
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LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi 7 janvier 1925 


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ns rites 


Je : + ne ee eme mm née cennn eee Lae d emnne, momne cuecomme ec ece D 0 A A A + à 0 bn tn ee col 
ë. e 2 ‘ . a a pa “À _ 2 
Fo, r À ‘ offert au client au sortir de l'eau. es = . Lu : ° ' « ” ‘ h 
Notes.de Voyage Minnie ve QT CMME.B. H. HART 
: . “Pout fräis Sgrlant de Ve.” A tre et CN ANT Fe ” ta a L Ù 
5: le LT d . D . . crient les poissonnicres qui chargées "EST SE SL ER "AUROARLRUOE Le © a 
; Intéressante lett re du Dr Godin ., de. jour hote parcourent les rues Es eme ne ne . MALADE IX ANS 
: ; ; J : at ! \ ce rek-P RETOUR : : { L @. » 2 — k <° -Î 
linde Will L toujours BB, ( d'essayer le thé, c’est de legoûter— | baba à 
, pr Arséne Godin de Witotw mer st foujours là, loujours re! Vieilles ce DS LP WP. 2 H ! à 
M, le 1 Un président general de |muante, tantôt proche, tantôt loin- etes coutumes hG Vert Veut que les femmes saclisut-d # 6 jours pour l'Angleterco via : 


h Plymouth . 
Si vous allez en France, pre- 
nez un bateau qui vous y 


que le Composé Végétal de, |. 
Lydia E, Pinkham l’a rétablio | °È 


de ni l k AE 
mul qui est actuellement en itainc, qui fait entendre sa grande 
4 ie, nous COHINUNIQUE les nojes |VOK et donne Fimpression de la 
Honyrte. séjour € Berck-|vie. L'artiste admire les cffets de 


Chez ce peuple de marins frus- 
tres, UR peu sauvages, mais patients, | * 


É s SH SON : résignes, availiours cl touiours * , ET El 
aininles SH : on ï are. vanihe , à $ M ASIE ‘ u] 8 l'ounnall, Ont. — “l'esnaié otre on M ee = 
Due en France qui ne Mariquer ont gunière, variés et changeants, el vigoureux, les coutumes anciennes , | remède et il me fait ste otre #& ‘lébarauera directement de Ë 

intéresser nos lôctettrs, es aspecls si divers de l'océan, Le Ipersistent, pour Ji plus grande joi: " + lait certumenen 8 Ja passerelle, sur un quai É 
PE toltre est datée de Paris. bleu loridre du ciel se marie avec Je Ides baisnours. FU ' du bien; je vais. couvert, au Havre, à 3 hou £ 
tent nn . - Jvert de locean et Le jaune:des du- jh NE Le : le “FE res ‘seulement de Paris °° ë 

ne . nes, en C OUrTS CS os faninic Le , , & pret | : endre. Je , a. F. | A ‘ 

Loin des veux, lois tt COEUR 9 brütales Comme dans Lg Es | . he lavage de St-Pierre : NS sentais  toufotirés France, 14 jan, 4 fév, 28 È 

a . se l'ocgti ia n ce. ce d RIATIER ‘S ays secs : ! : Ê | : CHU: , LIOUES s | . 

ie proverbe. de Festinié Faux, ie pui ignus. st C - - : si l'atiguée le te lun À 
ee PONT SE es céncorne, [OU Midi: point de lignes. ivement One cn beaucoup de ports de e RER PIQUE Jan ane Lune à : à Mes y: À 
LU monts CR CE qui ne el dessinées à l'emporte pièce, mais Brelagne, au début de la SUIS au fait ia ECRQUE e 6e toutes les PEPFSOI tin que je netpoue x HT ki 8 


, s anis du Cuna- à i 
, de nes an too. [es «nuances, totile une gamme ‘de [bri 


rois lettres L en août 1924 Lemps, le curé de Berck, suivi 
sivboos à Dore “ii août 1924, , de , ist] à JCTCK, SU 

dla, ATTIVEUS à pere Dense à moi au [Coeurs faibles qui s'associent hur- [de loutes.ses ouailles, bénit da mer. 

me prouvent 4 à tous ceux que [Onieusement Puis ce sont les Ha procession sc déroule sans doute 
à LR jeudiuirables colorations des  cou-[Aveé le mème. cérémonial, prètre 


; je pense à 
gant Que JS Dien Join. . EL cés 

ae s HDi n loin, . EL ces. 

j'ai laissés Hi bas, bier n en chasuble, enfants de chocur en 


demandent: “Que de- 


Paquebots à une classé” 
New-York-Havre-—Paris , 
CU 


ee 


tuées aux thés du Japon. 
BSSAYEZLE . 


KW 30 


8 
E Fév, 
CB Paris, 28: jan, 28 mars, 
IL VOUS PLAÎDA : 


Suffren, 6 jan, D murs, 
avril ‘ 


es 2 ne mean à Qu D ou eee _ 


À En 


clicrs ‘de solcil daus ln mer cl les | 


La Savoie, 24 jan, 25 fév: 


je de mon pavs.nalale 


clione de.chemin de fer de 
ameuse Hgne de cb Je 
ET à Lethbridge. Nos poli- 
fciens ln promettent eh temps dé 
jeetions: Hs sont Si affomalifs que 


Paris au musée du Luxembourg, 
Li autre peintre non moins con- 
nu, Tallegrain,,a passé toute sa vie 
rosons déj voir la fumée [à Berck el s’est inspiré de ce milieu 
ut omotives, alors que les rails[Pour Y représenter ses grandes 
des TOre anis posés. La guerre composilions historiques. T! avait, 
M en phrases, non en acles, Et|diton, élevé son atelier ‘en belvé- 
cureusenrent: il est probable |dère à une efnquantaine de picds 
ur ae refuser d'iei longtemps à fau’ dessus du sol au moyen d'un 
qu'on à Chat échaudé eraint Peau, [9Ppentis en bois pour jouir du par- 
lu faites ie, ‘ sage dans toute son intégrité, 

mène frotte, ' | Te Voici, le cadre décrit en quel. 
Compagnon de voyayes: ques lignes, voyons le contenu, 

| no ps op 

Mais sortons de I poilique pour |. Richesses vaghées 
entrer au plus vite dans tin domaine ; 
plus intéressant Je vous: parlerai 
de ee que jai vu, étudié, appris-èn 
ant que médecin et estime que 
mon Séjour à Berck ni SENEEN H 
grand cpscignenment. en. velix 
faire profiter mes compatriotes, et 
pour étre Ju de tous, jenwoie ma 


L'homme est venu dans ee pays 
en - apparence slérile et inhospitu- 
Her, son ingéniosité el son patient 
Hibeur. ont sû on {rouver el en uti- 
disér, fes richesses cachées, IL les 
a exploilées pouf une double fin, 
Les pêcheurs finrent les premiers 
un ebutmiotes. non -idéle-lquf prirent à Ja mer ses poissons 
mAssEr ee sil parier, non RdÈts AR coquillages. Li: bis belle 
COMpasn OT Ce RARE LT ES chose fut de climat mème de cette 
rive régulicrement ebaie soittines [Pt ont Jes médecins reconnus 
un pen chiffonné il esi vrai, mais. l'escoller Je$ Mmeuccins reconnurent 
jouiours pour moi d'un intérôbsi LEGCNCUICNCE POUT AUEFIH les Scrofn- 
ne car me rapporte Ja Les Et aujourd’hui deux fleuves 
gap ane ci ape #30 [huiains de inarins cl de malades 
‘ prennent des trésors ‘à la plage: 
fs se côloient sans se mêler, chia- 
. Us Jeun vivant sa vice particulière, non 
Berek-Plage est mac pelite ville! hostiles, mais indifférents, étran- 
balnéaire située sur Bi Mandtie tu fgers Pun à lPautre. M 


La ville d'eaux 


sud de Bouiogne, de port sisaglif{ Examinons les. successivément, 
où s'embarquent les voyageurs pour 


aller en Angleicrre, ct au Süd “de Le village des pêcheurs 
Paris-Plige, autre station balnéaire | , | | de. 
bien ronnue dont nous reparléerons, EL Berck ille, ancienne cité habi- 
En face de Berck, par dus béaux ftée par les pêcheurs, cst dans Pinté- 
jours, quand le jemps est pur, àeITieur dies terres à deux milles et 
laide de iumelles, où distingue” af demi où trois milles de la plage, Au 
eole anglaise: c'est Bt plage d'Has- {moyen àge, rapportent Tes enronf- 
fings où descendit en 1066 Gaillau-|queurs de ectte époque, la mer ve- 
me de conquérant ct où il gagna nil battre jusque 44. Peu à peu 
bo bataille qui lui vra PAnglelerre. | He s’est retirée. Mais les marins 
Berck est située au milieu dupe im-fn'ont pas. voulu se déplacer. fs 
mense élendue 4le sable fin Qui sa isonL. restés. fidèles à Jeur, cloche: 
déroute du nord au sud enfun en fautofit duquel leurs humbles mai- 
dran Hiloral d'une vingtaine defsous sont groupées. El pour se 


ses, Femmes, filles, soeurs de pê- | 
chers toutes prient avec ferveur 
pour la vie dès Gtres qui leur sont 
chers, sans cesse exposés au fu. 
Feurs sournoises de l'océan, Les 
deux',.statues de 61. Joseph ruis-! 
selant de dorures et de Notre Dame 
des Sables, sortent de Péglise por- 
idées” par les marins en cette occu- 
sion solennelle, Hs portent encore 
une réduction de bateau, finement 
ouvragé, pourvu de tous ses agrès 
et accessoires, Cest le bateau nr- 
chétvpe: Len  protégesnt celui-là. 
Dieu protége tous les autres, car! 
leurs destinées: sont liées, Arrivé 
sur la plage, ‘le enré monte avec 
ses tides sur un bateau pavoisé 
pour a circonstance: du haut de 
cette estrade if prononce une allo- 
cution el-bénit li mer en Padiurant 
d’être. clémente, Ainsi se déroule 

a cérémonie dénommée par es 
vicux berckois “lo lavage de Saint. 
Pierre”, 

Puisset-citle rendre 
favorables aux pécheurs. Que de- 
viendraient-ils pour accomplir leur 
dur labeur S'is n'avaient la foi % 
Quand’ la témpète souffle, isolés 
dans leur coque de noix.f4lésespé- 
“ant de tout secours humain, ts im- 
plorent'la bonne Notre-Dame des 
Sables: “Sainte Mère &e Dieu, s'é- 
criait l'un doux, si vous me sauvez, 
je vous ferai brûler un cicrge aus-! 
si long que mon gpand'nat,* Quant 
Is furent heurcuinent atiorris! 
ire, demanda Je. ”mousse,, comment 
vas-the Faire, n’existé”" point de 
cicrge aussi grand que eelui que 
ti as promis. --Ne dis rien aflir- 
ta fe marin, cle se contentéra bien 
d'un vierge de virgt centimes,” 

Je me suis peut-être trop étendue 
ur ces inocnrs si.spéciales que'con- 
crvent les Berekois malgré Te eon. 
act de milliers de parisiens alors | 


les flots 


dent. Elles font contraste avec les 


quées, la sejticémie imposait trop 
souvent l'abstention. 
Dar son activité et son dévoucment 
laisse à Berck le meilleur souveni 
H mourut du diabète en 1891, 


a fin de 1892, Phôpital l'ut licisé, 


D ES 0 SD D 


Pé- [ 


deux écoles rivales, qui subsistent Présente Perrochand et Cazin pro- 


oujours à Bérek comme à Paris, d'iguiunt peurs soins ALES enfants. Au 
l'une conservatrice, l'autre inter. jUeSSes Dgure un groupé allégori- 
cationniste, >. que, en bronze également, la chu: 

‘rité consolant un petit scrofuloux. 


Notez qu'à cette époque, cette der- 
nière défait dangereuse, les décou- 
vertes de Pasteur n'étant pas appli. 


Berck allait subir, unc'phase de 
développement intensif. Les maln- 
les allaient se compter put millivrs, 
opivenus des cinq parties du monde; 
Le Dr Cain, [à où un médecin vivait honorable: 
ment, une quarantaine allaient trou. 
v. [ver une bonne clientèle, et plusieurs 
‘faire fortune, : 
Mais je nr'apercois que j'ai dé- 
à releuu trop longtemps l'atten- 
tion de mes lecteurs, Je prends 
congé d'eux remettant à une pro- 
chaine lettre fa fin de celle histoire, 
Dr Arsène GODIN, 


‘LES NOUVELLES 
. .. CHEZ NOUS ET AILLEURS 


2e À QD 11 RD |) CRD À) QU 1) GED D) SUR LS CE Lo D 1 À OR ÉD à IRD à ÉD à GR 1 à QUO SR à 1 GRO 13 GRR à à OUR + À RP 1 à RD RE 1 1 | GED + 


Le Dr Ménard, élève de Lanne- 
ongue ot de Richet lui suceëdas À 


{, peu après sévit une épidémie de 
cigne dont on ne {riompha qu'en 
onstruisant un-lazarel, #07 


+8 ES ED 0-0 


L'effet à létranger de la stu- 
pide politique de persécu- 
tion du: gouvernement fran- 
çais 


| Comment le gouvernement 
maçonnique de France en- 
tend'la liberté - 


: ' ‘ l note confidentielle 
Paris— Lai ‘eimpagne anti-réli-{ suivante vient d'être adressée par 
uieuse qui -se-dessine en Frañee alle ministère de lnstruction publie 
produit ‘4 'Pétranger one impression |dque, à tous les instituteurs: . 

néfaste, "Lus:tirades antieléricales Par application de la circulaire 
de “M:’ Herriot- sont. abondamment fininisiérictle du 9 août dernier, Vous 
reproduiles ‘partout et, à en juger têtes prié de me faire connaître dans 


aris, — La 


par les commentuires qu'elles sus-| tes ‘cinq jours #1 x a dans: votre 
des fonctionnaires : qui 
l'éducation de leurs  en- 


citent, elle s6nl loin d'avoir uv commune 
confient 


Bonne presse, Etes protestants com- 
meles cathôliques n'arrivent pus à 


fants à des.éceoles privées Gndiquer 


comprendre ‘que six atis après Îa s’il va Heu teur nom et Jour fone: 
guerre, il se soit trouvé un gouveé-; lion), E ‘ ‘} 


nement assez" méchant 6t hssez sût 
pour soulever de nouveau les pus 
siens  antHréligtieuses et menager: 


"(Non dela ville de départ), le. 
, V ne 


fois anis me lei ‘y cotte vicille 00 Moins admirables levers sur LSUrHls, vierges vêtues de blanc. ètre protégé par des digues d'épis es deux S lie jar tête: ô a 

gens. que Fais-tu en cette vieile les dunes qu'apprécie Pamant de Ja (Joutes lesconfréries et associations | 1 bois. Cette institution était {ous la deux fondateurs Efdes maux de. tête, pa iril. 18 fév, 16-mars. 

Europe que OS JOURS ete Laure s'il a le courage de se lever [Pieuses déploient eur bannière, (ours sous lt direction éclairées du | Pour commémorer le dévouement | © sensations 4e fus Lé PtERRNE C8 LR, OUTRE, 

peignient Loujours agitée. inquiète, d'assez bonne heure Un Deinire Les femmes uniformément var Perrochaud qui ne fnl que mé. Lt. Pinitiative des deux médecins{ tige, douleurs dans le dos et le £ & Rochambeau, 17 juin, 16 juil. 

se PrÉpRr nn En M Pie Cazin, le frère du mélleci dont [une robe noire, d'un corsage noir, | lecin et n’emplova jamais le bistou. [ti foñdérent Berck, an monument] Corps Jai lu des lettres sur le :fÉ New-York —. Vigo: Œsp.). 

“elle.” Mel croyez ritne one nous parlcrons par la Suite, à sul d'une coiffe hanche avec brides l'i  Ent870:.i -cèda la place à son fut érigé, dû au ciseau de la belte Composé Végétal de Lydia 1, Pink-:$. Bordeaux 

écoute paisible ar mi rt En rendre la douceur un peu, mélanco-'s'allichant" au devant du ‘cou au endre, le “docteur Gnzin, Celui. 000 du docteur, femme du pein:| Ram. Mon mari dit que je cesse, La Bourdonnais, D fév, 23° 
chien PROS Me de notre due de ce charmant pays en des [uieyen d'un gros noeud forment Lei était chirgrgien, il opéra, et dès tre Cain: une plaque de bronze are le Con ke RARES DENT té IATSe de 

mere éventuelle eur toiles célèbres: une d'elles est à Passociation des matclotes: berckoiï. tbrs nous ‘’eûmes l'opposition de [enCastrée dans le soubassement, re-f D'endre le Çomposé Végétal et le Æ Roussillon, 2 mars, avril, 


Remède de Lydia 1. Pinkham .pout :L 
le saig, jusqu'à ce que je sois mièux |: 


et tous mes maux: disparus, N'ests 


ce pas le bou moyen? J'ai confidhs |: 


ce en vos remèdes. Ils doiventtètre Ér 
bons, puisque celles qui les pron< {:: 


nent on partent &i hautement/-tJe 
les recommande à mes amies eltnts | 
pondrai ave plaisir aux Initiés" 
s'en informant,” —: Mme Burt H/: 
Hart, casier 1O0S1, Cornwall, Ont. 

Mine Hart veut aider aux nuttes 
ct consent à répondre aux 
de femines malades, s'inlormant dy 
Composé Végétal, ‘ 


nes mener an eu eu rem u oee |, 
es 
Hs l 
prés 
dtt i 
upon 


Un Congrès de la bonne 
| . se en France 


Paris— Sous lt présidence, 54 
Mgr. Cosuicre vient d'avoir 
Angers, uw congrès de ‘ln laine L 
Presse, M J. Babin, a donné ‘une 
conférence sur l'apostolal parti tn} 
bonne presse. devant. un audifoire 


t 


lettres: ets 


“Heu ki 


Chicago, 4.juil, 
Service Canadien 
; d'Europe à Halifax. 


Agents locaux à P.-Albert 


| tiérant 
C:W, A. FOURNIER 
HS rue Main. Winnipeg 


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de-6008 dames, adhérentes de lAc-f: 3. res ‘ 
Lion sociale : !. Pi CSAINT-HUBER') 
Pt N . Co Pour vieillards et infirmes. 
Le second jour SG Mgr Runèqn, Dirigé par les Socurs de “Notre- 
ne 


présida une séance d'études shivie 
pur Le elergé vent de tous les points 
du diocèse, 


marrer 


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mme ame conne Dhmn end ndlnte 4 


ti 


+ Complètement épuisé ‘ 


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ann ennenne D 


td, 


Fu Dame de la Croix”, 
Pour tous renseignements s'adres- 
er à Revde Séeur Supérieure, Hos- 
Piée Jeanne d'Are, St-Hubert-Mis- 
sion PO. vin Whilerwood, Sask: 


COLLEGE D'EDMONTON 


PE 


“Alu santé était ébrandéc ol fé D ee | N 
fais complètement PA écrit M fi: ! “, éirigé par lé : 
G, Sigmund de Medford, Wise,, LUS : "Pères Jésuites ‘.. 4. 


le fait, ana -condition était si manu 
vaise que je ne pouvais supporter 
le moindre effort, de peux dire, 
en vévilés que le Novoro-du Dr Pior. 
re ua merveilleuisement-romis, Dé 
puis, j'ai travaillé dur chaque jour 
et je me sens très bien": Cette 


, n ot ' 
simple préparation végétule estouif 


* *cês 


… …et.egréré à l'Univeretté Laval 
JOURS CLASSIQUE bilingue, à: be- 


788, française, -conduisant . aus . dé- 


1 dréa de, bachelier -et donnent ac- 

à tohtes les carrières, sacerdo: 
ce, droit, imédecine,: ete, it 
SOURS COMMERCIAL en engléls, 


L'inspecteur primaire, 1 40 , 
ee Signé: X recoustuncteur du corps, elle déf-ftenne des livres, clavigraphie, :sté- 


milles, sant de Ja rivière fa Cau-frendié à + péche, ils se æésignent 
bürrasse de système dé ses impul 


joue partout ailleurs elles se per-i 
à, faire /ée. chemin, plusieurs fois | 


noeurs des baigneurs, et° celleseil d'explosion les meilleurs des Fran:t ' 


NE CRC EEE US RS UD. 


Do cn A re GS eee ame 


ehe qui .débétiche AEtaples, ‘1 


rüière P'Âsthie qui sépare PArtois par jour, pésamiment chargés. Leurs 


| neore sont bièn parliculières: eur! 
nx-mêmes forment un monde de 


A « Ten ne - t 
cais Gette polilique rétrograde n'est à 


pas faite pour donner, du. prestige: 


retés, ellé aide lu digesthon et: For 


Hographic, ‘ete, . Golletion dé “@- 
plômes d'affaires. Ci | 
JOUBLE COURS PREPARATONRE, 


de 1 Pirardie, Sous Pinfluenre [baleuux,. peiiis, mais larges, vent Pmoncs CORORENT OUR Monde de LPS ARC POUR AONNer, QU DECSUAC . Re . tilic les organes et le -système ner 
du vent, le sable se masse en dunes. [trus. solidement, poutés, dorment à [maides chroniques et infirmes. + ane à défendre tee ans Rapprochement Franco-Alle-| jeux. Les pharmaciens ne peuvent ." français et anglais, préparent aux 
Je ne saurais mieux faire pour vous it marée basse sur le Ti de sable. Quelle évolution & Fail ile Berck lâpre bataille d'influence du globe ‘, mand! pas le vendre, it est delivré par! "cours Glassiaque et Commercial . 
e . , ñ , ‘ 1e : u Û . Oops n « . à td RL Q » 5 , j , , , . tpnotu , x q 
les décrire, que de les comparer à [Quand monte le flot qui les seu-j € p grand sanaloriun du ménde none résidant’auxs Etats-U- # des agents, directement dt lnbori: |? Adresse: Rév, Père RECTEUE 
lève, les matélots sont “paré” is ipour les scrofules? Je veux bien < ioire dus Dr Peter Fahrney & Songe P., 


eclles que nous avons à quelquen | , SOBE .n 
meltent Hi voile, éueilent la brisé, 


vous contér l'histoire, belle conne 


nis, écrit! “je ne puis. faire un pas 


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Collèce des Jésaltes, 


rente titles au sud de Moose Fax Le | : 1. ! : une Now-Vork gang nr *e di- Ji ss touenal “Cormania" oo " 
ftronness sous de moin de Montagnes es voilà partis Rien de fixe en june légende, d'une des plus gran- A York us entendre ue] Berlin. Le journal uermnit à go, IH, ‘ ‘ ‘Edmonton - - . Alte,. 
Et Ë Leurs habitudes, puisqu'ils se gni-ldes conquêtes [hérapeutiques: la [TC Al ce Herriet.en fi organe du centre catholique, pub 1e RL ce. nn 
Fo  S ident sur ln marée Quand colle-cÿlguérison de ce terrible mal qui a belles} : I un article. CONSGE AUX relations livré esempt-de douane au La Re 
:dosce ile rovi nt 6e et fait pleurer Land de mères eur ain]. Les Français auront-béau répon- | franco-atlemandes, Latteur se pro [nada ‘ | k 
La pliye descend ils reviennent échouer et ffail | "Lan CrESS eur ain es Français at peau EX { lu ‘ ’ Ne . P. \ $ otre « Dame du 
pou * Tlonnenties produits de ja pêche aux {si que l'a dit Augugle Comic “On nelure qu'Herridt n'est pas la France, once en faveur de Pannulation des [0 A ut ee mm"; ehsionnat Notre g 


ble fin, sans rocher sans un galet, tournent la hotte pleine. 


enmiues qui entrent dans Pesu par 
ois jusqu'à a ceinture et s'en" re 
Etes pra- 


. | i 
Entre la bordure des dithes ct la) 
mer, S'élale une large plaine de sa 


en pente Lrés douce, Aussi 4 Mer tiquent ec sporf chaque jours sans 


Liusqu'er Maroc. resilent plusiours 


onnait bien un fait que lorsqu'on 
en sait Phistoire®. ‘ 


Un médecin de qu | 


puardh" élail souverain contre la 


leurs! interlocuteurs dei: jettent à dettes 


la face:que chaque pays 4° le pou- 
vernoment qu'il mérite Les gur- 
-banophiles, Les Irlandais, les ja- 


alliées sur Li France, qui, re 


trouvant elle-ruème soutagée, serait 
à son Lour:qn créancier moins exi- 


geant pour NAllumagne, 


L'Allenia 


gne devrait soutenir. avec tact et 


l'est Le seul moyen pour PAtlema- 


C à , , 
. Ne pouvait pas manger 


etes 


ressenti qu'un Aéger soulagement, 


Sacré-Coeur, Prud’homime, 
Saab. mn 


4 


ou Foi ‘ 
. Désirez-vous donner @ vos enfants 


en courte et découvre chaque jour jrénit, par quelqie temps qu'il fasse. | . Joux de toute tribu et de toute race RU T9 SC rnrnan a “je n'avais pas d'appétit he son ns s SA. 
: une en ee NES ee Mars Prelles sont ee anciennes Poutumnes | [était une fois, il x a longtemps, l'ont enfin leur-revanche ét jouissent habileté les etai ts “ie Ia | ranee ". is ou la rail ut nu Douvais man- ins éducation soignée, ui cours gré 
eur d'un mile @t demi allant jus-Houjours suivies, Tandis ane dans unédecin de petite ville qui s'ap- |avidement de a déconfiture de rfvne doptenir lle lus also ger plus dun repas par jour écrit} ice de a Saskatchewan? -Adres- 
qu'à deux milles dans les erandes ile port lout proche de Bologne potail Perrochaud et exereuit à | France: Voir IX ans qu'ils: ron- AT "] “al A le rbyanelie sous. | Mie Charles Dovon de St-Ephren, SCZ-VOUS aux religieuses do le Pro- 
H marées. : leur Mer, la pêche west industrialie Montreuil dans Le Pas de Caläis, genient leur frein en entendant van- nan NATat ni sus € iotes ss D Que, “Comme résultat j'étais deve- videncé k 
ë - isée connue en Amérique, Des ba- [Gomme if avait Pespril observateur, ter partout fa grandeur y noblesse Ses pu he le le Le A fran due très faibles J'avais pris tou-l . , ‘ 
à Le charine du passage. . eaux à vauenrs' partent au Join il icmarqua Le premier que Fair !ct da vaillnee du peuples français. [me Pa « le est % ul difficile tes sortes de remèdes, mais n'aviis  Qutre le françäts qui. reçoit une 
HOT. Aujourd’hui, ils assistent joyeux à! co-allemande est long € ' : attention toute particulière dans 


: RS 4  priue ISCT p ar si iti : &6 ’e ‘cime 4 vestige, tan À . n Le ep ne ag: , : PAT 
Un tel passage à un ehare pars ours en mer, rapportent feur pois serofile. Pa une intuition de pt- l'effondrement de son prestige, tant ne ct pour l'Europe de revenir à | Debuis que je 11 énds le" Novoro' dues classes; on enseigne la. müsique, 
livulier, Ce n'est point un ‘senti [son conservé dans la face, Mais nie, comprit que là meülleure pla- [if est vrai œil est plus facile de Re affieme ce journal Dr Pierre, j'ai augmenté de, poids|le dessin et les traveux à l'aiguille 

\ ge pour obtenir celte guérison était] démolir une renommée que de Pé- je santé ft 1 ie el peux prendre trois bons rephé [de tous genres. : . nu 


celuilon dit au‘ ne vaut pas coui des 


ment de désolation comme 
(us 


éprouré à li vue du déserL eur Ja marins -Beorkois, péché tout frais 


nd ner 


aan sn _ Rent 


austement celle de Berck, si éten- 
due en longueur el en profondeur 


difier. Les héros de Ja Mgrne et de 
Verdun ‘avaiént porté la France à 
l'apogée de sa gloire mais les in 


+ 


pement 


par joér” Nous né” contfraissons 
rien de micux pour activer fa dis- 


‘ Les jeunes filles désireuses dé se 
livrer à la carritre de l'ensetgnc- 
mént trouveront dans cette fnsiiiu- 


TL ‘ où chaque tiaréc'laisse à découvert AA: (À Ne sestion et régulariser l'estomac, que 
| US Le y M 4 (de si grändes. étendues de Lerrain, fsanilës politiques, où apolitiques du Méfiez-vous des contre fa- E remarquable reméde végétal noi tion entière facilité pour se prépa- 
M. Jean Gagnon, de. Lewiston, ivié, est ee quil avait deviné, 1 fallut des chéteur , ferriol on, Jurgemeht cons: périmienté par le temps. Ne.le.de-lor. aux différents diplômes feruis 
CE à années.aux médecins pour en don-tconiribué défi à lermireson pur vi “bandes pas aù pharmacien, des nf cet effet; ellés sont donc das 


: D 
aujourd'hui rassuré parce que les 
forces lui spnt revenuies.. 


“Je souffrais de maux de 
reius depuis plus d'un anet. 
mes forces aväient diurinné. 

© Pour être capable de conti- 
nuet.de travailler régulière- 
ment! j'ai songé à me traiter, 
mais j’hésitais à adopter un 

- “remède plutôt qu'un autre 

"quand un ami mie reconmman- 


ner .Fexplivalion. ,cicutirique, Nou 
seulement Berck possède le climat. 
marine, du liltoral. niais son cli 
mai est suporicur À celui de, {a 
plupart des plages: Pair est plus. 
pur, car les agglomérations huimai. 
nes qui pourraient Je salir sont loin 
ftainess. est jt suite: très lymi- 
inoux el chargé de rovons actiniques 
ulraViolels qui onÛun rôle vital 
efficace, Comme la plage est en 
pente douce, chaque miuée décon- 
vre un vaste espace dun à deux 
{milles et comme la plage est toûte. 
de sable, Peau s'y évapure active- 
Ment et on trouverait difficittiuent 
ailleurs une plage atissi bien située. 
Le Dr  Perrochaud commença. 


safe" et à lui prêter ‘une figure le 
mégère. PE ". 
Le premier devoir d'un chef: ds 
gouvernemem vraiment digne dec 
ütre n'est-it pas de veiller avec un 
soin jaloux sur Je bon renom de son. 
pays comme un pére de famille voil- 
le sur le bon renom de ses enfants”. 
De quel droit dès lors ces fats aven 
turicrs, qu'un vote de surprise 
momentanément haussés au  pou- 
voir, gaspillent-ils ainsi, de gaiett 
de coeur, le trésor des gloires fran- 
caises? [ls savent bien que:le pars 
aux destinées duquel ils ‘présiden! 
si mal a besoin plus que -jinais du 
rancours matériel, moral.et finan. 
“ier de tous ses enfants et que lei 
ucrres de religion sont passées de 
mode, ‘ 


mn 


| 


gents spéciaux seulement Je proc 
rent, Écrire aoû Pr Peters Fahenes 
& Sous Co. ‘Chicago, D 

Livré escmpt de douane 1 Ca- 
nait, 


à tout Age; les garcons sont @ete jtés 
usqu'à leur treiziéme énnée, : ‘° + 
. Pour plus amples renselgnements, 
presser ‘à Révérendo. Mère -Supé- 
rieurc. . 


3 
DT 


ne 


vos vaches pendant les froids 
maintenir en bonne santé ef pou 
re, 
vez plus de crème, envoyez nous 
ant, C'est un cercle qui coin 
Sopnr itr fourrage. 
comptant - fermier,” 


dela vache, 


Vous faites plus d'argent en soignant’ bien 


Vous connuisséz la vritie radion: donnez-la à vos vaches, 


waches— lait céme— crémerie— 


ji TAN te an « l'ontrémis: 
Chengez votre fourrage en bel avgent sonnant pat f'entremise 
L'aggtis . 


rigoureux. Soignez-Jes pour, les 
r augmenter En production laitiè- 
as 


EH el obtenez plus d'argent comp- 


epee par vous et finit par vous: 


da les Pilules Moro qui pou- 


puni il sied' à un savant, parcun 
humble essai, pour vérifier sa thé Le ‘vous ne voviez le :  Collacht 
Le ROUE SFR 3 : , : , ! . AIMONS QUE VOUS HO VOMIEZ TE TR nu 5 à sn dépactone , ' D { Collège 
: vaient, disait-il, me remettre [oïie. Lôn, Asa, il on fi quelques Leur conduite est plus qu'un eri Lou de Payer en croix sur fe pa- La Demandez î gore département le oletions ‘es ir Collège 
| en bien peu de temps.® ] € me sier, dite “Marianne Toute soute "Ti Neal Ds SQU'aUX Frames ma guet ot LS st qi Dir nr méthortes le nourrir Les anaUx, ' | 
, 1 À . Dabiinil ann drute ‘ , "SL LAS JUSQU'AUX PARCS pe pas Les véritables aspirines Ba-  Hoenadios … crée: OR » confiance à I 
| :." procurai donc de ces pilules ou nabitait une nelle ui su cons /amérieuts cux-mÉMEs qui né Ver LR eounues Sûres pat des mil- sxpédiez votre crême: en doute confiance La, Lo | 
1? i ové que A ROC ANA Doient dégoutés de Pirréligion de ions et prescrites par les médecins L a : 
et Jen en avais employé qu perdu deux ans auparavant son {tours collègues européens. Un Tail depuis plus de vingt-trois ans con [È Saskaichewan Greamery and 100 Cream HR imlted ‘ 
Le d / ce, quelques boîtes ‘que J étais NUE el deux enfants, du choléra récent, cl qion ne saurait passer tre ' és os 8 . à . 
vi 2 7 - déjà mieux, c'est&dire plus Pour élever Ja fille et le garcon qui L'sous silence, vient de se produire. | , À | ‘Brénehes : 
on a ie au travail, Peu detemps ASE ASE PAPA ME cui en dit long. Il oincide, et ce iunes nt Maux ba l ASSINIBOIA, CARLYLE, CARNDUFF, EMPRESS, 
e aval, l RS à , SAPAC s it Dlase LES Latest pas là Pefle  hasar Maus de dents ALL ki N 4 ll UIGIN A 
De JEAN GAGNON, = ÈS je me sentais plus vi [enfants des pêcheurs de ‘crèvettes Lavec a recrudescente de la guer. Neuhrite Rhtunatisuwe LÀ GRAVELBOURG, MARIE CRU NT OLSRE EN 
‘ 14, Maple, Lewiston, Me. ‘aprés J ner M et de coques, À Passociation de ces! ve religieuse en France, Dernière | ve be Douleurs SHAUNAVON, SWIÉT CURRENT, WOLS . 
; oi .. 7," goureux que jamais . Ale: (lex ÉCRIS. | une bourgeoise. nent, les grands journaux .du pays |} Mévriisle ” | Hs eus a one 
Jean Gagnon DE: Maple; Lewiston, Me. se pute peuple, est dû less UCCES dé vottaient à la connaissance du pur N'acceptez que les “Pastilles d'As- | _ 
OO ET “a ii : . : ladies : Suis LI ot, ltiois d gliè, que la find Loge ele. Nes pirine: de Bayer”. Chaque DA GUt oi Te 
es gs: és d'auiourd’hui déclinent vite: les maladies ‘ oUIvVant les recommandations du {York qui est l'équivalent du Grand- décachelé contient un model TAC RURAL RUE OO NU RU ARTE 
so — santés d'aujourd'hui ; honimes ls ne veillent fdoeleur, Marianne lransportait les | Orient de France, avait définiti- d'emploi éprouvé. Les boites facile-| er ER TIR TEE + — SR À à 
sont repentes, anême chertes Noittes. L F ini enfants deux: fois par jour sur. ba | vement rompu avec l'Assoé lation ent: maniables dedouze pastilles TANNERTE: DE DE IVLAS. : 
continuellement M lé oigner. : ès ue leurs Torces d1li= plage, les batgnail Ja "uit, fours Emaconnique in crnauonale, dont IE EE coûtent .que: quelques.cents, Les ‘ DC QE + DAC à SA GES APCE Re) 
nuent, il 1 ür & es él Po Rd ui peut les pré-" plaies. avee l'eau dé mer: Les/ré. Ÿiége central est à Genève, CRE, et vendent aussi des LA MAISON AVEC SERVICE POSTAL DE LA SASKATOHEWAN. rail 
, 1 ieur aut recourir a un re + q .P er ah ti (suats furent merveilleux, ‘mais ii L’athéisme de trop de Loges é- !boutcilles de 24 et de 100. . 6 : : ne | jp 
server des affections qui les. atteignent plus ‘particulière- ° tabut du fertips Dour propaser fa trangères et leur immixtion dans .. | . het | , Quarticrs-généraus des robes do l'Ouest , « 5 
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h 9. ne . Lu on, ou re Ce | Hsieuses SPRL Mas tente: en internationales, a, déclaré le grand quil soit ne rouille Bayer,  : ‘ Economisez en donnant votre commande directement gu l 
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: 5 SE ù Prose Un io ie, = [hôwitl en bois-de 100 lits. En. 1869 dition aue les “juridictions” a-fafin de protéger le publie contre Îes || . NE ai Fier. LC ï 
| a 7 Envoyons aussi-par la poste, au Canada ctaux Etats-Unis, sur réception. du pres © lénfin, .dle fit construire eus Fee desquelles Nous devons. frater. | contrefacons, nous: étamperons sur {| . . ::  Æchantillons-onvoÿés gratuitement sue dotiinde” le 
| sous la boîtes 5," 1, it it et in ie hôvital en briates de 384 its: lsisei eroient.en Dieu. respectent Ja [tes tablettes de lt compagnie Bayer [El Wym, ©. NORMANDIN, Propriétaire, DELMAS, Sask. 
| COMPAGN > MEDICA MORO ‘274. St-Denis, Montréal . malheureusement situé:trop près ‘de | Bible-et se mélent de ce QUE les re. [la marque générale de’ fabrique, led . nn es ban M 
IE. MEDICALE , , ent, Mona. ne il fut menacé par.clle et-d inde”, rs cn - "# … fnom.sder Bayer:en. eoix,..… V5 Re sy ET 
j rue en nt et me Dr ; ane amer, il À tenace parcelle e ‘Qui æarde”, : E cer ROME DAME ER CEE ., £ 
: : re D to 'e : ‘ #73 , Lo. du : | : : 4 : - « : 
on Lo Le : | | ‘ . ‘ ; 
nu ‘ h 1 À ° . o + 
à t . 


= 4e “, ‘ ne | S : Lou de , N | | 


Wie LU CE ge LE PATRIOTE DE L'OUEST, Meréredi 7 janvier 1925 


EPFARATION | 


“La faim est une porte basse, -et gs AR BR: 
quand par nécessité il faut qu'on y US BRONCFITÉ 
passe, le plus grand se courbe le ba 
plus”. Le poète. veut dire par là 
que veutre affanié n'a pas d’oreil- 
les... ‘et il ne saurait non plus 


we ton es, re Dons 


ne qi d'g 


5 +4 


nn 


qu 
dr SATA Press  Teannn lananione isse, il a, parait-il, insetit un cer. 
| “Lés' Centres Franco-Canadiens : À sombre de nouveaux abonnés. 


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il 


pu 


 Eirennes 


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= ee _— rer, qui n 
LT ltisfait/et «qu'il se. propose de-reve- 


DO 


De 


Un moyen, qui n'est pas à | 
disposition de tous, de finir Pan-} 
uée.ei. de meltre un terme à la’ vie 


de Vieux garcon, c’est de faire le 
.bloriééon däns le Coujungo, et pas 
‘en “Cfevrolet.” Par 30 degrés au- 


Cest le cinquième mariage que 
notre curé hénit depuis septembre 
et il cest tout disposé, parait-il, à 
continuer In série, Aussi rien ne 
l'arrète, ni la distance, ni les mau- 


"Nous allons avoir, dit-on, un 
chroniqueur attitré, Faisons-lui 
crédit de sa bonne volonté et ren- 
dons-lui sa tâche aussi douce que 
possible -- et pas trop de critique. 
Un ani du “Patriote” ct de 
la premiére heure. 


” 


mme 


donner, matière au présent auticle. 

Le sujet que je me suis proposé 
est difficile à traiter en public el 
pour faire venir cela dun peu de: 
loën, éomme on dit, il faudrait 


on pourrait ajouter à la peste, Lx 


p E 
LAGEMENS 


Livres Utiles 


Larousse Universel, 2 volumes. . franco $15,00 
Larousse Médical ................franco 8409 


Petit Larousse Illustré ..,.:.......franco 1.75 


Larousse de Poche .....:......., franco 1,95 


.‘lessous, de zéro, brrrou, brrou!!! constipation, :,, et parler en sout- 
Qu'en dites-Vous les amis? 
C'est.ce que vient de faire un de 
nos bons amis, Mais il en a vu 
bien’ d'autres, car c’est un poilu 


—————— 
vais chemins, ni le froid, Encore! * ST-BRI UX Sask l 
un poilu celui-là. . ; ? N dine. Totis n'en meurent pas, MAUs 
‘ Aux jeunes mariés, tous leurs 4 Une très agréable et très plai- beaucoup sont affectés. N 
inis—et ils sont nombreus—souhai- | sante soirée, ' 5 Ceux qui habitent une naison 


tent tout le bonheur qu'ils désirent. FE [avant veille de Noël étuit le moderne, qui n'ont qu'à ouvrir une 
porte, pousser le bouton refermer 


Clifton & Grimaux: Dictionnaire’ Anglais- 
Français—Français-Anglais, 2° volumes. 11.00 
Bouent: Dictionnaire des Sciences Usuelles, 1,75 


ca. 
‘a Grande G et ea ne l': : RE ; k 
de la rindé Guerre, el NT ne laf Nous ne les perdrons pas, car] jour pour nos écoliers petits et D l ef", den aller “ M . os ’ 
vas. fait, reculer d'une semelle. {M Lachapelle à signé un nouvel! grands de venir chercher Jeurÿ pré- la portée derrière eux el sen à fe L ep? . LUC |} ‘ Connaissances pratiques 1.75 
“Vous voulez sans doute eonnai- lensagement pour son école Lacadia | sents de Noël et pour:nous mon- avec un air d'aller reporter Un et o LA 0 © , À A! ee mn ù eo 1 . 
Mi vre à fa bibliothèque, ceux-là ne h ° _@ Idées suggérées par les | 


Z LE € 
4% 8 225 6 S 


SS 
comprendront pas l'opportunité de _ > re 6006 « | 
parler du. présent sujet 7 7 [7 CA KK 
Cependant si vous allez à a etm- ni. PAS 
-pagne, on peut dire partout sur. les TT. ° ‘ | 
fermes, et que vous 1vez° besoin = 
“de payer à la nature son tribul”, 
VOUS SAVCZ, Si vous V Avez: passe, 
ce qui vous attend; autrement vous 
ne pourrez pas le savoir, pour la 
simple raison qu'on n'en parle ja- 
mais, Et pourtant! .. k 

Les hommes s’en vont aux bà- 
timents en chantant: ils n'ont pas 
peur: ils sont habituès ct il con- |} 
naissent-le jeu de la pelle! Quant ff 
aux enfants il faut qu'ils s'aceou- là 
inment et on les envoie se’ dé- [à 
brouiller. Aussi sont-ils, le moins £ 
longtemps possible sortis: at plus 
vite, pas trop loin de lt maison, ct 
tout transis ils rentrent se réchauf- 
fer, mais pou satisfaits, L 

Les tnamans nous WNeNeNT AU 
bureau des enfants souffrant de 
constipation. Or un enfant n'a pas 
à étre eonstipé plus qu'il nu a 
manquer ‘dappétit, sans Yaison. 


ottil a su se faire estimer et aimer, [trer qu’ils les avaient bien méritès 
Bons succés et dans son ménage {ils ont voulu longuement nous di- 
et avec ses élèves, vertir auparavant. Chacun + est 
Savez-vous que notre Curé nous allé -de sa bonne part, à en juger 
“a ménacés de nous myttre en qua- par Je programme si bien rempli 
frantaine si nous ne prenions pas| ct'si bien exécuté dont voici quel- 
“d'abonnement au “Patriote”, Sa] ques-uns des articles: ; 
0 F ° s 


tresle nom de cé courageux céli- 
bataire ‘? Cest M. Charles Lachn- 
‘velle, instituteur bilingue à l’école 
Laçcadid, mission de Ste-Colette. ,: 

1 vient d'unir sa destinée à eglle 
d'une ‘gentille brunette ‘de Souris 
‘Valley: Mile Bertha Nadeuu, 


| mots sos. 1.75 
, _ LIBRAIRIE DEOM FRERE 
251 Ste-Cathérine Est MONTREAL, P. Q. 


ee 
RE nr 


Salut 6 ma belle patrie —Capitai- 
ne Arlequin—.Une visite à Montréal 
—Adieux d'apôtre— Le Flageolet 
Magnifique - - Danse des petits Bre- 
tons —. Mon Petit Chien Blanc. 

Les deux déclamations “Adiçus 
d’Apôtres et “Onc'of our Herocs” 
vendues à la perfection nous ont é- 
anus jusqu'aux larmes, tandis que 
les deux comédies le  “Capiluine 
Arlequin” par les petits garçons ct 
le “Flageolel magique” par les pe- 
tites filles ont excité Philarité gé- 
nérale, sans oublier Ha “Visite à 
Moniréal"- Mais, le clou a été posé 
par les petits Bietons de Botrel; 
costümés en vrais, Bretons ci vraics 
Bretannes du Léon'et de la Cornou- 
aille et du joli pars d'Arvor avec 
leurs coiffes mignonnes et leurs l4- 
bliers velours en papier crépé Un 


Ë 


OVILA BEAUDRY | 


4 


, 


ECURIE DE LOUAGE 


| Etalons Belges et Perche- 
rons. à vendre 
en tous temps 


| .l 


No 8073 “Les Rubans.” Centre de 16 pes, patron au carbone, 2Ùc; 


bis et un hurrah frénétique à rap- 
pelé sur Hi scène nos petits Bre- 


Dans ces Cas, la constipation sur- l'È 
vient à la suite de rétentions vo- 
Jontaires causées par lt crainte de 


f 
peut-être ciler “Les animaux Da-f 
lades de la peste,” de Lafontaine @ 


à” 


4 


L'élevage du renard noir-agenté est considéré comme. | 


rerforé, 25€. Elampé sur coton fini toile, 4ûe; sur jolie toile, 50e, sur [fons qui peu accoutuinés au rajpel 
toile soyeuse, 65e. Coton M.F.A blanc, 8 écheveaux à de; couleur, {sur la scène déguerpissaient à qui 
cchevenux à 5: cu mieux pmieux: après leur gracieux 
#° Grande feuille de papier carbone, bleu ou blanc, 15e. salut à Passistances 
. Petite feuille de papier carbone, bleu, blane, rouge où noir, 8e la] La ,tympète qui faisait rage ce 
feuille, 2 poûr 15c ‘ ‘ - soir-là ‘x empèché bon nombre de 


sexposer au froid, de relurds pro- || 
longés aussi longtemps que pos-|f 
sible—lrois cou quatre jours, peut-il 
ëtre—à répondre à l'appel de li 
nature, 7 tt ‘ 

Cela est déjà assez malheureux, : 


sAsK..|l 


WILLOW BUNCH, 
b__: 


| l’industrie la plus payante ‘qui soit au pays. La pro. | 
Al duction moyenne est de 4 petits renards par année; | 


enr NE EEE 


- No 5037. “Les Mairgucrites”, centre de 22 pes, à broder en couleurs, | noS ruraux de venir, Aussi j'espè- 
re que nous en aurons avec un égal |. 


patron au carbone, 250; perforé, 356, Sur coton fini toile, 65e; sur jolie 
toile, Je: sur pure toile écrur, 70e, Fournitures, coton .perlé, 6 éche- 
veaux À {2e où 12 écheveaux éoton couleur à 6 brins, à 5e, 


RAOUL VENNAT 


MONTREAL 


” 


642 rue Ste-Denis ce 
| Tél. Est 3065-0822-5051 


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Demandez le catalogue, et nos deux grands succès: 
VALSE QUAKRER GIRE, ÿüe.. :. VALSE DE L'OISELEUR, 40e 
-Mélodie de l'Amour TFrigane, 59€ Valse de Rève de. Valse, 5e. 
Carillon de St-Arlôn (Désopilante comédie), 40e, 


340 rue Ste-Catherine Est 


plaisir une nouvelle édition pour 
notre journée du “Patriote” très 
prochainement, Que nos ruraux 
se le ticnnent pour dit; on les alt 
tend tous à fa soirée du “Patriote” 
--en avant pour la bonne cause de 
la Bonne Presse, 

Notre Curé nous a annoncé avec 
plaisir ee matin que son régistre 
aecusait pour cétte année 56 ba- 
ptèmes contre 7 sépultures seule- 


tits anges, De ce pas StBrieux n'est 
ifas près de se dépeupler. Le 56e 
baptème de -cette année portait À 
509 le nombre de baptèmes depuis 
le commencement de Ta colonie, 
en Mai 1904-20 ans. 


———— t"# 
STAR CITY, Sask. 


Notre population à été très pci- 
née d’apfrendre le deuil qui vient 
de frapper l'une de nos meilleures 


= — 


personne du sexe. d'avoir à «sortir 


Maintenant je vous demande 
quelle convenance ii y a pour une 


par. toutes température, disons 40 


où l’on peut attraper son coup de 


mort, .soit vers les étables, où il v' IA 


a toujours. l'appréhension d'être 
surpris par. les garcons de ferme. 
Les institutrices des districts ru- 
raux., les gardes-malndes, Les feu 
nes filles en visite"et même cêlles 


de la maison, né devraient jamais | 


ayoir à subir ces inconvénients. 
"Quel est 16 moyen, d'y remédier? 
Je ne parle tei qu'au point de vue 
hygiène et je n'ai pas à faire de 
réclame, Cependant on sait qu'il se 
vend des boites munies dun tuvau. 
que Pon peut installer dans un 
coin de la chambre où sous fes 
toits, et à très peu dé frais. 

Ces boîtes sont facilement entre- 
tenues en bon ordre. n’émecttent 


ALBERT LEBLANC 


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familles, : Mie Mâle, en religion] pas d'odeur; leur usage fprévien- 
Soeur Marie Ange de Jésus, est dé-} drait la constipation et bien d'an- 
cédée à l’âge de 23 ans et à mois, [tres maladies, sans compter qu'il 
| chez les Trappistines de SURO éparenerait aux personnes timides 
. L . « . . aid, Entrée au monastère à , élicates toutes sortes de péni- 
‘Vraie chance exceptionnelle à Marcelin, important cen- |Îl ans. elle y fit profession le 14 juin NE rt etrar l ou 
ne UN MEDECIN. 


Dr, S. 6. Goodman | 


Chirurgien-Dentiste 


Demandez renseignements 


©. Luc À D À AL E 


UE __ MAITRE-PEINTRE—ENSEIGNES 


j | un . | 1922, et Cest là, sous l'habit péni- 
tre canadien-français, ayant belle église, couvent et |}| tent d'une des communautés les plus 


GRAVELBOURG, SASK. 


degrés sous zéro—1vec ou sans noi ;} 
ge, vent, poudrerie, ete, ct se di- 
riger soit vers quelque hutte glacée |} 


fl £ : sévères que la mort est venue .cher-|f £ ! . : ot : J 
.° . : ” re . her fe 20 ce ‘Ce S à , ss (ES 4° : V7 y } 5 4 ‘ ; L. 
1! High School. Belle section de terre en culture bien mûre pour je Ciel pour În transpore | Petites Nouvelles il Extraction des dents abso-| REMBOURRAGE ET COUVERTURES D'AUTOS | 4 
Ml pass se , . Se ter au sein de la Patrie. _ ! LL . - à 
bâtie située à 2 mille du village de Marcelin et appar- In Gravelbourg, Sask. + 


d'agrécr nos sympathies ; $ , : : nr 
Ê vmpathies Tes. plus! 6 de 26 ans, R. K. Bastick, a été 


profondes . 


ne  — trouvé baignant dans son sang, 
MONTMARTRE. Sa: dans le cabinet de toilette des bu- 
Es Sask. reaux de ta compagnie Standard 
, ‘ a — ' Trusts dont il était percepteur, On 
: Nous regrettons d'enregistrer lal'eroit à un suicide. 
5 mort soudaine de M. Henri Giroux! : - 
arrivée le 26 déembre sur sa fermet  BLACKIE, Alta. -— 30,090 minots 
| | - au nord-ouest de Montmartre. Cet:| de grain ont été réduits en cendres 
“ Le 5 ac ° le amor! que rien ne faisait prévoir | dans incendie le Pélévateur de 
a été une surprise générale et a je-fla Cie Pioncer Grain: 
MME. GEORGE SHERSTOBITOFF, té le deuil dns la paroisse, Après à me - 
. | aveir v@illé avec ses amis, i s'étaith  MCTAGGART, Sas. — Une partie 
Marcelin, Sask. retiré conme d'habitude, lorsque! du village a été détruite par le tou [À 
vers le matin se sentant indisposé | qui a rasé toutes les maisons sur 
il se leva pour quelques instants, | le côté ouest de la rue principale, 
et se recouchant il succomba à une _. _" UT 
svneGpe, Les funérailles eurent | COLONSAY, Sask. = Deux petits 
lente 29 à Péglise paroissiale, au {garçons étaient à Pétable, ‘lorsque 
rh miliou d'un grand nombre d'amis! pur la ruace d’une génisse, la lour- 
malgré le froid sibérien. Sous anel che que Pun d'éux tenait à In main 
apparence un peu rude il cachait {alla s'enfoncer dans.la tête de Pau- 
de belles qualités: {ravailleur ac-|tre petit wars. Lawrence MeXab. 
tif, et entreprenunt, il avait amassé [$S ans, est mort des suites de la bles- 
uné modesté aisance, et sa probi-| sure, D 
té était. bien connue ot appréciée. ‘ 
Il laisse pour pleurer sa perte une[ MONTREAL, -- F’enguête sur la 
épouse et 10 enfants, . : Nous les| police a déjà coûté à la ville def 
prions d acecpler dans eotte cruel-| Montréal ne somme de 412,000, 
le épreuve, nos sincères céndoléin-| en ‘honoraires de sténographes 


nant à feu George Sherstob itoff. Bonne location pour | 


1] bonne famille canadienne-f rançaise. Pour informa- 


Henri Contu BA. 
ÀVOCAT-—NOTAIRE 
Gravelbourg - - Sask.} 


| tions et prix de vente. S’ adresser à 


Croix funéraires en fer 
forgé. 


a : Bloc en ciment. fourni sur À 
J L. GUAY : ‘ demande. 
(ENTREPRENEUR) es 
du Collège Mathieu : 


GRAVELBOURG, - - - SASK 


: Coeur ét inscription four- 


ALARM ANNE : nis sur 
ones . nis. sur demande. 


‘Agents dernandés dans tous 
les centres catholiques. 


4 


ent 


Ce: monument funéraire à 


‘ lument sans douleur 
Nous orions la famille éco ES ES _ ; 
Nous prions lt famille éploréc SASRATOON. Un jeune hom- | TRAVAIL GARANTI ; 


GRAVEL ei GALLANT | 


cvs DR ER : 7 ri ra * ae 
ET , seulement, Le’coût total, x compris | FU être durable 
nee passage, Mme Lize de Eu-lles honoraires d'avocats ne sera . j\ l'avantage d' u 
ec ls op Us convot qu'après que le conrmissai- me J i 25 DA jh ‘et bon marché. 
, es élèves en ordre de mérite] re-enquêteur aura fait son ranport, RSR A mur 
Le Poe avec sucrès les exa- 1 : ne 4 ii | | tr: | De ous 
cn de Noël: | ; BROCK VILLE. Ont. — Toute ane [fi ne k NN. CIDEAXET ON 
# GIbrEQUS Ye 1 Un den Everlle famille de six personnes & été trâu- ) Avocats et Notaires S | | ). C. BICHON 
Tious Béaudin, Henti Levoillé. ‘{ vée asphyxièée par du gaz d'éclai- É BIEN on tt 
Grade VIT DE Lucienne Fau-! rase ° . ne do ! F LEE 7 l , SA 
bert, Anton Hiffner, Patrick. Co0- Re mn, ae À DUCK LAKE, . a 
lican, Anna Frass. LH NEW-YORK.-—:,709 personnes se ATTESTANT TE TANT NE AY ENS AN NT 
Grade VE Maria Corriveau, Jo-l sont trouvées sans fover par suite GRAVELBOURG - - - SASK, RER 
séphine Dubamel: Aptoinette Cou-{ de lineendie de deux maisons fle ‘ i - 
pa ouis pauraier, Atrthe Ecar-| rapoort, Une femnie à dé jprilée = 
nôt, Jules Painehaud, Alfred Rerg,!à mort et trois personnes blessées Un oo Led on 
Alma Coupal, cAfred Berg} MORT at Nos pete se Ni FE . L'ART magnifiquement réalisé, subjuguera et enthonsiisnons 
Grade Vice Berg. Marge sri CSS LL TETE ENTER la pensée plus que ne le pourrait toute autre chose. Sa puiss 4 
=—s {tte Bover, Alice Ferraton Laurdatia = eo est réelle et lorsqw’il s'applique. à des travaux ecclésiastiques, 
| Goupal. corge Breton, Stella Côu- [8 AVIS . devient une grande puissance pour ls Rien. <tudios! 
Des ne _ Ahpal, Yvette Coupals DE CT ‘L'on peut l'obtenir dans les produits suivants de nos nn bre, 
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: Notre “HUILE HUIT JOURS NICE” est: | conpee ni P ne un bon _ nul 7: à N Radio Atwater est le meil STATIONS-DE CHEMIN DE CROIX (Groupes e Relief). 
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_: Étement végétale: je Cole Matane de son à À eu le mel ABAT VOIR, ajustement brevolé Déprate. | 
r -.. \ .. Conforme aux Î tour, “ravebours M. Lucien -Proven-|£ un uccurs de . : à soit sue le marché. ! , 4, AJUSLEMONS DFCRERR CR LE 
: ++ Confonne eut rubriques Lot repantant ue ag JE ne succursale de son. À ve le marché PONTS BABIISMAUX, cn Marbre ot Rae | 
Lecce PS Te : Lu F ü ges fêtes... "  .! JE étude légale dans le villa- 5 _ | CRECHES DE NOEL. EE R 
LUTTE Nonäflammeble LR À de de Duck Lake, dans 5] "À Catalogue, photographies on dessine souris sur. den 
aie 62:50 le gallén. (Bidon gratuit) .. , WÉPMONTONE E Un honume én- |E . 7 “Hurear +] E Si] En vente à la’ Station Ford. COMPAGNIE STATUAIRE ÿ ApRATO Linie 
SNS RE LA TT TE : PEN ‘flans un café-vestaurant d'Ed-[Ë l'ancien bureau , de E. =! Uoe FA e NIANIIAINE DIATNAEU. LIU ? 
‘airs LE RoD D | ë, | iée a monton, s'approche d'unc MAR En Mi k I DA M D '. . 5, | un U': Ÿ “d Ÿ tm # IARUAIRE BALL k | 
DNS RE A EE, [va SX asscoir, lorsque ‘( d'un [5 Mi . M. Davis sera = : | eus crenttit Pontifonl Art Chrétie 
INÉSTENTS D'OGLISR et ARTICLES RELIGIEUX 1] coupe it tombe” à der porte DE = 1tche AVIS SE al . nc CN 7 Anstitut Poutifical d'Art Chrétien 
SA sie À x LATE À I " {se relever, Deux icicrs e LITE à ue .to ; PRET |: _, ne  Ù : Ù u . 
MONTREAT. OTTAWA teur essavérent a at de Te qe É : Duck Lake eus les sa É J. À. K orcler 966 Rue St-Denis 7. Montréal, F .Q 
31 et ue Noître-Daine Ouest 121 rue Ride nimer. $ était Charles Fot. À 18, S 4 NE | SR 0: . 
81 et 33 rue Notre-Dame Ouest 121 rue Rideau [ie ae ei Charles Tt- Ë medis. |] Gravelbourg + - - . - - Sak. CHICAGO — NEW YORK — PIBTRASANTA, ITALIE 
- A  NNAQUES nome sang UN EH _—_ _ ——— || UE ee : _—— Se 


; 


sue 


tu 


Merci à nos. généreux ‘dona- 
teurs ‘ 

plusivurs st sont sou vents de Ia 
bonne presse dans leur distribution 
de cadeaux, au Cours de l'année 
écoulée, Nous avons -été heureux 


à différentes ‘reprises de: publier 
toute une liste de dons généreux, 


offerts spontinément à T'occasion 
du revouvellement de leur, avonne- 
ment, d'un article qui. piais. it du- 
vantage, d'un anniversaire que l'on 
désirait cél lébref par une: auhône, 


GT nl run TA NN 


nu # 


garde}. mon opinion sincére en de: 
hors du journal où je suis atfché, 
D’autres recoivent le même salaire 
pour le même métier, Et celui d'en 

ire vous qui serait assez bète pour 
écrire honñëtement son opinion se 
trouverait dans la rue.à la recher- 
che dun emploi, La besogne du” 
journaliste consiste à détruire In 
vérilé, à mentir impudemment, à 
pervertir, avilir, ramper aux picds 


de Manon, le.dieuw le l'or, à ven, 


dre sa face cl son pavs pour le pain 


mens LR, 


LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi 7 janvier 1925 


onu mg meme on ee Le ponte ons tn one Le ne RÉ nue anus 


cas LE on A TT on Rtnn 


CLICS LITCUEELTEETEEETEETETEEE PTE EETEETETEES LEE TTC LEE ENCEECE EEE ELELEELEEEE LEE RELEVÉ NEUTRE DEL ES AREA DERNIERE" 


NOTRE MOT D'ORDRE 
Quel sera notre premier testateur?. 


Nous: transcrivons ici un texte d'une 
pratique éloquence. 


Ecrites par la main d'un 


nn ii UE ion 


incontestable et 


fnbaT ai 


ele. ete. 


ual, toujéurs sur 
une sentinelle 

notts défendre, 
nous venger. 


infatigable, 


des lètes, Sa Grandeur Mgr 


bonne t daigné faire à 


sonne, ; Dr ‘ 
Doi 
.i un chèque de. 45 
bé Pierre Ethiti, ! 
Les petits pr ésen 
; amitié. el dé 


licus et les brasseurs 
savent: Aussi 


du Vew-York Times, à: 


Hon'v a pas un de vous qui 


vous le faisiez, VOUS & 


LAURE 


To 


EU pourtant, Seigneur Jésus, je 
trois à votre amour adorablement 
.inexprimable. Je crois aux .preu- 
ves sanglantes que vous, m'en. avez 
- Honnées: ic sais que votre grâce 
- donne Ta force: de tous’ lès sacrifi- 
ees qu elle demande et au fond de 
Mon coeur... Est-ce le poids de la 
CrOÏx pleinement ‘acceptée ‘qui m 


\ 


Re BEA 


RRRSENRACET 


» laissé cette délicieuse meurtiissure? 
Je crois aux joies. dù sacrifice, je 
trois AUX joies ‘de ln douleur: ru. 
[Le P, S.., missionnaire, ü ah- 
géline de Montrun, y ie 
Mademoiselle, Du MS 


Tu 


Votre généreuse ‘ottrande est 'ar- 
rivée bien à propos. ‘ Suivant vO- 
, tre désir, 
. NOUS prierons pour monsieur vôtre 
| père, Quant à moi,.je ne' saurais 
‘ Lhonneur : ‘du sacerdocé, ; mais de- 
puis longtemps, c'est. Paction de 
&râces qui domine dans le souvenir 
que je lui ‘donne : chaque. jour. à 
l'autel. ! 
La pensée dé son: bonheür ne sau- 
rait-elle vous adoucir: votre tris- 
, tesse ? Pourquoi. toujours- regarder 
. Ja tombe au licu de regarder Je 


ciel? Pourquoi le. voir où on n est! 
pas 2: ‘ 

“Poussière, tu n'es s rièn°! ‘cendre, 
Fu. n'es. pas. l'être. , 

Que nous. avons chéri:; 

Tu n'es qu’ un vêtement dédai- 
[gné pàr son. maitre, : 
Et qu un: Jambei nr flétrie” ' 


Dites-moi,. aimer. r quélqu’ un n *est- 


, (pas mettre ‘sa 
sicine ? Pourquoi 
| Pauvre. ‘enfant :!. je. % 
: votre faiblebse. : 
que son protégé, . 


n° émpêcher de le ir 
chérir, 


Hé: dans la 


qui enétas 


I y a tant d'occasions 
dans de vie qui nous rappellent no: 
re de voir de venir en aide au jour 
la brèche, comme 


nous protéger 


H nous fail plaisié de proposer 
encore une: fois à: Padmiration re. 
connaissante de nôs lecteurs les é- 
trenunes superbes, qu’à l'occasion 


Focuvre 
du “Patriole”, on Jui adressant un 
chèque de “ sa. de son argent” per- 


al iv ër- Rois est entr ‘aus- 
ton dé M «lab 


nts entreticaeb 


Les journaux. jahés jugés 


“affaires Je 
cher cheni-ils à l’as- 
servir ou du moins à influencer. 
Jusqu'à quel point ils ontréussi, 
veus allez le voir. Dans un Banquet 
de journalistes tenu, .às::New-York, 
monsieur John.Swinton, directeur 
“poité. "ce 
loast à Pindépendante de la presse: 
env a en Amérique rien qui res- 
semble à une. presse indépendante, 
saut dans les, petites villes de pro- 
._vinces, Vous Le savez et je le _sais. | 


erire honnêtement son opinion: Si 
savez davanéc 
que vous ne SCriez jamais imprimé. 
Je suis payé #130; spar semaine pour | 


“L'avez-v0us cru que celle vic fut 
la vie à 


‘tembre, ‘à genoux dans l'église: del sans cesse pleurer sur ces, traces 


nous ‘ét nos néophytes, | 


oublicr, qu'a ’après Dieu, je. lui dois | 


pleurez-voris ‘2.1. 


quotidien. Vous de savez et je le 
sais, Nous sommes les vassuux cel 
les instrumènts des hommes d'ur- 
gent, cachés dans la coulisse; nous 
sommes les pantins; ils tirent les 
ficelles et nous dansons, Nous som- 
mes des prostituës inlelectuels.” 

Voilà au moins un honmme qui 
s'est déchargè le cocur. Sa profes- 
sion publique laisse deviner ce qui 
se passe derrière certains journaux, 
‘Autrefois, presque tous les jour- 
naux étaient des organes politiques 
au service d’un parti ou représen- 
tant une idée déterminée, «Aujour- 
hui, Les journaux de cette espèce 
mont presque plus de lecteurs, Hs 
‘ont été remplacés par da presse 
jp d'informatiôn qui a pris franche- 
4 ment ct exclpsivement le caractèr " 


dentr cpr ise commerciale. 
73 


pour 
ou 


F 


Prud’- 


tholique. 


4 


TR catholique. 
La seule éloquence qui con- 
vienne. : 


Ë , : . 
à La Eye du! Un peu de benne volonté et un pas s de: quoi les 
4Ù 4 D ‘ : « 
Ë jour E ile conduit les:mässes et'rè- | peu ‘dé courage, el commencons 
une sur les parlements, Lés abi. Par faire ce que nous pouvons, sans cette vérité: 
D hâte, sans lrouble, avee calme, avec 


soin, comme s’il n'v'avait rien d'au- 
dre à faire, et que ecta suffise à 
remédier à tout. 1. 
Apportons nofre petite part de 
vérité, nv en aura qu'un entre 
mille pour se tourner vers nous ct 
nous écouter un instant : ce sera 
assez, nous naurons pas parlé inu- 
tilement, Peut-être que personne nç 
veus Cooutcra Cela ne fait rien, 
Nous äurons parlé pour nous, el 
c'est déjà beaucoup, 
Tant que je n’en tiens fux paro- 
Les, C’est dir temps perdu: persot- 
ne ne me croit,‘ Quand jagirais il 
| ns y oaura pas d éloquence au tion- É 
5 


et français. 


AEETE CELL LUI OE ELEC EC PELLE ELU M UELT EURE QE ET EMER EEE TEE ENS PLEINE CREER ELUEETLE ES LUTÉ EEE LCR TES ELU LEERECEUELE REED ELULERELT E CH ELH 9 VE CE LEE LEA EU 


ose é- 


dè capable de résister à l'éloquen-, 


TL nn D Ïl McoccaHAnss D ann 


le prêtre est beureux de vous avoir 
sacrifiés ! Quelles armes j'ai ver- 
sées dans cette misérable abang 13 
Si vous l'aviez vuc,; comme clle. é- 
tait après sa mort, couchée sur 
quelques branches de sapin, son 
front virginal encofe humide de 
Peau du baptème, et le crucifix en- 
ire ses mains jointes ! 

Je nvassure que cette heureuse 
prédestinée vous sera une protectri- | 
Al ,ce dans le ciel, car elle nre Pa'pro- 

jounis ct mème je lui aj donné votre 
Air nom. ; 
(A! Et maintenant, Mademoiselle, 
l voulez-vous permeltre, non pas à 
“lhomme, mais au prêtre, au pau- 
:vre missionnaire de vous dire. ce 
: | que vous avez besoin d'entendre -? 
Vous savez qu'en: apprenant le! Dans votre lettre j'ai vu bien des 
fatal accident, je fis voeu, s’il vi-; choses qui n'y sont pas. Dites- 
vait, de me consacrer: aux rudés! moi pourquoi êtes-vous si: driste, si 
missions du.nord, Et j'aime à vous! malheureuse. et surtout si troubléce? 
le. dire, ce: même "soir du” 20 scp- | N’e st-ce pas parce que vous allez: 


CONAN. 


[LEE] 


LACORDAIRE. 


Vairiant, je me plaignais à Dieu qui 
n'avait pas accepté mon. sacrifice. 

Je me plaignais et je pleurais, en 
attendant qué l'aurore me permit 
de commencer la iÇsSC que je vou- 
ais” offrir: pour. li—mon bienfai- 
teur, —Alors que se passa-t-il ‘dans 


ardentes que l’amour a laissées dans 
votre vie’ 7. : 
fera ; jamais  qu'effleurer. votre 
cocur ; vous dites qu'il n’y°a plus 
de paix pour vous. Mon enfant, 
| la consolation vous presse de toutes 
mon âme ? Quelle lumière céleste parts puisque vous’ êtes, chrétien- 
m’enveloppa. soudain dans cette! ne, ct Notre-Scigneur £ apporté la 
demi-obseurité : du sanctuaire, où! paix à toutes. les: âmes de bonne 
quelques jours aupar: avant j'avais volonté. Ah ! si vous étiez géné- 
recu l'onction' sacerdotile ? Je ne! reuse !.Si vous aviez le courage dé 
saurais le dire; mais consolé, je fis! sacrifier toutes les amollissantes 
à Notré-Seigneur le serment solen- réveries, tous les dangéreux sou- 
nèl d'user ma vie. parmi les pau-|, venirs ! Bientôt, vous auriez. la 
vres sauvages. paix, et, malgré vos tristesses, vous 
© Vous me demandez comment ie! verriez les consolations de la foi 
supporte. cette térrible vie. Lana- | se lever däns:votre âme, radiéuses 
ture souffre; mis à côté des Sa-{ ot sans nombre, comme les étoiles 
crifices il y a les joies de l'aposto- dans Jes nuits sereines. 
lat. En arrivant ici, je parlais! Soyez-en sûre, Ja délicatesse d’u- 
couramment deux langues sauvages! 4 passion n’en ôte pas le danger; 
et je fus envoyé chez les. Chippe-! hu contraire, c'est une séduction de 
Ways: plus pour l’âmé malheureuse qui 
Là, je vous J'avoue, bien des l- sy äbandonne: Vous, me direz 
ches regrets me: vinrent assailir. qu'on, est. faible contre son coeur. 
Mais” Nôtre-Seigneur” eut pitié de Oui, c'est vrai. Mais suivant saint 
son indigne prêtre: me cotidui-| Àigustin, la vertu, c’est l'ordre 
‘sit auprès dune jeune ‘malade qui dans l'amour. Songez-y, et deinan- 
‘attendait le baptème pour mourir. dez à Dieu d'attirer votre coeur, 
Je dis: altendait et é'est le mon: No, il ne Vous a pas faite pour 


rar  dépuis plusieurs semaines, sf D | ° 

\ ait an miracle; et'il n° | souffrir, S'il a détruit. votre bon 

br “possible de dire. avec ‘quelle | heur, c'est que le, bonheur ne vous 
Li 


» tr in. était pas bon; s’il a anéanti vos'es- 
fé te, ne pérances, c’est que, vous cspériez 
heureux, oui bienheureux les coeurs | W'op peu: 

-purs. Si vous aviez vu Pexpression | Dites-moi, “malgré, où à plutôt à 
de:son visage. mourant auand : cle} cause de sa profonde: tend. essé,. 
aperçuit le crucifix pou Ë | votre. père n'était- il pas au besoin 

-de;:la :baptisai. avec une de. ces.'sévêre pour vous ‘2 Laissons . “Dieu 


O froides “allégrèsses de la chair !: nités Quand elle s'ouvrira pour nous 


Ô. Pauvres bonheurs. de la terre, que 


mn 


' LE ou 
vous dites que la consolation ne 


Celnt qui nous « dimés: 


joies qui. laissent. le coeur meurtri. faire. notre éducation ‘pour l'éter- |. 


j'uns : son infinie e profondeur, que teur 


Semble que ces paroles se révêtent de la suprême majesté, de 
l'impérieuse, autorité des voix d' outretombe. 
ne âme éminemment apostolique et que le triomphe du mau- 
vais journal devrait sans cesse nous remettre à la mémoire. 


Les voici donc en leur ferme netteté, et riches d'un pro- 
gramme sauveur de charité-intellectuelle et sociale: 
| Je voudrais, écrivait le pieux moribond, je voudrais que, 
de même qu'autrefois on distribuait la soupe aux pauvres, à 
la porte des couvents, on distribuât aujourd'hui, aux portes 
des églises, le journal catholique. 


Je voudrais que les testateurs croyants laissassent des 
legs pieux pour la diffusion du journal catholique. 


. Je voudrais que dans son budget chaque famille de bap- 
tisés eût un chapitre pour abonnement à à quelque journal ca- 


Je voudrais que dans tout marché, dans chaque magasin 
où l'on achète ce qui est nécessaire au corps, on püût trouver 
aussi ce qui n'est pas moins . nécessalic 


Le 


Je voudrais qu'aucun pauvre ne pût ‘émettre cette plain- 
te: ‘Je ne lis pas les journaux catholiques parce que je n'ai 


acheter,” 


Je voudrais voir tous mes frères dans la foi pénétrés de 
“Notre grand, ennemi, c'est la mauvaise presse ; 
notre meilleur ami, c'est le journal catholique." 

Mais, hélas! combien"eñtendront l'appel souvent déses- 
péré du bon journal! 

Malheur plus déplorable entore, on s'illusionne et l'on 
ne veut pas arriver à la vérité pourtant si évidente: 
bon journal, seul, qui nous conservera chrétiens, catholiques 


: 


Parce qu'il est sincère, loyal et indépendant. 

‘L'on .ne conteste pas ces titres, quand une heure mau- 
vaise oblige à fèchercher son appui.— 
retourne à d'illogiques et affligeantes sympathies. 

—Quel sera le premier'éanadien- français laïque à sc fai. 
re, à l'heure de la mort, le pourvoyeur du bon journal et le 
premier Saskatchewanais à dssurer la vie du ‘ 


om or 


Elles sont d'u- 


à l'esprit, le journal 


Mais, le péril passé, on 


ce muette de mon gestes Nul ver soin È” jte. 
binge qui né suececombe devant 
fuit Les hommes ont besoin d'ex- 


emples et non de paroles, parec 
qu'ils sentent bien que sans Pexent 


ple, vana est religie. 
D sullirait que chacun SE simple: 
: ment la dixième partie de son de- 
voir pour que Ki vieloire Fûl cor. 
laine: tandis qu'au contraire Bi vie. 
loire demeure indécise, parce que 
toute la masse est eheore inerte, csl 
passive, méeontente et dévouragéo, 
Je puis done ëtre le premier ëlé. 
ment de guérison du monde malade 
el convulsès je puis être li prenié- 
re cellule qui refait le tissu désa- 
urégé, 


IT 


Rte 


sitoe Ne 
son 


HD MEUINEINUN THEMES 


cela 


RHIN 


DÉPOHAS 
HET 


mourant, il ï 
Alvrcei 


DRE EUR HUIT ITU) 


viv annee 


CR 


Victor, 


lier, 


iéditoieltitnststt CEE 0 


Vous auriez mal au coeur de re 


cevoir de I mit le d' ñl nord de, la province. Debden et 

Ë evoir de Ha ma ‘ d't 10 ! 

: véndeur ou aus il an 1 Shell River, 

5 su eur de { It: à L % D , 

Ê journaux ile pain M, Arés est parité avec um cote 
[ 


la viande nécessaires pour  re- 
couvrer vos forces dt matins voire 
due demande à dre réconformée 
pur le micl de la charité, part Le vin 
des vertust Br lisserezvous sucer 
avec avidité le venin coutant de la 
plume d'un journaliste neutre? 


tes, et 


MOTEUR LENS CPE 


FLSIPI vi Fa DS 


#L'honune ne se nourrit pus seu 
dement de pain, mais de toute put. 
‘tole qui procède.de te bouche de 
Dieu OM EVE) Pourquoi ces 
journalistes liennentils si ferme 
ment leur phume? Pour cerire des 
paroles procédant de bouche de 
Dieu, des paroles de Vie éternelle? 
C'est volre argent qu'ils désirent, 
votre jme leur importe peus elle 
leur demande du pain ils lui pré 

sentent des pierres: elle leur de 
mande le poisson de In sobriété el 
de la lempérance, HS Hi glissent le 
VUHIN VOUS conr 


liole®, 


POINTE FENME MELLE TÉEF EL a LPHTTSERLITES 


d'ordre 


HORS 


n'orts, 
serpent dont Le x 


disle du “Patriote est parti depuis 
vendredi dernier pour continuer sa 
dure mais fructueuse campagne 
. dans le sud de En provinee, Noire 
propagandiste à acconpii de fn 
bonne besogne malgré Fes intenipiée 


CRDI LITE HE TRES 


forte 


‘Patriolc.' are, 


et demi, 


: 4 


nous semblent les añnées, passées un 
sur la terre. 


Vous le savez, les heures sioulou- 
reuses comme les heures d'ivres- 
ses, toul passes cel vec quelle mer - | 
veilleuse rapidité !- 1 ie semble 
que. c’est hier, que bien. cimbarris- 
sé, j'attendais monsieur: votre père! 
sur la route de Valriant, pour Je 
prier de me mellre au collège par- 
ce qué je voulais être prêtre, \ 

L'avenir disparaifr: commè 


{ 
| 
le | 
passé. avenir, le véritable ave- | 
nir, c’est le ciel, Ah!si nous avions 

la foi. 

Dans les beaux jours de PEglise, 
être chrétien, c'était’ savoir souf- 
frir. Parmi des martyrs, combien 
de jeunes filles ! Vous les repré-! 
sentez-vous plourant le bonheur de 
-la terre et les douceurs ‘de la vie ? 
Nous aussi, nous sommes chrétiens, 
MAS comme disait Notre- Scigneur: 


“Quand le Fils de Phomme revien- 
jdra sur la terre, croyez-vous qu’il 


y trouve encore de la foi?” O dou- 
lourense parole ! C'est pourquoi, si 
dégénérés que nous soyons, nous 
icomprenons que le martyre est la 
‘grâce suprême, et nous .n'oserions 
comparer aucune volupté de Ja ter- 

re à,celle du chrétien qui pour Jé- 
sus-Christ, s s’abandonne AUX tour- 
ments. 

Mon enfant, vous le savez, il y a 
aussi un martyre du coeur, Oui, 
Dieu en soit ‘béni, il y à. ‘des vies 
qui sént une tuort contitiüélle, Sans 
doute, vous êtes faible, épuisée, fa- 
tiguéc de souffrir, mais savez-vous 
quel nom nos pauvres sauvages 


donnent à PEucharistiè 9 is lap- 
pellent ce qui rend le coeur fort. 


- Mon. Diei ! qu lestcce qui sou- 
lient-lé missionnaire contre kt pufs- 
sance. des regrets et des souvenirs? 
Dans son isglement terrible, mi- 
lieu de misères et d’ incommodités 
sans nombre, qu'est-cé qui défend 
contre les visions de L patrie et 
du foyer HE 

- Nous aussi, nous sommes ‘faibles, 
ct, si nous demeurons fermes, c’est 
comme dit-saint Paul, @ cause .de 
Soyez-en 
sûre, Ja communion console de 
tout. Que dis-je ? “Mon”. ui, ée 

vait un missionnaire, qui- reçut ie 
‘puis la couronne du wartvre, com- 
muünicr, c'est toujours un grand 
bonheur: mais ‘commuitier € dans un 
cachot quand on porte le “collier 
de fer avec ‘la lourtle chaînes et 


boue, c’est, un bonheur ami ne; peut 


s'exprimer.” 
. N'en doitez’ pas. 
peut. tout adoucir; c'est un enchan- 


HU 


dans votre'cocur 


ee En recevant la lettre du P, Si 


qu'on à vu déchirer son corps def: 


°J ésus-Chr ist 


! a ‘est venu apport er'le feu 


gants, mais Vielurietix, 
vous pleurer sur ce qu'il nous en 


puisse l- M latine 
! L'amour fest la 


sur la terre, 


grande joie, et je vous veux heu-fn coûté. 
[UTETUS ‘ pas de nos larmes pas plus qe 
Oui, Dicu nous exaucera  Toust Rome ne s'offensi quantte premier 


les jours nos néophytes prient pour des Brulus, rentrant ehoz lui tprËs 
vous avec ba ferveur de ki virgini- avoir sterifié ses choarx Pils à la ré 
té de la foi, et votre père vous a publique, s'assit à son fover désert 
emporlée dans son COUT AU fie et pleura. 


radis. , 
IH octobre, 


Héjouissez-vous, vu! “ne plaignez 
pas le pauvre missionnaire, A nie. 
sure qu'il s'éloigne des consolations 
humaines, Jésus-Christ se rappro- 
che‘de lai Je suis heureux, mais 
parfois j'éprouve un étrange besoin 
d'entendre la chère cloche de Val- 
riant, Vous allez dire que jai le 
mal du pars Je ne le erois pas. 
J'aurais plutôt la nostalgie du ciel. 
Mais il faut je mériter, 


Je prose souvent avec altendris: 
sement à cotte jonne file qui altert- 
dait son baptème peur mourir ! 0 
grâec bonheur de la pureté ! 

1 y a quelques années, traversant 
un soir l'église du Gésu, je passa) 
devant un autel sous lequel un jeu 
ne saint (saint Louis de Gonzague, 
je crois) est représenté couché sur 
son lit funèbre, 4 
Voudriez-vous tecepter cette pau- Je ne suis qu'une pauvre igno; 
vre médaille de Plnimaculée, Sou- 
vept j'en attache aux arbres pour 
parfumer des solitudes.  Priez pour 
moi, et que Dieu vous fasse la pri: 
ce d'accomplir parfaitement ce 
srand commandement de Famour, 
dans. lequel est tonte justice, toute 
grandeur, toute consolation, toute 


paix et toute joie, 


cette statue m'est Dis UC Oeuvre 


remarquable, Qu'est-ce done qui fit 
tressailttr mon fine 9 


Pourquoi restai-je Jà si longlewps 
émue, absorbée conne devint ane 
toute ahmable réalité, 

Alors, je n'en SH VAÎS trop rien, 
mais attjourd'hui ie semble que 
ce charme profond qui m'avait 


15 octobre, ? 


té céleste de fa pureté sans tache. 


Depuis plusieurs jours, je n'ai 
Longtemps après que je fus sor- 


pas ouvert mon journal où je me 
suis promis de ne plus écrire son 
noni, L'amour de Dieu est une 
grâce e, Ja plus grande de toutes les 


grâces, et il faut travailler à ln mé- coulajent un peu. 


Pourtant lPinpression rPeeur 


viter. Püis, est-ce Pélan donné 5 
; “uit été ee, Mais on ne touche 
par une main puissante ? -- il y a vait été douce. Mais on net 


en moi une force étrange qui me 


pousse au renoncement, au saerifi- aillir les larmes, 


Je j 
sé, et n'estil pas étrange. que Hat 
pensée de culte jeune fille qui ‘a 
promis d'être ma. protectrice, me 


{ämce généreuse, celle-là), j'ai joint 
son. humble médaile au médaillon 
que je porte nuit.et jour, et qui con- 
rat avec le portait de mon pè- 

, Je sien à Jui. Ensuite, j'ai ôté 
Celui. ci et par ti effort dont jel 
ne suis pas encore remisé, je Tai 
jet é au feu avec ses lettres, 


presque oublié 7 Non, elle n'ou- 
bliera pus la promesse faite à Par: 
“ge qui lui à ouvert:le ciel qui Ji 
a donné mon nom, , 


22 octobre. 
16 betobre, Te 


H 

Je ne regrette pas € ce qui j 
seulement jen frémis encore, 
sans ‘cvsse je pleure parce que son 
portrait ‘et ses lettres sont en con 
‘dres. : . 
Je me demanilais: avec tristesse 
CTE ces larlnés né rendaient pas mon ut continuéls combats, Bo re 
saerifiéé indigne. de:Dicu, mais au-h M: abstenir de.ces: ééveries:., 
jourd'hüi j'ai Été éonsolée en li l-mon âme :s'anollit. et: s'égare, ? ce. 
sant que foréque nous revenons. dû | n'est in rengncamnent. ske tous, les, 
combat des passions mutilés et san instants, | 


“C'est un grand malheur: d'avoir 
"ai fait, laissé MT “volonté s'affailtins mais |. 


Conume le resté, et plus 


de réparer. 


par lexereice à 


er, 


HOUVUIUX el, 
Arés en étà fmivablement secondé 
pat MM: ls Curés des paroisses vi 
“Partout on à 
“Jour du Patriote"; une soirée, 
une partie. de cartes, une pelite 
contérence du propagandistes 
mutfiltde 
paroisse el 
Ces 
Pattioto! 
ETS 


Sud qui comprennent limportanec 
de soulenikr notre jouvual, une des 


couvres vnpentielles à notre. sure 
uabionsle, 


È paroisses vhilées jusqu'à ee 
jour: Gravelboursé Pertand Forgut, 
Mazonou 
Votre â e t te 
tre ame le ur impor € peu Wtlow-Pineh, 
Pontois 
| 
: 


Le HOUVenn pour he revenir qu'att 
mois d'avril 
partout on lui réserte l'acenvil Le 
plus cbaleurenxs I frappe aus pote 
on 
est le imendiant de patrie, 
reuse de converser Lottjonrs 60 plus 
dimenentieneore 
enfants par grande VOIX ‘du “Pa 


Le journal neutre est le mot 
d'ordre de Satan 


Le journal neutre est 
que” 
vivnil Sonffler 


cièté, On pet! lee pau or ü du os 
rée qui ehgque jour amène ser ln 


plane. les curensses 
ol 
Œohets, ue sera de jounas moral 


C'est le va, vous era ehanecler dans Fa Une digue dressée contre ces man 
à bime, véest Baemor vondira sur elleanême 

3 ; LS ce qu'elle voulait vonir à nos pieds. 

É Echos de Propagañde he Hu jourhal est satholique toc 

. ns main, 3 est done br manifestation 

M, Pabhé, UE. Ares, propagin- | de fa pure ViÂte, fa'ailaque pas 


Piudividu, Perreur seules avec celte 
jdurnière, ilaloit être lintransigenn 
eemème, s'ensuit que le journee 
sle de br vérité doit posséder une 
lretnpe 
la plume n'est que défensive. 
ries de fa saison, depuis deux mais {elle ne saurait ètre offensive, car 
Hou recueilli ln jotiePon ne nept-efkenser Perreur 


nous pol 


que {eu ne S'offensera lueur pe ‘consolent pas. 


: 
1 


a as 1 tone 


tout à& coup pénétrée, et que je ne t 
savais pas définir, c'était la beau: 


tic de lé lise, cette figure virginale 
et si paisible-était encore devant 
mes veux, etinalgré moines larmes 
a 


jamais fortement le eocur sans fai- | 


Depuis, bien: des jours ont: pas. | 


rappelle toujours.au, vif ce souve sir, ë 


el je travaille de toutes mes, Forcèes..à 


À rie lui parlais, 
que le reste, la volanté-:se fortifie 
on n'obtient rien 
sur soi-1NênE que ‘par de périblés 


où : 


5 en abonnements 
En cela M. 


21308. 
anciens, 


tenu à avoir 


toul 
Pentrnin dans la 
tous se montraient gé- 
soirées pour l'Aide 
ont donné 502,00, 
vaillupts patriotes du 


Vorei a liste 


WW ulsoles, Mutrie, St 
Lae Pello- 


ct Réginas dans le 


Host d'ailleurs que 


Jui ouvre, paree qu'il 


dési 


CRU CUT ERET LE 


fe mot 
Satan, chaque jour, 
tune partie de li so 


de 
pourritures 


poissons 


dutres vi 


ile caraetére, Son 


Et pourtant, je le sais, si doux 
qu'ils soient, les souvenirs de Pi 
pas plus 
que Les vavons de a lune ne ré. 
chanffent, Mais enfin, j'ai pris 
une résolution et jy suis fidèle, 

La conunupion me Fait du bien. 
m'apaise jusqu'h un certain point. 

urfois, un éelair de joie traver: 
se ton die, à la pensée que mon 
père est ait ciel, mais ec ravon dé 
hunière s'éteint bientôl dans des 
obseurités de Be foi, et je tombe 
dans mes tristessés, tristesses cal 
nus, HS profondes. 


5 novembre, 


Me voici de retour chez moi a: 
prés une absence de quinze jours, 

Je voulais revoir sa tombe, je 
voulais revôir Mina, et il est upè 
pésonne que je n'avais jamais vue. 


rante, mais je suis bien sûre que let dont ln réputation nr'attirait, 


de n'ai fait que pisser à Québec, 
et, à mon estréme regret, je n'ai 
pu voir Mina, malide à garder. fe 
lit, depuis ‘quelque lumips;  niais 
j'ai piouré sur s1 tombe, cette lon: 
be oi il gr'est pas, et.je, ne saurais 
dire si “eétaient.des larmes de joir 
ou ‘dé, tristesse, tant je 1n!y sus 
sentie 'consolée, Puis, jaicpris. Je 
rain de... qui me conduisait. at 
inonastère de. | 

est un gr und bonheur d'ajpro- 
cher une sainte, Entre la vertu 
ordinaire et ln sainteté if y a un 
abiime, 

Devant elle, je lai senti, et j'ou- 
bliais de m'étonnver de cotte e60n- 
fiance très humble, de cette ten- 
dresse sucrée qui lui ouvrait ion 
fine, 

Où es anges prénnent: -Îls | cote 
adordble indulgence, cette ineffohle 
‘compassion pour des "faiblesses 
qu'ils ne sauraient comprendre, 


Ma propre mère n'eût Dns - “été 
si tendre. Je le sentais, et 4ppuyée 
sur là grille qui nous séparait, je 
tondis en larmes, ‘ Elie atissi joue 
ait avec une pitié céleste. Mais 
sa figure restait sereine, Cr 
Comine elle est' potoné, la paix 
de ce eocur livré à l'amour, ! Getle 
paix -divinÿ, je la, sentais n’enve- 
‘lopper, : me pét nétrer” pendant que 
O radieux vistiges des saints LE ê& 
Jumineux regards. qui, plongéz si 
avant dans Péternité, et dans- cet 
autre tbime qui’ s'appelle notre 
coeur : 4 qüi vois a Vus. Me vous" ott- 
blier a jamais. 7 “ 


mo » , rar 


( ‘à.suivre) Lt Xl 


Cette semaine 


| 


Prince-Albert 


# 


Le journal ceite semaine a été im- 


. . DIIITC os , 1 Gone À taois , 
L SL population catholique : de. LUE RES lundi soit à raison de 
Prince Albert aura bientot la dou- |" téte lépiphanic, 


lus de perdre l'un deses memb "CS. | m. Dr ee 
lus plus “distingués et Pune. de $es | Bel exemple de générosité 
amitles les mieux connues. "Lil 4 à H a di , 
domination de M, le major Déñcrés," d un médecin canadien d'Ed 
au poste de commissaire génélal |" monton ° 
de la police à cheval, Poblige à |. —— 
Edmonton, Mti— 


chuñger de domicile, -UH devéa | | : Une centaine 
prendre sa résidence à Viclofia, [de petits Caïadiens-français,/de 8 
CA. 14 ans, furent fêtés par M. et Mine 


2 


Dr Joseph Boulanger dans laprès- 
midi du “Jour de Noël, De 2h, à 
BU pu, ils s'amusérent à coeur 
joie dans les appartements sompe- 
lueusement décorés, après avoir été 
D FGCUS aux accords mélodicux de 
l'orchestre des enfants Martin, 
Une fois tout ce petit monde ar- 
rivé, le Dr les conduisit dans une 
! vaste Salle, où pendaient aux murs 
ja 20 tableaux anti-alcooliques de 
ETUniversité de. Montréal, en usage 
lans un grand nombre d'écoles de la 


# M le major Demers. vint. dans 


l'Ouest en 1835-et prit part A ia: 
rébellion. en qualité de capitaine 
du 66ème bataillon. Après la auers: 
re du Sud-Africain où i fit le coup 
de Feu contre les Boers, il revint 
au pays et commanda la police à 
chèval, tour à tour à Baltioford, 
Fort Saskatchewan, White Horse, 
Port Churchill, Maple Creek, Mon- 

“iréal, MacLeod et Prince-Albert. 
. M. Demers et sa famille np 
téntouvec eux tous nos regreis CEE brovinee de Québec. Hs défilèrent 
nos inbilleurs voenx de succès, 44] devant chacun des tableaux, cepen- 
HI sera remplicé pur un autre! dant que M. Boulanger leur en ex- 
vétéran de la guerre d'Afrique, Me pliquait brièvement le sens et Fai- 
ke surintendant Jennings. . 10 ‘ils ût ressortir par limage et fa pa- 
ù en , - . clrole les ravages de l'alcool! dans le 

- À Ja dernière séance du coilsuli k 


\ à ne système et Ha vie des individus, 
de ville, l'allocation de lhopit|. 


Victoria fut élevée de 30,000, x). .Plusièurs furent “tont  étonnés 
32,866. C'est par milliers de Biké. d'apprendre qu'if y a autant de 
ires que se chiffre chaque’ Anée | nourriture dans une chopine de 

‘ do : Hi, Lait que dans onze chopines de 


“le déficit de hôpital 'mnnief ë 


Les contribuables trouvent défi fière, et qu'un buveur qui consom 


ie une chopine par jour de bière 
} 


DRE mois des taxes issee fe 10 pour’ cent devient icoolisé 
en : …wfeh l'espiec de deux ans 
Le terrain de golf de he ville” ‘Aprés celte conférence illustrée, 


a été loué pour FU ans.à S300, pit 
an, à lo condition que les méfnbies 
ne dépassent pis le nombre de st 
et que le prix maximun du billet 
de Saison soit de S40.. 


“& groupe des joyeux visiteurs se 
Ît phôtographicr à deux reprises 
au studio Sigerist situé dans le mé- 
be imineuble: puis, on réintegra de 
Houveau le Tien de Ri récepiron, vu, 


L'association de Pindustrie hit {Chtre temps, un goûter succulent 
tière de la Sasatchewan tiendig, à | C-0pose le sucre d'érable el de 
Prinee-Albert, Les 4 et 5 técttue | Mille autres choses délicieuses a- 


vai été préparé pour le régal de 

ves appètits toujours en éveil 
Les énfants Martin, appuyés des 
‘mis Pelletier et Caron, firent on- 
lundre plusicurs chansons franeni- 
ses. La petite fête se termina par 
ë “O0 Canada”, chanté avec amour 
fraiches . 
| 


sa huitième convention anmièlle. 
HV oaura en mème temps un voir 
cours de juges des vaches à nil 
Les jeunes gens des deux sexe [Qi 
dessous de IK ans, peuvent firén- 
dre part à Ce concours, Des tru-° 
phées et des prix noüibreux et hu 


gnifiques, seront ‘attribués aus {bar toutes ces voix 

Vanqueurs. ‘ ,. |soutenaient les instruments de lor- 
_0 urra assistor aus À chestre, j , 

nl TN HSSISQ AUS MT A Ja porte, tuute uné procession 

l'exposition les grains de SCORE los attendait les hôtes de M. 

on v donnera Sf76. en prix. besis ‘Mine Dr. Boulanger pour les re 


exhibits consisteront çn deux chiis- 
ses de blé, ne d'avoine, une d'or fine que Les rües d'Édmonton re- 
go,'une de fin, une de seigle, yiri- lentissaient de leurs gais Telrains, 
tre de fourrage et quatre de palin heureux enfants 
tes, ‘ Ê fièrement dans teur 


übnduire chacun chez soi, Pen- 


ciportaient 
poche, comme 


PE TT écuveuir précieux de cette inou- 
Scandale financier à Win. Hliable Soirée, un exemplaire de 
4 : “Amanach de la langne Françai- 

peg se” de 1923, un autre du vibrant 


bhuseule de M. l'abbé 


Groulx ‘Si 
Dollard revenait.” ‘ 


Winnipeg, - Un autre sctdite 
financier vient d’être. décottorl 
dâns La ‘faillite de Ha Cie Honést 


| 


| Des protestarits qui se rappro- 


Musie Püblishing ‘du Cfnada, bus : Fo) 
livres avaient été mainipulés de luile| ‘* chent de l'Eglise catholi- 


sorte qu'ils montraient un & 1ifsre | 
anus de non US 
qu'en réalité il n'était que dé #48, 17 et 
U00, pour ses lrois années EX “Philadelphie, 
tence. Les nombreux actionngires PFAnts traversent actuellement 
de La Cie an Manitoba. vont il D hes intellectuelles du, nrotes-, 
perdre, car Puctif dela Cie st) eniismne, CECI, des Matitudi-: 
peine suffisant peur faire honhout dures poursuivent leur évolution! 
aux dettes courantes. 5 © | Yers le rationalismé et vont jusqu'à! 
u . léicier lu divinité du Cliristi:d'au-* 
tres séduits par un idéat de reli- 
: Hion universelle, rèvent d'un sys- 
tie religieux amorphe qui unirait | 
fuus es crovants du monde ‘en ré- 
duisant à un'commun dénominateur ! 
une! sélection d'éléments chrétiens | 
boudhistes, juduiques. Les apôtres 
un protestantisme libéral, sans al-. 
ler jusqu'à ces exirémes, conser- 
vent juste assez de roligion pour 
étre hérétiques, | , 
ILæest.pourtant en Amétique com- 
me en Angleterre une élite protes-! 


que 
| 


les 
nrotes- 


CEE 


, 


Règlement final de la question 
des terres de l’ouest avec 


la Cie de la Baie d'Hudson 


Winnipeg, -— Le pouvernement 
fédéral et la Gie de la Baie d'Hud- 
son, en sont venus à une entente 
au sujet des terrains que la Gie 
devait avois dans la zonc fertile de 
PQOuest, en retour de la vente des 
Territoires at gouvernement fédé- 


ral en 1869. : Jusqu'en 1920, la Cie | tante que l'étude des origines qu: 
avait reçu à peu ‘prés 6,400,608 a! Christianisme el le spectacle du 


chaos actuel de la société ramènent: 
| vers Rome, Dans un congrès qu'ils: 
viennent de tenir à Philadelphie,! 
les épiscopaliens des Etats-Unis 
sont allés beaucoup plus loin dans 
cote voie que la conférence angli- 
; ——— . vanc de Lambeth. 
Lethbridge, — Jack Rav, berger! L'Obserralore Romano” 
à l'emploi de Rav Knight à Brooks. | le ën ges termes: 
tu, est venu bien près de périr Tout récenunent s'est tenu à Phi- 
avec ses 2000 inoutons .duns la tem-Hadeljhie un congrés d'ecclésiasti. 
pète de la semaine, dernière, Illaues protestants dun. Rite éniscopa- 
“passa 4 jours et 2 nuits dans la plai- {Tien des Etats de FEst de la confe- 
“üe et sans abri, sans pouvoir re-| dération américaine, "prirent! 
-gagner le bercuil à cause de ta tour-i part plusieurs évèques et plus de 


erés de terre fertile; la nouvelle en- 
tente lui en accorde encore 239.000 
autres, 


Re 


_ Héroïsme d’un berger 


en par: 


1 


.mente, Au bout du deuxième jour, !feut pasteurs anglicans de ce rite. 
il déeouvrit Ja lumière d'un L'orateur principal du congrès, ! 


e Recteur Barry, de New-York, à 
proposé à l'assemblée Ie voeu sui- 
vant qui fut adopté au milicu d'ap- 
pléudissements unanimes: 

NOUS puuyons accepter comme 


‘“shack”, où it put se réchauffer 
et se réconforier un peu; mais il 
retourna passer a nuil âvee son 
‘trotpeañ et ses chiens qu'il sauva. 
int d’une mort certaine. I eut 
la figure gelée, et revint chez nil bases de négociations avec Rome: 
avec “huit moutons setlement del -—La primauté de Saint-Pierre 
moins. | et-des évêques de Rome, et cela de 
: | droit divin: | 
y 2—la juridiction appartenant de 
ldroit divin à l'évêque de Rome, 
même avant varié dans son exten- 
sion, d'après Le temps: 
3— Une infaillibilité qui soit l'ex- 
Luression de la pénsée de l'Église, 
interprétèe- nur le Pape, c'est-h-di. 
re une infaillibilité qui acquière son 
vutoriié par Ja reconnaissance de 


a —  ————— 
, ; 
Une folie d’impiété 
Moscou.—' À l'occasion dé Noël, 
Grégoirv'S. Zinovieff, président du 
comité exécutif de Pa troisième in- 
ternationale, a fait une déclaration 
significative concernant la ‘aimpa- | 
gne communiste contre la religion. | 
JT a admis que tes communistes a {la part de toute l'Eglise, 
vaient éjé trop loin dans leur pro? Dans su béroraison, le conféren- 
pagunde contre les rites religioüx Pier ajouta ensuite; Nous devons 
actuvis et leurs efforts pour inflhous libérer de nos préjugés et nous 
plantes F'athéisine, “Dans un Days j 


devons abandonner 
de parsans Comme le nôtre. Ji fostite envers Rome. 
où la majorité de la population SET Cons. rien attendre de bon de nos | 
äettrée, et où les gens paicut un idées traditionnelles  préconenes, 
prix si élevé pour les articles: de! Nous, devons. au contraire, cher- 
Hécessilé, nous ne pouvons -nouScher une solution des problèmes 
parer le luxe d'une si vigoureuse qui ‘nous séparent, ‘ 
DB. _ 


| 


notre attitude; 
Nous ne pou- 


et si inflexible campagne religion ee | 
se, Nous poursuivrons nos attie 1 


Lo = n . 

ques contre le Dieu lout-puissant | LES Juifs réclameront leurs | 
en temps opportun el d'une facon droits scolaires “ÿüsqu’au 
appropriée Nous espérons le subie se seil privé : 
Ejuguer dans, son paradis. Nous de ns Conseil privé 
ccombattrons partout. où il se: cards Û "ot, 
chera, mais à l'avehir nous devonsfe ‘Mantréal. ft est probable qu'on | 
être plus cireonspeets dans notrekan appellera au Conseil privé pour 
propagande antireligieuse, J'ai apcbréugleé la question des droits .sco- 
pris dela purl de vieux ouvriershaires des Juifs dans fa provinces! 
que non seulement les jeunes comsfde Québec, Un arrèté du .HOUver- | 
raunistes mais aussi les jeunes cclai- | ugmeont provincial daté de 1923, met- ; 


reurs se moquent des personnes re Haitles Juifs sur-le mème pied que 
igieuses, On n'a dit aussi que des! les péotestants..et leur octrovait les ! 
eroupes de. ces éclairenrs ont em. mêmes privilèges. Mais des discus- 
prisonné ans des églists des gron;fSions tint survenues à ce sujet, In 
pes de fidèles pendant ‘qu'ils se, lillégislature chargea uñe éommission ! 
vraient à des exercices de piété! foïnposée de protestants et de juifs 
Cest une erreur, Notre “umpaene Lilé préparer trois rapports sur ce 
‘contre ‘Dieu ‘et la veligion ne doit ibfférend: Te «apport - protestant 
se faire que-par des moyens pèda:,! ‘üopta l'opinion de, M. Eugène La- 
sosiques et non: par :la violencé.”"| fer, HR. qué ‘la loi de 1903 était 


Voilë à quelle: folie peuveñt pôr- ultra vires et que les’ Juifs nc-pot- 
ter l'orgueil. et l'impiété,… "7" “Vhientéhas être traités comme li mi- 
un | Lt, , mtat ee, . on . AL LA ‘ re La. u . tt 
, "2 1 . ’ 
. Li ‘+ f u “ \: 


iperstitieux Indiens." 


| “onmensent et au-del; 


norité protestante en matière d'é-| 
ducation, Les Juifs n'entendent 


mas de cette orcille, ct portcront|l 


‘il privé. 


L'affaire au Cons 


Le fils du fondateur du sio- 
nisme se converti 


ot 

1 va quelques semaines, on à an- 
noncé que le fils du chef du sionis- 
me, M. Hans Herzl, allait embras- 
ser lt religion catholique, 


Herzk a abiuré le, jndaisme, à Lon- 
dres, dans l'église des Soeurs de Lai: 


| 
Cat acte est accompli M, Hans |à 
[l 


Passion, entre les mains du P, Dax, f} | 
de Ja Conpagnie de Jésus, [l 


Le néophyte est te fils du célébre 
Théodore 
nisine. Théodore 
d'une famille juive 


FÉSE 
H 


Herzt était 
d'Espagne; 


était n6 en 1860 à Budapest: il est. ff. 


mert à Viconc en IH, C'est ni 
1893 que Théodore Terzh a eomimen- 
cé à propager Fidèc du retonr du 
peuple juif en Padestine, 11 avait | 
concu cé projet sous l'impression 
du mouvement antisémite qui avait 


vant. Le baron Hirsch de Londres, 


Herzl fondateur du sio-:#ÿ 


commencé quelques années a | |: 


credi 7 janvier 1925 


ou ee de me Pmttie ne ue - ce 


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mit sa fortune au service de Théo-!l8 


dore Herzt pour la propagation de 
<:t projet, 
‘La conver 
fils du 


Sion au catholicisme du 


fondateur du sionisme est 


ine du nom 
“Manitoba” 


Le 32 mai 1870, le gouvernenent | 
fédéral créait une nouvèlle provm- | 
ce à laquelle if donnail Le -no 
Manitoba, que portait déjà un fac 
de celte partie du pays. l'oulefais, | 
co ne furent pas les blancs qui dou: 
nérent de lac en question le ‘num! 
Mantoba, car Messieurs de la Vé] 
rendrve, père ul fils qui le décou- 
vrirenl nu cours de leur vovage de j 
1138-39, 
ries (en sugiaist lake of the Péai- 
vies). FE ut aussi connu sous Les 
noms dt “Prairie fake" Meudow 
fake”, “Lake of the Meadows” eo! 
lac Assiniboine, ce dernier. ous 
diverses épellations, lui étant don 
né à cause du tait que des Indiens 
assiniboines habitaient ses rites. 
Sur fa carte qui accompagne be: 
rentiors de  vovage d'Alexunder 
Mackenzie, publiées 4 Lonures. on 
1801, Ie lac est appelé Manitauhos, 
existe plusieurs autres épultations 
du not Manitoba, va deux hs- 
pothises différentes quant à Porigi- 
ne de ee nom, P’étymologic li pus 
généralement acceplé Le fait dériver 
du met cri “Minito-wapow” bù du 
mot cjilwar Manito-buw. dut si 
gnifient tous deux détroit du Mahi 
lou où de PEsprit Ce hoôm ntiri it} 
d'abord été attribué à une He du! 


débroit qui relie Les deux nappes des tribu 


principales du fre. AL LV, Hind, d 
Toronto, dans son. ouvrage intitulé 
“L'expédition canadienne d'explo- 
ration de la Rivière Rouge en 1837- 
58”, dit: “L'origine de.cette super. | 


e 


Plusieurs" cou- fstition est due au bruit.que font les! Subventi ais ‘qu'elles: 


vagues en se ruant sut fa grève au l 
pied. des falaises qui, avoisinen! : 
l'extrémité septentrionale de lite! 
Durant a nuit, lorsqu'une. bonne 
brise souffle du nord, les sons que | 
Fon entend danSEile sont bien de! 
nature à inspirer de l'effroi aux sue | 
Guite explics 
l'on est corroborée par M, LB. 
roll qui, dans Le rapport du Sorvi. 
ce des Levers Géologiques pour 
l'année 1890, déclare-qué be ealeui. | 
re qui forme la grève d'une partie 
de l'ile est très compact ct sono- 
re el lorsque les vagues v déferlent 
el jetlent les uns contre les adress 
ces cailoux résonnantss it se produil 
sans doute un bruit relontissunl 
qui x donné naissance à celle su- 
perslition parmi Les Indiens.” 
Coume où l'a vu plus haut, La 
Vérendpye donna au lac Le nor de 
Lae des Prairies et auelques-uns 
sont d'opinion que ee nom à bien 
li mème signification que le nom 
sauvage. L'abbé Dugns est ton à 
fail de cel avis, comnte il le décla.i 
re dans son ouvrage “L'Onest ça 
nadion” Squhlié & Moutrént en 1806. 
Après une disccriation p'iloteniqe, 
il conelut ainsi: Les Endiens qui | 
habitaient les rives du ae Manitoba 
el celles de la rivière Assiniboine 
Pépoque de leur découverte Gtaient 
des Assiniboines dont la langue res | 
semble à celle des Sioux, Hs appar | 
tenaient aux ribus Matatoba, His! 
Loba ot Titoba, Le mot toba siuni- | 
fie “prairie” ef “nine” vout dire! 
“ou”. Mine sol” signifie “ea à 
jaune" “mine apolis", vite prés | 
de Peau”: Mine toba”, Seau ot Jae 


des prairies”. Les anelais qui sue. 
ï 


lieu] 
l'vr- | 


‘ 
A 


cédèrent aux francais prononcaient 
iine matni d'où le nom de Mani 
Lobu,” ‘ é | 
Les, renseisnements  cidessus ! 
sont résumés dans le ISèime rap} 
port de la Commission de Géogra- ! 
phie du Canada qui vient de bac | 
raitre el qui explique l'origine de: 
plusieurs noms géographiques CHE 
nadiens. 

1 #r— | 


Au son de la musique 


À Chicago, “euisine de T'Univers”, 
ainsi que S'intitule modestement la 
métropole du pore salé, on vient 
d'inaugurer We innovation qui pa- 
rut-il, rencontre Häbas le plus 
grand succès, - 

Dans les ateliers d'une des gran- 
des fabriques de conserves de In 
cité, on à remmlacé le contremaître 
bar un chef orchestre. Ouvriers 
ct ouvrières commencent leur 
Imaivail aux accords d'une. mu 
Kique entraipante, et jamais a 
discipline et le. bony ordre nv ont 
6 aussi bien observés que depuis 
le début de cette originale expé- 
rience, La proluetigur a mème auxg- 
monté dans des broportions qui 


s 


1, les frais de 


Porchestre, 
Antéricurement 
eant de fleurs 


déit. nn Tabri- 
nt. l artilicictles avait 
trouvé que ses ouvrières perdajent 


L 


“Tronvère":; Pair des Bijoux de 


Pappelèrent lac. des Pr | ‘ 
F 


‘aux autorités. 


“hausl" égaiera lPalelier du joail- 
ler, La “Marche de Sambre-elMeu- 


se” ragaillardiea Les petits soldats 

à heure de l'astiquage, ele, -! 
Les réserves indiennes 

— ‘ D | 


(De M. VV. Forbin, dans Le 
“Magazine illustré eilional”:) 
“La majorité des Peaux-Rouges 
vivent encore en tribus sur des ter- 
ritoirés appelés “réserves”, dissémi- 
nés dans tonte l'élendue des 'Etats- 
Unis et du Canada, el qui sont-soûs 
a proteclion des auloïilés. Ces ter- 
sitoites Sont généralement stériles et 
iE convient on outre. de rappeler que 
les Peuux-Roüges Ctiient avant tout 
chasseurs et qu'ils n'avaient que de 
très vagues uptions: d'agriculture, 
Hs séraient done morts de faim de- 
püis longtemps. puisqu'ils n'ont plus 
le droit de chasser si les sguverne- 
ments ne subvebnient js à leurs 
besoins. Ce n'est pas là unë chari- 
té, métis bien une obligation. Quand 
indiennes, à tour de rôle, 
mirenl'bas les armes el se soumirent 
il fut spécifié par 
lraité qu'elles abañdonnaient leur$ 
droits- Ierriloriaux en Cehange ‘de 
$ recevraient à 
perpétuité en nature”, ï- 

ÆA dates fises, on leur distribue 
des “vétements, deslcouvertures de 
laine, dés «vivres, os chovaux, du 
bétail. Chaqué réserve est sur- 
veillée par un. agent du gouverne 
ment. qui est chargé de ces distribu- 
Hens et qui doil ‘défendre ces In- 
dieus eontre Les ‘eitipiètements des 
colons blancs qui, sion les fnissait 
Faire, dépouilleraiett Les  calthou- 
Veux sauvages quand ils niraient 
pas jusqu'à les iniusssierer! 


“Plakicurs de és rinus ont une 
existence enviahde, ei cost princip- 
lement Le eus degetles qui sont li 
ées dans POklahsonra, où la décou- 
verte de richissimes giscments de 
péirole leur 4 periis de jouer teurs 
terrains des prix élevés. 

“EL cest Le sont pays dans foule 
l'étentue de FAmérique où lon ren 
contre des Peauk-Rouges autheuti- 
ques devenus milionnaires, ‘mile 
onsaires de dollars". 


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